Si quelques éléments font déjà l'objet de tests, comme les dossiers législatifs, une refonte plus en profondeur est actuellement en préparation.
Ceux qui le souhaitent peuvent ainsi répondre à quelques questions afin de livrer leur opinion. La création d'un compte est nécessaire, il est précisé que « vos réponses sont anonymes et feront uniquement l’objet d’un traitement statistique collectif ».
Espérons que l'Assemblée nationale profitera de l'occasion pour revoir à la hausse la définition des vidéos diffusées et réduira le nombre de pisteurs utilisés, notamment ceux de plateformes américaines.
Une problématique qui continue de toucher de nombreux sites publics.