The Phone House confirme la perte d'Orange et envisage le dépôt de bilan

The Phone House confirme la perte d’Orange et envisage le dépôt de bilan

Le mot boutique disparaitra du dictionnaire bientôt

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Nil Sanyas

Publié dans

Économie

06/03/2013 3 minutes
46

The Phone House confirme la perte d'Orange et envisage le dépôt de bilan

Selon l'AFP, The Phone House a confirmé lors de son dernier comité d'entreprise la future perte de son contrat avec Orange. Une nouvelle qui a poussé la société à suspendre son actuel plan social. La direction aurait même annoncé que le dépôt de bilan était « envisageable » selon un syndicaliste.

The Phone House

Le plan social suspendu

Après Virgin MegastoreGameSurcouf, et Pixmania, les boutiques de The Phone House pourraient-elles suivre une liste bien morbide ? La fameuse enseigne bien connue du monde mobile a ainsi confirmé la perte de son contrat avec Orange (pour 2014), dans la continuité de son contrat terminé avec Bouygues Télécom depuis le 1er janvier de cette année. Une perte majeure, dès lors qu'Orange représente près d'un quart de son chiffre d'affaires et environ 50 % des ventes de forfaits.

La fin de son partenariat avec Bouygues Télécom avait déjà forcé The Phone House à réagir activant un plan social concernant 226 salariés et la fermeture de 30 % de ses magasins. Un plan finalement suspendu afin d'étudier l'impact de la perte future de son contrat avec Orange selon des syndicats qui se sont confiés à l'AFP.

Un dépôt de bilan possible ?

Pire encore, selon Paul Lopes, délégué syndical national CFTC, la direction de The Phone House aurait annoncé en marge du comité d'entreprise extraordinaire qu'un dépôt de bilan était « envisageable ». Une annonce catastrophique quand on sait que The Phone House compte près de 1200 employés, à l'instar de Virgin.

Selon Laëtitia Wagner de Force Ouvrière, « des analyses complémentaires pour voir l'impact de la dénonciation du contrat » avec Orange seront réalisées. Le résultat de ces analyses sera connu fin avril si tout va bien. Le plan social de The Phone House repartira alors suite aux résultats de ces analyses. Il est toutefois probable que ce plan soit réévalué, si tout du moins le dépôt de bilan venait à être évité.

Vers une intervention de l'État ?

Le caractère vital d'Orange pour The Phone House pourrait-elle pousser l'État, actionnaire important de l'opérateur télécom, à intervenir ? Le mois dernier, nous apprenions que l'enseigne avait contacté le ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie en ce sens. Une source de Bercy estimait qu'il n'y avait pour le moment pas péril en la demeure. « L'évolution du contrat Orange ne signifie pas la fin de The Phone House, qui pourrait trouver un nouveau modèle économique avec la vente de terminaux nus, tablettes et autres matériels numériques. » Sans intervention, les licenciements chez The Phone House seront assurément nombreux.

Écrit par Nil Sanyas

Tiens, en parlant de ça :

Sommaire de l'article

Introduction

Le plan social suspendu

Le brief de ce matin n'est pas encore là

Partez acheter vos croissants
Et faites chauffer votre bouilloire,
Le brief arrive dans un instant,
Tout frais du matin, gardez espoir.

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Commentaires (46)


La faute aux cyber marchand booouuuuuuuuuuuuuuuu.


La faute à Free. Bouuuuuuuuuuuu


Encore une entreprise qui n’a pas su évoluer si il doit y avoir aide de l’état, j’espère que ça servira à faire évoluer l’entreprise vers un modèle sain plutôt que de garder des emplois qui n’ont plus lieu d’être.





Ben c’est bien triste pour eux parce qu’ils étaient pas mal… maintenant, c’est la vie…




Le caractère vital d’Orange pour The Phone House pourrait-elle pousser l’État, actionnaire important de l’opérateur télécom, à intervenir ?



Il manquerait plus que ça…..


La faute à un mauvais modèle économique.








Durandal a écrit :



La faute aux cyber marchand booouuuuuuuuuuuuuuuu.









Industriality a écrit :



La faute à Free. Bouuuuuuuuuuuu







la faute à l’état ! donc à nous ! bouuuuuuuuuuuuuuuuuuh !!



Mauvais souvenirs du SAV de la vente et de la gestion commerciale, mais je ne peux pas mettre tous les TPH dans le même sac.

La vente des terminaux nus couplée avec celle en ligne les a tués, je pense.

A l’époque le point positifs était d’avoir les terminaux non-“brandé”, dommage.


Je compatis pour les salariés. Je leur souhaite bon courage et leur adresse tous mes voeux pour retrouver du taf au plus vite. Sincèrement.



Maintenant, que voulez-vous, quand une entreprise propose des produits ou des services qui ne répondent plus en quoi que ce soit aux besoins ou aux désirs des consommateurs, ben voilà quoi…



C’est une loi de la nature qu’on connaît depuis les dinosaures…




Le mot boutique disparaitra du dictionnaire bientôt



<img data-src=" /> Larousse 2222 :

Boutique : Endroit virtuel ou l’on achète des objets dans les jeux vidéo (ex Diablo)

Historiquement, il aurait existé des boutiques réelles ou les gens se rencontraient réellement, mais certains historiens restent dubitatifs.





<img data-src=" />


Sans troll réellement, vu que je ne connais pas bien ces boutiques : quelles est la valeur ajoutée entre aller dans une boutique Phone House plutôt que d’aller directement dans une boutique Orange ?


bon bah je croit que je vais rester à la maison, ça coûteras moins cher de rester à la maison et d’acheter devant son ordinateur que de prendre la voiture pour aller travailler et de ce faire licencier. <img data-src=" />


La faute aux consommateurs, c’est tout <img data-src=" />








Malesendou a écrit :



La faute à un mauvais modèle économique.





+1<img data-src=" />









Esarend a écrit :



Sans troll réellement, vu que je ne connais pas bien ces boutiques : quelles est la valeur ajoutée entre aller dans une boutique Phone House plutôt que d’aller directement dans une boutique Orange ?







As-tu déjà fait la queue dans une boutique Orange ?



A une époque (*), ce genre de magasin te permettait de comparer les offres des opérateurs.



Tu arrivais avec tes besoins et ton budget, et le vendeur te proposait un téléphone et une offre.



Ces magasins avaient pignon sur rue, alors que les boutiques Bouygues et SFR n’existaient pas, ou presque.



(*) 2002-2003, à la louche



Bah, c’est la vie de l’économie !

S’ils meurent, c’est qu’il y a une raison… tant pis pour eux








Esarend a écrit :



Sans troll réellement, vu que je ne connais pas bien ces boutiques : quelles est la valeur ajoutée entre aller dans une boutique Phone House plutôt que d’aller directement dans une boutique Orange ?







Pas grand chose.



The Phone house, comme tous les opérateurs, a simplement profité des prix artificiellement gonflés et maintenus, impliquant de fait des tonnes de boutiques pour vendre encore plus, sans aucune valeur concrète derrière…



Maintenant, il est temps de faire le ménage, la téléphonie, c’est finit la planque, c’est devenu concurrentiel, et un certain nombre de boutiques, qui sont actuellement en surnombre, devront inévitablement fermer que ce soit TPH ou celles d’opérateurs.



Pour le reste, l’argent circule, celui qui n’ira pas chez les opérateurs ira enrichir d’autres entreprises, qui auront les capacités d’embaucher de leur côté. (Si les capitaux ne fuient pas à l’étranger)









bingo.crepuscule a écrit :



Pas grand chose.



The Phone house, comme tous les opérateurs, a simplement profité des prix artificiellement gonflés et maintenus, impliquant de fait des tonnes de boutiques pour vendre encore plus, sans aucune valeur concrète derrière…



Maintenant, il est temps de faire le ménage, la téléphonie, c’est finit la planque, c’est devenu concurrentiel, et un certain nombre de boutiques, qui sont actuellement en surnombre, devront inévitablement fermer que ce soit TPH ou celles d’opérateurs.



Pour le reste, l’argent circule, celui qui n’ira pas chez les opérateurs ira enrichir d’autres entreprises, qui auront les capacités d’embaucher de leur côté. (Si les capitaux ne fuient pas à l’étranger)





J’aurais pas mieux résumé…









Esarend a écrit :



Sans troll réellement, vu que je ne connais pas bien ces boutiques : quelles est la valeur ajoutée entre aller dans une boutique Phone House plutôt que d’aller directement dans une boutique Orange ?







C’est comme pour la chaine de restauration l’Hyppopotamus : Tu n’y vas surtout pas pour la bouffe mais pour les serveuses (du moins avant)



La faute à la concurence, bouuuuuuuuuuuuuh ! <img data-src=" />

Non j’ai arrêté avec the phone haouse assez rapidement car les prix des portables étaient juste abusés…

Sinon, bah je suis sur PhoneAndPhone et c’est vachtement mieux, farpaitement.


le jour où les 3 gros ont développés massivement leurs propres magasins dédiés je n’ai misé un copec sur le devenir des boutiques tierces… leurs sorts était de fait scellé… <img data-src=" />



à force de vouloir méga se diversifier les gros opérateurs ont engagé des entreprises par des partenariats… que maintenant ils lâchent les uns après les autres…



La faute à qui… ben en fait à tout le monde et à personne…





  • A l’entreprise tierce pour ne pas avoir suffisamment diversifié son offre ou s’être trop laissé enfermé par les opérateurs (par exemple devenir un MVNO aurait était viable…)



  • A l’opérateur de jouer au “j’te prends j’te jette”… facile de nouer des partenariat pour rendre son offre la plus visible partout… ensuite lorsqu’on veut récupérer de la marge on ferme les vannes et zou ce n’est plus son affaire…



  • A la crise… ce qui n’a pas aidé les 2 camps…



  • Au 4ème opérateur… : “la crise” dans la crise <img data-src=" />










Aces a écrit :



La faute à la concurence, bouuuuuuuuuuuuuh ! <img data-src=" />

Non j’ai arrêté avec the phone haouse assez rapidement car les prix des portables étaient juste abusés…

Sinon, bah je suis sur PhoneAndPhone et c’est vachtement mieux, farpaitement.







Elle a bon dos la concurrence :o



Que tout ceux qui poste comme toi se retrouve au chômage à cause de la concurrence, et on verra bien comment ils réagissent <img data-src=" />



Mais bon, bientôt la fin des vacances, ça devrait aller mieux :P



La fin des abonnements 20% plus cher qu’ailleurs, trop dommage <img data-src=" />


c’est un peu marche ou crève en ce moment…

m’enfin pour ma part, je ne suis jamais allé non plus dans une boutique de ce genre, donc pas de souci pour moi qu’elle disparaisse, ce n’était qu’une sangsue deplus dans le monde du mobile. <img data-src=" />









FunnyD a écrit :



<img data-src=" /> Larousse 2222 :

Boutique : Endroit virtuel ou l’on achète des objets dans les jeux vidéo (ex Diablo)

Historiquement, il aurait existé des boutiques réelles ou les gens se rencontraient réellement, mais certains historiens restent dubitatifs.



<img data-src=" />





lol



le developpement du commerce virtuel n’a pas encore fait beaucoup de degats dans le commerce traditionnel mais il ne fait pas rever ce qui arrive a Phone House aujourd’hui arrivera a d’autres enseignes qui plutot que tenter de s’adapter en developpant des marches non presents sur le net se limitent a voir leur chiffre d’affaires fondre comme neige au soleil et reduisent leurs frais de personnel dans les secteurs fortement present sur le net….


Ce sont des business éphémères, qui se créent lorsqu’un marché/demande émerge et qui disparaissent quand la ressource est épuisée.



Pas de quoi en flan, ceux qui y travaillent peuvent vendre de tout, ils retrouveront facilement le même style de job…








_Makaveli_ a écrit :



Elle a bon dos la concurrence :o



Que tout ceux qui poste comme toi se retrouve au chômage à cause de la concurrence, et on verra bien comment ils réagissent <img data-src=" />



Mais bon, bientôt la fin des vacances, ça devrait aller mieux :P









Pas sûr qu’ils réagissent tel que tu le pense, et s’il fallait maintenir à flot des activités déficitaires juste pour le plaisir de conserver artificiellement des emplois, on ne s’en sortirais plus et le pays sombrerais dans sa perte avec des emplois précaire partout, une innovation moindre, et l’immobilisme de notre société. <img data-src=" />

Ha mais attends, je crois que c’est déjà le cas… <img data-src=" />





A ceux qui se demandent ce que peut bien attendre un jeune de la vie, je leur réponds que c’est avant tout de pouvoir faire ses preuves, d’avoir le droit de commettre des erreurs et de reprendre son chemin.

La simple idée qu’une fois le CDI en poche le pire est évité suffit à faire naître chez l’individu l’instinct de conservation au détriment de l’esprit d’aventure, seul à même de créer le goût du risque.



Prendre des risques implique que l’on se trompe, que l’on chute, que l’on pose un genou à terre. Prendriez-vous le moindre risque en sachant qu’en cas d’erreur, vous vous retrouvez sur un marché du travail rigide où finalement, l’erreur semble peu permise ? En réalité, l’obsession de la sécurité de l’emploi et les 35 heures ne font que renforcer la pression qui pèsent sur les salariés. Si je fais une erreur, comment pourrais-je me rattraper en ne travaillant que 35 heures ? Je prends des risques, commets une erreur et suis licencié. Comment pourrais-je trouver un travail ?



Est-ce à dire qu’il faut sécuriser de façon absolue le contrat de travail ? Dans ce cas, le risque est absent. Et ce pourrait être une bonne chose si le chef d’entreprise, de fait, n’en venait pas à avoir, lui, peur de prendre des risques. D’autant plus qu’il n’existe rien de plus difficile en entreprise qu’un employé et son patron incapables de s’entendre et qui, pourtant, continuent à se voir tous les jours comme un vieux couple marié qui ne s’aime plus depuis des années.



In fine, le marché du travail ne présente plus d’opportunités car à chaque offre de travail, s’accole une prime de risque que peu d’entreprises sont prêtes à accepter dans un tel contexte morose. La moindre erreur, pour le chef d’entreprise comme pour le salarié est fatale. Alors on ne bouge plus. Cela s’appelle la stérilisation. Et lorsqu’on stérilise, on empêche la reproduction. Si l’on empêche la reproduction, on éteint l’espèce. En résumé, on tue l’idée d’avenir.



A ceux qui trouverons la métaphore douteuse, je leur réponds que dans l’esprit d’un jeune aujourd’hui, conscient que ses premiers salaires seront faibles, que ses opportunités d’évolution de carrière seront faibles et que le nombre d’offres d’emploi sera faible, l’écho est puissant. La précarité, ça n’est pas le faible salaire. La précarité, ça n’est pas le risque de la perte d’emploi. La précarité, ça n’est pas le poste en bas de l’échelle. Tout cela, lorsque l’on débute demeure parfaitement légitime.



En revanche, la précarité c’est l’absence d’augmentation de salaire, elle-même fonction de l’absence d’opportunités d’évolution de carrière. La précarité, c’est de savoir que si l’on perd son emploi, le futur employeur réfléchira à trois fois avant de nous embaucher à nouveau, car il a déjà réfléchi à deux fois lorsqu’il lui a fallu calculer le coût de l’embauche et le coût d’un éventuel licenciement.



A tous ceux qui prétendent défendre le progrès social, je leur dis qu’ils tuent l’espoir. Je leur dis qu’ils gâchent toute chance de pouvoir faire ses preuves, mais surtout, de se tromper et de commettre des erreurs. Je leur dis qu’il n’ont que le présent à l’esprit et que la vie qu’il propose est vide de sens. Je leur dis qu’il tue le mouvement, alors même que le mouvement fait partie intégrante de notre nature de la plus infime des particules élémentaires jusqu’aux galaxies. Je leur dis qu’ils n’ont rien à offrir que la nostalgie d’un monde qui n’est plus qu’un songe.



Nous ne voulons pas d’un emploi sécurisé, ou devrais-je dire, verrouillé. Nous voulons pouvoir perdre un emploi et en retrouver un autre. Nous ne voulons pas d’un bail que le propriétaire ne peut pas rompre, mais nous voulons pouvoir perdre notre logement et en retrouver un. Nous ne voulons pas d’un salaire minimum de 1500€, nous voulons pouvoir augmenter notre salaire en faisant nos preuves. Nous ne voulons pas d’une indemnité chômage de deux ans financée avec de la dette qui oblige les entreprises à rogner l’économie productive seule à même de nous offrir des emplois.



En résumé, nous ne voulons pas être pris pour des fainéants à qui il faut tout donner. Nous voulons avoir la chance de faire nous-même notre place. Nous voulons votre confiance, et non votre assistance. Nous ne sommes pas en pannes, cessez simplement de lever le frein à main.









bingo.crepuscule a écrit :



Pas sûr qu’ils réagissent tel que tu le pense, et s’il fallait maintenir à flot des activités déficitaires juste pour le plaisir de conserver artificiellement des emplois, on ne s’en sortirais plus et le pays sombrerais dans sa perte avec des emplois précaire partout, une innovation moindre, et l’immobilisme de notre société. <img data-src=" />

Ha mais attends, je crois que c’est déjà le cas… <img data-src=" />







T’oublie de citer l’auteur :





Guillaume Aubry ([email protected])



Étudiant en droit à l’université Paris XI et passionné de politique, je me définis comme un libéral convaincu. Sans renier l’héritage gaulliste, ni même le modèle français, je crois profondément à la nécessité de laisser à l’individu du III° millénaire plus d’autonomie dans ses rapports aux autres et à la collectivité. Je crois à la liberté de l’individu d’exprimer toute sa subjectivité et sa créativité au sein de la collectivité. Le politique n’a pas vocation à guider le peuple vers la lumière, mais plutôt à lui offrir le meilleur environnement possible pour qu’il trouve lui-même sa propre lumière. La Liberté est le seul levier par lequel un individu, un peuple et l’humanité peuvent briller. Je crois au mouvement, au renouvellement, au changement, à l’innovation, à l’imagination et au génie créatif de chacun.



Bonne lecture à tous sur notre blog,










FunnyD a écrit :



<img data-src=" /> Larous’ 22 222 :

Boutique : Endroit virtuel ou l’on achète des objets dans les jeux vidéo (ex Diablo)

Historiquement, il aurait existé des boutiques réelles ou les gens se rencontraient réellement, mais certains historiens restent dubitatifs.





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Dans 20 000 ans, je dis pas, mais dans 200 ans. <img data-src=" />









zefling a écrit :



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Dans 20 000 ans, je dis pas, mais dans 200 ans. <img data-src=" />





Va savoir, dans 50 ans, les boutiques physiques ont disparues, 20-30 plus tard, une guerre informatique fait disparaitre 99% des infos contenues sur le net, 120-130 ans plus tard, tout le monde a oublié ce qu’était la vie d’avant “ le grande formatage”<img data-src=" />



La faute aux fautifs ! Bouuuuuuuuuuuu <img data-src=" />


mince, moi qui voulait monter une boutique de téléphonie mobile…. finalement, je vais reprendre mon idée de départ et ouvrir un vidéoclub.



















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Kivlov a écrit :



mince, moi qui voulait monter une boutique de téléphonie mobile…. finalement, je vais reprendre mon idée de départ et ouvrir un vidéoclub.





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Ils ont pas tous fermé ? <img data-src=" />










bingo.crepuscule a écrit :



Pas sûr qu’ils réagissent tel que tu le pense, et s’il fallait maintenir à flot des activités déficitaires juste pour le plaisir de conserver artificiellement des emplois, on ne s’en sortirais plus et le pays sombrerais dans sa perte avec des emplois précaire partout, une innovation moindre, et l’immobilisme de notre société. <img data-src=" />

Ha mais attends, je crois que c’est déjà le cas… <img data-src=" />









bingo.crepuscule a écrit :



Pas sûr qu’ils réagissent tel que tu le pense, et s’il fallait maintenir à flot des activités déficitaires juste pour le plaisir de conserver artificiellement des emplois, on ne s’en sortirais plus et le pays sombrerais dans sa perte avec des emplois précaire partout, une innovation moindre, et l’immobilisme de notre société. <img data-src=" />

Ha mais attends, je crois que c’est déjà le cas… <img data-src=" />









c’est pour cela qu’il faut sécuriser la réinjection dans l’économie de la richesse produite par une entreprise, qui est le fin du mot problème à chaque crise.



et non effectivement sécuriser le travail à outrance. aucun extrême n’est bon de toutes façons.



et des écarts de salaires maximums raisonnables(maxi 50) devrait avoir le droit de licencier plus facilement. dans le cas contraire, ça devrait être interdit.

tout en gardant des exceptions, genre femme enceinte notamment pour la nécessité de renouveler les générations pour les raisons déjà connues.














bingo.crepuscule a écrit :



Pour le reste, l’argent circule, celui qui n’ira pas chez les opérateurs ira enrichir d’autres entreprises, qui auront les capacités d’embaucher de leur côté. (Si les capitaux ne fuient pas à l’étranger) Amazon et ses actionnaires, qui peuvent pratiquer des prix si bas grace à une évasion fiscale savamment orchestrée





Fixed <img data-src=" />



Le libéralisme et la libre concurrence, cela marche mieux quand il y a un minimum de règles <img data-src=" />



bon, free n’a plus qu’à racheter les boutiques de thephone house et pourrait ainsi tenir une part de ses engagments vis-à-vis de l’ARCEP…



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Edit :


Le libéralisme…. on voit ce que cela donne dans les pays anglo-saxons. Ils ont fait des erreurs, leurs maisonsnont été prises. Qui leur permet de se relever? Personne.


Tout dogme est dangereux. La société dans laquellenous vivons et que nous fabriquons, n’aime pas la liberté. Car il faut bien avoir une peur de perdre quelque chose pour obliger les gens à se lever le matin. La plus part des salariés travaillant pour les autres, loyer, courses, etc… n’ayant au final qu un très petit espace pour profiter de la vie.








carbier a écrit :



Fixed <img data-src=" />



Le libéralisme et la libre concurrence, cela marche mieux quand il y a un minimum de règles <img data-src=" />





Il dit la même chose dans la parenthèse que tu as barré. <img data-src=" />









sioowan a écrit :



Le libéralisme…. on voit ce que cela donne dans les pays anglo-saxons. Ils ont fait des erreurs, leurs maisons ont été prises. Qui leur permet de se relever? Personne.





Le problème dans les pays Anglo-saxons c’est que l’économie se remet en route plus vite, et que malgré la grosse pression qu’il y a sur les classes moyennes aux US, ils sont quand même moins négatifs que les français et pensent plus pouvoir s’enrichir par leur travail que nous.









FunnyD a écrit :



<img data-src=" /> Larousse 2222 :

Boutique : Endroit virtuel ou l’on achète des objets dans les jeux vidéo (ex Diablo)

Historiquement, il aurait existé des boutiques réelles ou les gens se rencontraient réellement, mais certains historiens restent dubitatifs.





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<img data-src=" /> Dictionnaire des clones VSI :

Boutique : Endroit où des sacs à viande avaient pour coutume de se rencontrer afin d’acheter des objets. Certains spécimens existeraient encore dans les zones des réfractaires.



Merci Free!<img data-src=" />


Une aide de l’état pour offrir aux français une boutique de téléphone tous les 500m dans les centres villes ?



Sauvons des emplois, mais des emplois utiles. Il faut que The Phone House change son business modèle !








manu28 a écrit :



Le problème dans les pays Anglo-saxons c’est que l’économie se remet en route plus vite, et que malgré la grosse pression qu’il y a sur les classes moyennes aux US, ils sont quand même moins négatifs que les français et pensent plus pouvoir s’enrichir par leur travail que nous.







Je ne vois pas où l’économie se remet plus vite, la ville de Detroit était en cessation de paiement, les gens qui ont perdu leur pavillon n’ont pas tous retrouvé un emploi. Mais effectivement les seuls à promouvoir le libéralisme sont ceux pour qui tout va bien. Libéralisme et égoïsme semble faire bon ménage.



Après je ne dis pas qu’il ne sont pas coupable de ne pas avoir utiliser leur cerveau pour avoir pris autant de crédits, mais que faire quand toute la société montre cet exemple? C’est la société qui est à punir et plus encore ceux qui l’on créée.



C’est pas tout de penser s’enrichir, faut-il le pouvoir. Notre monde étant pyramidale, c’est une escroquerie que de dire que tout le monde peut réussir. A la rigueur tu vas réussir à bosser moins de 16heures par jour, comme ces Américains qui sont obligé d’avoir 3 boulots, c’est pas de la liberté à ce compte là.

Heureusement pour nos sociétés que la nature a inventé l’instinct de survie. Car pour beaucoup y’a de quoi se faire sauter le caisson.



Après, je suis d’accord sur le fait que sacraliser le CDI, c’est peut-être pas une bonne chose. Mais en même temps, sans CDI, très difficile d’acheter une maison. Surtout pour tout ceux qui sont sous la barre des 1500€/ mois. Et je ne parle même pas pour trouver une location.



Perso, je suis sous le seuil de pauvreté Européen. Donc, n’ayant pas de famille à charge je ne m’en plein pas. Pour la simple raison, que je suis libre et que la vie, malgré mon manque d’argent me sourie. J’ai conscience d’être un cas à part.

La semaine dernière j’ai passé 15jours dans un pays Européen, je me suis démerder pour me faire prêter un appart en échange d’un peu de mon temps en France. La semaine prochaine je traverse l’atlantique pour plus d’un mois. Pareil, je me suis démerder pour trouver des choses qui vont me permettre de me faire rembourser le billet d’avion et pour avoir un logement.

Je pratique l’échange de compétence.



Donc au final, je suis pour l’instant, car je ne sais pas ce que sera mon futur, bien plus heureux ainsi. Mais cela ne va pas durer; pour le moment j’ai tenu 25ans de vie dite “active”, de cette façon. Avec quelques périodes “normales”.