Accusée de discriminer les vidéos traitant des questions LGBT, la plateforme a conclu le « mois des fiertés » par un fil d'excuses sur Twitter. Elle y promet d'améliorer l'application de sa politique de monétisation, beaucoup de vidéos parlant de ces sujets étant démonétisées à tort selon leurs auteurs.
Google s'affiche pourtant comme une société ouverte, YouTube consacrant une part de ses conférences aux créateurs évoquant ces questions.
L'an dernier, YouTube avait déjà présenté ses excuses après avoir massivement placé en « mode restreint » des vidéos similaires, les rendant invisibles aux internautes. En mai, elle était accusée de retirer la publicité de la plupart des vidéos parlant de sexualité féminine, via la campagne #MonCorpsSurYouTube.