Après l'élection présidentielle américaine fin 2016, Facebook soupçonne une influence russe sur le référendum du Brexit, intervenu en juin 2016. Sous contrainte de parlementaires britanniques, le groupe scrute plus en détails une éventuelle ingérence dans ce processus.
C'est ce qu'a annoncé la société dans une lettre au parlementaire Damian Collins, responsable de la commission du numérique, de la culture, des médias et des sports.
Les services en ligne sont sous une forte pression d'autorités et parlements, aux États-Unis et en Europe, dans leur laisser-faire face aux manipulations politiques, désinformation en tête. Ils ont multiplié les gestes et nouveaux outils, plaidant dernièrement pour une transparence publicitaire, désormais réclamée par le gouvernement français.