La déclaration vient d'un porte-parole du ministère de la Défense belge, comme le rapporte Reuters.
Au nom de la sécurité nationale, le gouvernement avait demandé que des sites tels que les bases aériennes et centrales nucléaires soient floutés sur Maps, ce qui n'a apparemment pas été fait. Nos confrères rappellent que la société a déjà accédé à ce genre de demande par le passé.
Le porte-parole affirme simplement que « le ministère de la Défense va poursuivre Google en justice », sans plus de précision. De son côté, l'accusé n'a pas fait de commentaire pour le moment.