Ondes gravitationnelles : KAGRA rejoint Virgo et LIGO pour affiner les détectionsCrédits : gmutlu/iStock

En février 2016, les premières détections directes d'ondes gravitationnelles étaient remontées par les laboratoires Virgo en Italie et LIGO aux États-Unis. Ils utilisent tous deux un interféromètre de Michelson pour rappel.

Un troisième larron vient s'ajouter : KAGRA. Un protocole d’accord a été signé avec le laboratoire japonais : « L’accord couvre les recherches communes d’ondes gravitationnelles ainsi que le partage des données scientifiques pour les prochaines années ; il prévoit également l’élargissement de la collaboration dans le futur, grâce à l’arrivée de nouveaux partenaires », explique le CNRS

« L’ajout d’un quatrième instrument [un pour Virgo, deux pour LIGO, ndlr] au réseau global existant de détecteurs interférométriques d’ondes gravitationnelles permettra d’améliorer la localisation des sources dans le ciel, ce qui aidera les observations astronomiques de suivi et permettra de mieux comprendre les caractéristiques des signaux détectés », promettent les scientifiques. 

« La différence principale de KAGRA par rapport à Virgo et LIGO est le fait que ses miroirs fonctionnent à une température cryogénique, afin de diminuer le bruit thermique – l’un des facteurs limitant la sensibilité des interféromètres. Ce nouveau détecteur est également installé sous terre, dans la mine de Kamioka, où il est protégé des vibrations sismiques et du vent », ajoute le CNRS. 

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