Quelques semaines après la Switch Lite, Nintendo avait annoncé une révision de la Switch classique, avec pour principal bénéfice une hausse de l’autonomie.
Disponible depuis quelques semaines, elle ne se distingue que par une révision de la puce Tegra X1 de NVIDIA. Un passage au 16 nm qui entraine une baisse notable de la consommation : de 13,3 W à 7 désormais, soit presque la moitié.
Dans un test réalisé par Digital Foundry, on peut ainsi y voir que la nouvelle Switch tient 5 heures sur Zelda à 50 % de luminosité, contre 3 heures pour l’ancienne. À 100 %, l’autonome affiche 4h18, contre 2h25 pour l’ancien modèle. La différence est donc très nette.
Selon nos confrères, la baisse de consommation entraine également celle de la température. Lorsqu’elle est branchée sur son dock, elle perd en moyenne 4°C à pleine charge. La différence n’est pas énorme, mais suffisante pour que dans une utilisation quotidienne, le ventilateur soit moins présent.
Ceux qui attendaient une éventuelle révision de la console vont donc peut-être se décider à l’achat. La question est : comment reconnaître une console dont l’arrivée s’est faite assez silencieusement dans les rayons ces dernières semaines ?
Il faut se fier à la boite. L’ancienne affiche une main en train de saisir une Switch dans son dock, le tout sur fond gris. La nouvelle boite est essentiellement rouge et n’affiche plus la main. Une différence suffisamment importante pour ne pas se tromper.
Il existe également une différence dans le numéro de série : il est passé de HAC-001 à HAC-001-01. Cette information est impossible à obtenir sans ouvrir la boite, ce que l’on ne peut pas faire en magasin. Elle aura cependant certainement toute son importance sur le marché de l’occasion, où la question risque d’être souvent posée aux vendeurs.