Dans une plainte déposée devant le tribunal fédéral de Miami, l'auteur, compositeur et interprète affirme qu'il n'aurait obtenu qu'une « petite fraction » des 50 % de royalties auxquels il aurait droit sur le streaming, explique Billboard.
Il conteste également l'équivalence entre les ventes physiques et numériques de son contrat : « Universal a insisté pour que des artistes comme Enrique soient payés de la même manière que pour des enregistrements physiques, alors qu’il n’y a aucun coût (de production, distribution ou d’inventaire) dans le monde numérique » affirme l'avocat à nos confrères.
Universal était le label d'Enrique Iglesias de 1999 à 2015, lorsqu'il est passé chez Sony. Le manque à gagner serait de plusieurs millions de dollars selon le chanteur, qui demande à avoir accès aux comptes d'Universal.