Fin 2017, Gemalto disait « oui » à Thales pour la modique somme de 4,8 milliards d'euros après avoir refusé une offre d'Atos. Prévue pour fin 2018, la conclusion de cet accord est finalement arrivée le 2 avril 2019.
La Commission européenne s'était officiellement penchée sur la question l'été dernier, avant de finalement donner son accord sous conditions, notamment « la cession de l'activité de Thales concernant les modules matériels de sécurité à usage général ».
Thales affirme ainsi devenir « un leader mondial en identité et sécurité numériques » couvrant « l’ensemble de la chaîne de décision critique dans un monde numérique, de la génération de données par capteurs à la prise de décision en temps réel ».