Le test de performances 3D universel d'UL Benchmarks se renforce. Il ajoute le support des SoC ARM sous macOS et Windows 10 on ARM. Cela passe par une nouvelle scène de test plus exigeante.
En octobre dernier, UL Benchmarks annonçait son test Wild Life, disponible pour Android, iOS et Windows. L'objectif était alors de proposer une solution de comparaison de performances pour les appareils mobiles multi-plateformes.
Mais il manquait alors un système : macOS. L'éditeur a en effet attendu que les SoC M1 d'Apple soient disponibles et que macOS 11 (Big Sur) soit assez avancé pour sortir du bois. Suite à la mise en ligne de la version 11.3 il dévoile une version Extreme du test Wild Life, ajoutant le support des SoC ARM pour l'OS d'Apple et Windows 10 on ARM.
Le test lui-même a été réhaussé, exploitant « de nouveaux effets, une géométrie améliorée et plus de particules », un rendu 4K (3 840 x 2 160 pixels), exigeant des composants plus puissants. Il exploite toujours l'API Vulkan sous Android et Windows, Metal pour iOS et macOS. Dans Windows 10 on ARM, seul DirectX 12 est disponible, elle est donc utilisée.

Le benchmark peut être lancé de manière classique, pour obtenir un score à comparer, ou via un « stress test » qui dure plus longtemps et permet de voir comment les composants se comportent lorsqu'ils sont soumis à une charge lourde pendant une longue durée. Que ce soit leur système de refroidissement, leurs fréquences, etc.
La mise à jour est gratuite, sous Android, iOS et macOS. Sur PC, il faut disposer au moins d'une licence Advanced. Notez que les iPhone 7 Plus et supérieurs sont compatibles, sous Android il faut que le GPU soit compatible avec Vulkan Anisotropy (niveau 16 et plus). Les Mac équipés d'un processeur Intel ne sont pas gérés.