Le film Jobs multiplie les partenariats, et Free semble bien décidé à s'associer à l'image du film. Après avoir fait gagner des places, comme nos confrères de Clubic, on a le droit à une interview de Xavier Niel sur le sujet.
Alors qu'Ashton Kutscher fait le tour des sites spécialisés (The Verge, TechChrunch) outre-Atlantique afin de faire parler du film Jobs, sur la vie du créateur d'Apple, en France il est surtout question de quelques partenariats. Des concours ont ainsi été lancés afin de faire gagner des places, mais l'on a cette fois droit à un intervenant très médiatique : Xavier Niel.
Souvent décrit comme notre Steve Jobs local, notamment en raison de ses présentations de plus en plus empruntées à la firme de Cupertino, il livre sa vision de ce film dans une interview d'un peu plus de cinq minutes. Bien entendu, le ton est assez positif, et l'on en viendra assez rapidement à parler startup entrepreneuriat.
De quoi inciter tous les adeptes de Free à aller voir le film d'ici sa sortie ?
Commentaires (59)
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Film Apple, film Facebook….
meh.
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Ouais, il espère surtout en faisant cela que si il venait à disparaître, un film sur sa vie soit réalisé.
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marrant de la part de quelqu’un qui doit connaitre l’histoire un peu d’apple de trouver le film magnifique tout beau ect … m’enfin j’attendrais voir le film mais pour le moment ça semble plutot pas vraiment historique & plutot un film fait à la gloire du fanboy…
après free partenaire du film …
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Qui s’en fout, levez les bras \o/
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Si on réalise un film sur Google je ne suis pas sur qu’il dise que “c’est une des plus belles start-up qui n’ai jamais existé”
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Xavier Niel ? Juste un beauf français !
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Jobs et Niel même combat : une armée de fanboys extrémistes prêt à tuer père et mère pour défendre l’indéfendable et se payer l’inachetable (car torp cher ou service pas complet à l’image d’ADSL Free sans Youtube).
J’ai bien fait de prendre mes plus value sur les 2 actions, sur le dos des pig… euh des fanboys.
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Bon voilà… dès qu’on commence à parler affaire, il l’a ramène plus, le golden boy…
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Maintenant il pourra essayer de se rattraper comme il veut, cette simple démonstration me suffira.
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En soirée etudiante, j’ai vu des pâtes au Cointreau. Je suis parti tellement l’air sentait l’alcool
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le truc qui me fait flipper dans l’interview c’est la facon de marteler “design, esthetique, beau, beau beau”
l’esthetisme et la beauté sont deux notions tres subjectives. ce qui l’est pour l’un ne l’est pas pour l’autre
mais la “force” de jobs a été de faire croire aux gens qu’ils étaient tous d’accord sur la meme vision du beau et de l’esthetisme: la sienne à lui… en refoulant/niant leur sensibilité personnelle…
quand aux arnaqueurs qu’on appelle designers, ou l’art de rendre quasi impropre à l’utilisation des produits fonctionnels au nom de la branlette visuelle inutile (la encore ca n’est que mon avis)… y’a un cercle infernal nouvellement ouvert pour les ergonomes et les designers (meme espece racine ces deux engeances maléfiques)
quand l’aspect physique va contre l’utilisation ou les fonctions d’un outils/appareil, j’estime que ca va trop loin, qu’on aime le visuel ou pas. C’est censé etre un plus, pas un “à la place de”
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Nul besoin du capital pour progresser, l’ humain n’ a pas eu besoin de capital pour faire du feu. Par contre certains on besoin du capital aujourd hui pour faire du feu, et ceux la sont les plus à plaindre.
Et c’ est pas le capital qui fait tourner le monde mais le pétrole.
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Ah, quand ce ne sont pas les hystériques du libéralismes primaire qui la ramènent avec leur propagande, c’est un, disons, koulak investisseur qui nous fait part de son vécu… Et il faut lui reconnaître a minima une façon plutôt, mettons, factuelle de présenter les choses.
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Bon, l’ami, tu as profité intelligemment (dans le sens, savoir comment prendre l’argent et se tirer avec à temps, en toute légalité) d’un système économique et social pourri qui va crever sous peu, grand bien te fasse. Après, ce n’est pas moi qui aurait envie de faire pareil, mais c’est personnel…
Sinon, pour revenir au sujet, ce qui me plaîrait, ça serait un film sur VLC, dans le genre épique façon Star Wars. Là, il y aurait un sujet en or à traiter !
En dehors de cela, un biopic sur Steve Jobs tenant à la dithyrambe imméritée selon les critiques, mouais… Franchement, après l’URSS qui encensait ses héros du soviétisme avec son cinéma de propagande, on a le cinéma commercial occidental qui emploie les mêmes méthodes avec ses capitaines d’industrie, joli… Ou comment une idéologie qui a toujours hurlé qu’elle était en tout point l’inverse du communisme soviétique finit par arriver à lui ressembler trait pour trait en employant des méthodes sensées être à l’opposé de sa nemesis disparue en 1991…
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Jobs a surtout l’aire d’être un film pour les fans d’Apple afin de les conforté dans leur idée que Jobs était un génie incroyable. Ce sont pourtant les gens de l’ombre comme toujours qui ont tout permis. Sans Dennis MacAlistair Ritchie Jobs n’aurait pas eu grand chose à faire.
Et sans Bill Gates qui a amener un pc dans chaque foyer avec Windows et qui a mit de l’argent dans Apple la remise en marche d’Apple n’aurait pas été possible. Sans palm et d’autre qui ont inventé les smartphone, les tablettes, les baladeur numérique est-ce que Steve Jobs aurait fait autant? J’en doute. Jobs a eu pas mal de bonne idée mais rien qui mérite un film pour moi, en tout cas pas un film pareil alors qu’a côté de ça ceux qui ont tout inventé sont toujours oublié.
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suite.
Enfin, ça vaut le coup de s’endetter pour son avenir, c’est d’ailleurs ce que fait un état pour payer l’éducation de la génération suivante.
Si Mme Michu est sure de gagner 3000 euros par mois avec son business, mais il lui faut mettons 30 000 euros pour débuter. Elle a un immense talent, mais n’a pas assez de revenus pour économiser.
Elle a le choix, soit quelqu’un est associé et apporte le ou une partie du capital mais là, elle perd une partie des bénéfices, soit elle s’endette. Dans les 2 cas, elle doit convaincre de son talent, de ses compétences, malgré son manque d’argent.
Mme Michu va donc s’enrichir par son talent, il lui manque juste du capital.
Après, bien sur, il y a des abus dans les prêts, mais il y a abus partout, tous les investisseurs ne sont pas des salauds, de même que toutes les Mme Michu ne sont pas des anges.
Le problème, c’est plus le crédit revolving ou prêter trop facilement de l’argent à certaines personnes, car oui, il y a des personnes à qui il vaut mieux pas prêter de l’argent, car ils s’enfermeraient dans une mauvaise spirale.
Le rôle du prêteur et de l’investisseur, c’est aussi de s’assurer de la crédibilité du projet, pas uniquement pour lui, mais aussi pour le porteur du projet.
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C’est pas le premier film réalisé sur la vie de Jobs… Quelqu’un se rappelle du Pirates of Silicon Valley de 1999? Très romancé, mais néanmoins fortement ancré dans la réalité.
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