C'est la décision annoncée par Edouard Philippe ce week-end, comme le rapporte le Journal du Dimanche.
Le Premier ministre justifie sa décision par les « faiblesses structurelles » du modèle économique du projet. « Dans le contexte de "redressement de nos finances publiques", le chef du gouvernement refuse donc de "grever l'avenir [...] d'engagements supplémentaires non maîtrisés" » expliquent nos confrères.
Bien évidemment, les deux porteurs du projet, Jean-Christophe Fromantin et Luc Carvounas, ont réagi. Le premier explique sur Twitter qu'il ne se « retrouve pas dans cette France qui renonce », tandis que le second évoque une décision « incompréhensible ».
Trois pays restent en lice : la Russie, le Japon et l'Azerbaïdjan.