En fin de semaine dernière, la justice américaine annonçait l’arrestation d’un homme accusé de cyberharcèlement. Il aurait notamment récupéré et diffusé des photos intimes, mais aussi créé de faux profils sur des réseaux sociaux.
Afin d’effacer ses traces, il aurait utilisé des services d’anonymisation, notamment PureVPN. Sur son site, ce dernier explique qu’il « ne conserve pas de journaux pouvant identifier ou aider à surveiller l'activité d'un utilisateur ». Problème, un document récupéré par nos confrères de The Registrer indiquerait le contraire (en bas de la page 22).
Voici quelques extraits : « les enregistrements de PureVPN montrent que les mêmes comptes de messagerie [...] ont été accédés à partir de la même adresse IP » et « de manière significative, PureVPN était en mesure de déterminer que le même client avait accès à leur service à partir de deux adresses IP ».
Contacté par certains de nos confrères américains, PureVPN n’a pour le moment pas souhaité commenter cette affaire.