C'est du moins la déclaration faite par Jean-Yves Le Gall, président du Centre national d'études spatiales et du Conseil de l'ESA (l'agence spatiale européenne), à nos confrères des Echos.
« Nous avons décidé de mettre en place un fonds d’investissement, de l’ordre de 80 à 100 millions d’euros, pour faire démarrer des start-up, parce que nous pensons qu’une partie de l’avenir du spatial, ce sont des start-ups qui vont le construire » explique-t-il.