Des scientifiques de divers horizons (CNRS, CEA, Météo-France…) se sont retrouvés dans un groupe de recherche baptisé World Weather Attribution.
Leur conclusion est sans appel : « Le changement climatique d'origine anthropique a augmenté de manière significative l'intensité et la probabilité d'occurrence de l'épisode caniculaire extrême que la France et l'Europe de l'Ouest ont connu fin juillet ».