Singulier, Next INpact est l'un des plus vieux journaux en ligne indépendants en France, et un des seuls sur les nouvelles technologies. Chaque mois, des centaines de milliers de lecteurs comptent sur nous et nous font confiance. L’information de qualité coûte très cher, et nous souhaitons poursuivre notre aventure aussi longtemps que possible.
Par le biais de nos lecteurs, nous sollicitons les acteurs du numérique et des nouvelles technologies à soutenir notre journal indépendant avec un mécénat défiscalisable. En plus des abonnements, notre modèle économique repose aussi sur ce type de revenus, devenu essentiel aujourd’hui pour continuer d’exister et nous développer.
Respect
Nous sommes donc en quête de soutiens provenant d’acteurs qui partagent nos valeurs et notre philosophie. En effet, nous ne vendons pas des données de nos lecteurs, mais bel et bien nos articles de fonds. Ils sont généralement réservés à nos abonnés pendant un mois, tandis que notre #Brief matinal est accessible gratuitement.
En 23 ans d'existence, Next INpact a franchi plusieurs étapes : bénévolat en 2000, puis professionnalisation dès 2003. Le modèle économique reposait alors sur la publicité et dépendait du référencement Google. Nous nous en sommes totalement détachés pour ne plus dépendre que de nos lecteurs.
INdépendance
Bien que difficile et risquée, cette dernière étape est cruciale pour continuer de garantir l’indépendance et la qualité éditoriale de notre journal. Nous refusons de céder aux titres racoleurs et autres fausses informations destinées au référencement ou aux réseaux sociaux. Nous poussons nos journalistes à donner le meilleur d’eux-mêmes et à prendre le temps nécessaire pour avoir une information de qualité.
Étant propriétaire à 76 % de Next INpact, cela m'oblige en outre à être totalement indépendant financièrement, ce qui exclut le rachat de mes parts ou encore des levées de fonds en échange de mes parts. La presse indépendante a besoin de mécénats et de donations, surtout la presse spécialisée et apolitique.
Soutien
Le mécénat d’entreprises ouvre droit à une réduction d’impôt égale à 60 % du montant du don (IR ou IS) dans la limite de 5 ‰ du chiffre d’affaires. 20 000 euros de dons ne coûteraient au final que 8 000 euros, grâce aux 12 000 euros de réduction d’impôt.
Je suis convaincu qu’il est nécessaire pour les acteurs du numérique que Next INpact poursuive sa route et se développe pour diffuser davantage d’informations et d’analyses chaque jour. Notre mission étant notamment de les informer dans un domaine complexe, truffé de non-dits et autres fake news.
Nos journalistes enquêtent en toute indépendance sur leurs sujets et prennent le temps nécessaire pour décortiquer des rapports de centaines de pages, interroger, fouiller, etc.
Notre journal a un statut d’entreprise solidaire, qui s’engage à ne jamais distribuer de dividendes. La majorité de nos revenus est ainsi destinée aux journalistes, et donc au contenu.
Il est néanmoins très difficile de trouver des mécènes pour un journal spécialisé comme le nôtre. C’est pourquoi je sollicite l’aide de nos lecteurs professionnels – qui nous connaissent et savent ce que notre journal apporte au quotidien – pour nous mettre en relation avec les personnes chargées de ce sujet dans leur entreprise.
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Notre journal existe uniquement grâce à vous. Un grand merci à toutes et à tous pour votre soutien. Et un grand bravo à l'équipe pour son travail quotidien.
Commentaires (18)
#1
Petite précision (tiré du lien contenu dans la phrase :
Donc la limite, c’est 5‰ OU 20 000 euros (le max des deux).
PS : je viens de clore mon exercice. Dès que j’ai le bilan, je regarde ce que je peux faire ;)
#1.1
Si je comprends bien, une société qui génère moins de 4 millions d’euros peut donner jusqu’à 20000 €, même si elle est au-delà des 0,5 % du CA. Pour celle qui génère plus de 4 millions d’euros, la limite est fixée à 0,5 % du CA. Sachant que si la limite est dépassée, la défiscalisation est étalable sur 5 ans d’exercices.
#2
Mouais 🤨 Tant qu’il y aura autant de contenu et sous-entendus ouvertement politisés dans vos articles et dessins, c’est inenvisageable. Même si j’apprécie la majorité de votre contenu et resterai abonné pour le moment.
#2.1
Je partage cet avis.
#2.2
pareil
#3
Soyez le prochain Qwant !
#3.1
D’une part, moi gérant et propriétaire suis totalement détaché des journalistes, et vice et versa.
Je n’ai pas demandé à ce qu’il y ait une enquête sur Qwant, c’est mon journaliste qui m’a expliqué les soucis qu’il avait constatés.
Soit je lui disais : écoute ami, on a 50 000 balles à récupérer, laisse tomber l’enquête.
Soit je lui disais : je défends l’indépendance de nos journalistes, fais ton métier.
Dans le premier cas, il aurait été légitime de dire que l’indépendance de nos journalistes serait remise en question pour de l’argent. Or ce n’est pas le cas.
Je suis resté fidèle à notre ADN. Puis la lettre A et d’autres médias indépendants étaient également sur cette enquête.
Il y avait des choses importantes à dénoncer, et cela faisait des années que nous informions nos lecteurs sur Qwant. Mécénat ou pas, il y aurait eu enquête…
Je trouve ton message injuste !
#3.2
Il n’est pas injuste, juste un peu provocateur.
C’est tout à ton honneur d’avoir laissé l’enquête se poursuivre malgré les échanges avec Qwant (si je me souviens bien).
Et il me semble (flemme de rechercher les articles) qu’effectivement le mécénat n’est pas allé jusqu’au bout, donc perte d’argent pour vous.
Mais, c’est un risque que les mécènes potentiels qui ont suivi l’affaire auront en tête. Ceux qui n’ont rien à craindre (j’allais écrire rien à cacher) vous soutiendront probablement.
#3.3
D’autant plus qu’à l’époque, le jour où Éric Léandri m’a accordé son aide de 10 000 € par mois (whaou !), Je lui ai bien précisé que ça n’empêcherait pas mes journalistes d’enquêter sur Qwant car j’étais entièrement extérieur au contenu, il m’a clairement répondu “ c’est pour cela que je vous soutiens !”
Quelle déception…
#4
Indépendance n’a jamais signifié ne pas avoir d’opinion…
#5
Et nous avions eu pas mal de retours de lanceurs d’alerte, employés ou anciennement employés chez Qwant. Les ignorer car argent ? Non.
Je rajouterai enfin, je n’ai absolument pas participé à l’enquête, ce n’est pas mon métier.
#6
C’est ce que dis le lien dans l’article, dont j’ai cité l’extrait ;)
#6.1
L’administration fiscale aurait été plus claire en indiquant que jusqu’à 4 millions d’€ HT, le plafond du don est de 20 000 € et qu’au-delà, c’est 0,5% du CA HT. Cela évite de faire le calcul si ton CA est inférieur à 4 M€.
#7
Merci à Next INpact pour son indépendance journalistique
Par ailleurs, pour les dons des particuliers, J’aime l’info utilise à présent Donorbox qui permet l’envoi instantané du reçu fiscal d’un don effectué par carte bancaire. Dès lors, est-ce que NI possède sa page dédiée sur Donorbox ?
#7.1
Oui, c’est prévu. Mais je ne sais pas quand :)
#8
A quand l’abonnement défiscalisable ??? 😉💾💻
#8.1
Puisqu’ici, on parle de sociétés, l’abonnement rentre dans les charges de la société et diminue le bénéfice et donc l’impôt.