Mercredi, Laure de la Raudière était à la Commission de l'aménagement du territoire et du développement durable du Sénat pour parler de « la problématique de l'aménagement numérique du territoire ». Il était donc question du plan France Très Haut Débit et du New Deal Mobile.
La nouvelle présidente de l’Arcep (et pour les six années à venir) avait déjà passé une audition il y a quelques semaines. Elle n’était alors que proposée pour ce poste et devait recevoir la validation des députés, obtenue depuis sans problèmes dans les deux chambres. Cette semaine, elle n’était plus candidate, mais officiellement à la tête du régulateur depuis deux mois.
Dans son discours introductif, Laure de la Raudière est revenue sur « la qualité du service du réseau cuivre » qui fait l’objet de nombreuses tensions entre Orange (propriétaire du réseau), les fournisseurs d'accès et les clients. Elle a une nouvelle fois réaffirmé que ce sujet est « une de [ses] préoccupations majeures, au même titre que les enjeux de couverture numérique du territoire en très haut débit fixe et mobile ».