Histoire de macOS : de la mort des systèmes Classic à la douloureuse révolution Mac OS X

Non, tout n'était pas rose
Logiciel 15 min
Histoire de macOS : de la mort des systèmes Classic à la douloureuse révolution Mac OS X

Nous continuons aujourd'hui notre plongée dans le système d'exploitation des Mac avec les dernières versions de la branche Classic et surtout l'arrivée d'OS X. Mais celui qui allait tout changer en quelques années ne fut pas vraiment apprécié à sa sortie. Du temps a été nécessaire pour qu'il gagne en maturité.

Nous en sommes aux années qui ont suivi le rachat de NeXT en décembre 1996, et donc le retour de Steve Jobs chez Apple. À cette époque, Copland devait accoucher d’un Mac OS 8 qui aurait donné le change à la concurrence. Au lieu de ça, et suite à l'abandon du projet, il n'est qu’une prolongation de la version 7.6.

Ses bases techniques sont toujours les mêmes, avec les limitations que l’on connaît. Ce qui n’empêche pas cette mouture d’introduire des nouveautés, héritées des restes de Copland. Par exemple, un Finder « multi-threadé » qui autorisait les opérations sur les fichiers en tâches de fond. Un nouveau look, nommé Platinum, modernise l’interface à défaut des fondations du système. Les thèmes apparaissent d’ailleurs pour la première fois.

La mise à jour 8.1 est particulièrement importante puisqu’elle introduit le système de fichiers HFS+. Si le nom vous parle, c’est qu’il sera utilisé pendant très longtemps, Apple ne l’ayant remplacé qu’avec le récent APFS (Apple File System), conçu en priorité pour le stockage à mémoire flash. Quant à Mac OS 8.5, il ne compte que pour avoir terminé la transition des derniers morceaux de code pour l’architecture Motorola 68K vers PowerPC.

On note quand même dans Mac OS 8.6 l’introduction du Trousseau et une petite évolution du nanokernel. Saupoudré des Multiprocessing Services 2.0 (et ultérieures), il devenait capable d’un début de multitâche préemptif. L’effort s’arrêtait cependant vite, puisque les processus eux-mêmes continuaient à fonctionner dans un espace mémoire unique et en multitâche coopératif. Même un code remanié pour tirer parti des Multiprocessing Services ne pouvait se passer entièrement de ce modèle, déjà considéré comme archaïque.

Notre dossier sur l'histoire de macOS :

Mac OS 9, dernier représentant de son espèce

Quand Mac OS 9 sort en octobre 1999, tout le monde sait déjà qu’il n’est là que le temps qu’Apple propose un système vraiment nouveau. Après tout, l’entreprise n’a-t-elle pas racheté NeXT et son NeXTSTEP ? Aussi cette version 9 aurait pu être une simple 8.7, ce qu’elle était d’ailleurs au début de son développement.

Les apports se concentrent sur un renforcement de l’existant, avec un meilleur support des réseaux sans-fil AirPort, un début de prise en charge des comptes multiples (chaque utilisateur a ses données et paramètres), une meilleure gestion de la mémoire, un outil de recherche plus complet, ou encore Apple Software Update qui permettait pour la première fois une recherche en ligne des mises à jour.

  • Mac OS 9
  • Mac OS 9

Pendant ce temps, dans les chaudrons d’Apple

Il a fallu deux longues années pour que le public puisse voir ce qu’Apple préparait. Le retour de Steve Jobs et le rachat de NeXT ont en effet apporté à l’entreprise tout ce dont elle rêvait pour repartir sur des bases nouvelles.

La toute première version de Mac OS X est sortie la même année que Mac OS 9. À ceci près qu’elle n’était conçue que pour les serveurs. Elle avait davantage valeur de démonstration technologique que de véritable produit, car le nouveau socle technologie était encore mal maîtrisé. Le potentiel était là, mais le système était lent et incomplet.

De Mac OS 9 il ne restait que les outils et l’interface : les fondations techniques étaient entièrement neuves. Ce socle, nommé Darwin, était composé de code provenant de plusieurs projets : NeXTSTEP, la base BSD et le noyau Mach développés par l’université de Berkeley, et plus tard FreeBSD.

Les codes de BSD et Mach avaient été assemblés pour former un noyau hybride nommé XNU, actuellement utilisé dans toutes les plateformes logicielles Apple.

  • Mac OS X 1.0
  • Mac OS X 1.0

Mac OS X Server 1.0 était donc bien un jalon majeur en même temps qu’un galop d’essai. Il va s’écouler deux ans avant qu’Apple ne propose la première version du système pour les postes clients, et donc le grand public.

Entre temps, en 2000, l’entreprise avait publié pour la première fois le code de Darwin, la base de Mac OS X étant open source et certifiée Unix. Car Mac OS X est bien un Unix : la plupart de ses sous-systèmes viennent du monde BSD. La gestion de la mémoire est bien plus moderne que les anciens Mac OS, désormais surnommés « Classic ».

Le multitâche est entièrement préemptif, avec des mécanismes de protection divers, notamment pour que deux applications ne puissent pas écrire ensemble dans la même zone mémoire. Tout est donc en place pour l’arrivée du premier Mac OS X chez les clients... qui ne l’ont pas forcément apprécié tout de suite.

Cheetah, le premier Mac OS X client et son interface Aqua

Quand sort Cheetah en mars 2001, changement de décor. La base technique a continué d’être affinée, mais Apple a eu deux ans pour travailler le visage de son système. Si Mac OS X Server 1.0 reprenait l’interface de la version 9 avec quelques améliorations, Cheetah introduit Aqua (inspirée de l'eau).

Le nom désignait à la fois l’interface graphique et le thème de Mac OS X. Il renvoyait aux couleurs claires et limpides alors utilisées, soulignées d’effets de transparence et de reflets. Les ombres y étaient nettement plus accentuées que par le passé, le tout initiant une révolution graphique dans l’approche de l’informatique personnelle.

Mac OS X 10.1 Cheetah

Au-delà de ce que beaucoup retiendront comme une vraie gifle visuelle, d’autres nouveautés importantes font leur entrée. Comme le Dock, qui permettait de placer en bas de l’écran les applications les plus courantes. À l’instar de la barre des tâches de Windows, il servait aussi de bascule entre applications, signalant au passage celles étant actives.

Nombre des autres apports présents font partie aujourd’hui du paysage des Mac : le Terminal (Unix oblige), OpenGL et son accélération graphique par les GPU, le Carnet d’adresses, Mail ou encore des composants déjà existants comme AppleScript et Sherlock pour la recherche (Spotlight n’arrivera que plus tard).

Cheetah apparaissait donc comme un système très moderne, ce qui n'était pas sans conséquence. D’une part, il était beaucoup plus gourmand que l’ancien. À cette époque, la plupart des configurations étaient équipées de 32 ou 64 Mo de mémoire vive. La configuration recommandée était de 128 Mo pour Mac OS X, tout en consommant 1,5 Go sur le disque dur, là encore un problème pour bon nombre d’utilisateurs.

D'autre part, ces nouvelles technologies manquaient d’optimisation. L’interface n'était par exemple pas toujours réactive. Outre certains soucis de stabilité, le premier Mac OS X manquait également de pilotes et ne reconnaissait que trop peu de périphériques communs comme les imprimantes. Enfin, le système faisait l’impasse sur certaines fonctionnalités, pourtant présentes dans Mac OS 9, comme la lecture des DVD vidéo et la gravure de CD.

Ces critiques étaient d’autant plus vives à l’époque que Cheetah était le premier d’une longue série de versions à être vendues 129 dollars. À tel point que la version suivante, Puma, fut offerte gratuitement aux clients qui avaient acheté la première mouture. Notez que Cheetah avait initié une double base d’API (interfaces de programmation). Les applications voulant tirer partie de toutes les nouveautés devaient s’adresser à Cocoa, tandis que Carbon était là pour faire le lien avec Mac OS Classic. Les anciennes applications fonctionneront longtemps sur la nouvelle base.

Puma, l’amélioration générale

Il ne faudra que six mois à Apple pour lancer Puma. Les machines supportées sont les mêmes que pour Cheetah, à savoir tous les Mac équipés au moins d’un processeur G3. La configuration recommandée ne change pas : 128 Mo de RAM et 1,5 Go sur le disque dur. La comparaison s’arrête là.

Puma améliorait en effet tous les aspects du premier Mac OS X. Les performances étaient largement supérieures, tout fonctionnait plus vite. Elles n’étaient pas pour autant jugées suffisantes pour une bonne partie des utilisateurs, qui préféraient encore attendre. La hausse des performances concernait aussi OpenGL, dont les pilotes avaient été affinés, fournissant en moyenne des calculs 20 % plus rapides. L’API étant utilisée dans une partie de l’interface (remplacée depuis par Metal), la réactivité générale s’en trouvait nettement améliorée.

La plupart des autres critiques avaient également été gommées. Par exemple, Puma permettait la lecture des DVD vidéo, ainsi que la gravure des CD et DVD. Le support des imprimantes était amélioré, avec environ 200 modèles supportés dès l’origine. D’autres aspects furent renforcés, notamment Apple Script avec l’arrivée de Studio, qui autorisait la création de scripts depuis une interface graphique dédiée.

Le Finder pouvait masquer les extensions de fichiers et Image Capture venait prendre en charge les scanners et appareils photo numériques. Avec deux mises à jour d’entretien, Mac OS X 10.1.2 devient également la version par défaut installée sur les nouveaux Mac. Sur la première moitié de 2002, trois autres mises à jour sortiront pour corriger les bugs et fignoler les détails.

Jaguar, les vrais débuts de Mac OS X

Il faudra attendre août 2002 pour que le public transite réellement en masse vers Mac OS X. Jaguar, la version 10.2 du système, fut la première version à être commercialisée sous son appellation de félin. Les précédentes étaient des noms de code utilisés uniquement par Apple en interne.

L’une des plus importantes améliorations de Jaguar fut QuartzExtreme. Cette fois, le système prend de l’avance sur ses concurrents avec une composition de l’affichage  réalisée entièrement par le GPU. La réactivité de l’interface fait encore un bond et procure une sensation de fluidité jamais vue à cette époque.

Mac OS X 10.2 Jaguar

C’est aussi Jaguar qui introduit la journalisation pour HFS+, la gestion du MPEG4 par QuickTime, Zeroconf (ancêtre de Bonjour) pour la découverte automatique des services réseau, l’intégration de Sherlock dans le Finder pour faciliter les recherches, l’utilisation de CUPS (Common Unix Printing System) pour les impressions et de Samba pour la gestion des partages réseaux Windows, ou encore iChat, un client de messagerie instantanée supportant les protocoles XMPP et AIM. Il était déjà à cette époque fortement intégré avec Mail et le Carnet d’adresses.

Pour le reste, on restait sur une base connue : un processeur G3 ou G4, 128 Mo de RAM, 1,5 Go d’espace disque. Comme les deux précédents, Jaguar était vendu 129 dollars.

Panther rugit sur la vidéoconférence

Panther, qui débarque en octobre 2003, est la première version à varier légèrement sur la puissance demandée. Officiellement, la configuration réclamée ne change pas, mais Apple recommande 256 Mo de mémoire vive et un processeur cadencé à 333 MHz, qu’il soit de type G3, G4 ou G5.

Pourquoi cette puissance supplémentaire ? À cause des apports de Panther… si tant est qu’ils soient utilisés, d’où la différence entre configurations nécessaire et recommandée. C’est notamment le cas d’iChat AV, pour « audio and videoconferencing ». Il fallait que la caméra soit compatible, reliée au Mac par un port FireWire.

Panther introduisait pour la première fois le support des sessions multiples, permettant à un utilisateur d’ouvrir sa session sans fermer celle en cours. Une fonction pratique, mais gourmande en RAM. Cette version est aussi connue pour avoir lancé plusieurs applications qui sont toujours là aujourd’hui. Le célèbre mode Exposé par exemple, qui permettait d’afficher en miniatures (et après une animation accélérée par le GPU) des applications ouvertes.

Au-delà de son esthétisme, Exposé se révélait pratique, l’utilisateur pouvant repérer ce qu’il cherchait par le contenu de la fenêtre plutôt que sa seule icône. D’autant plus utile qu’une application pouvait avoir plusieurs fenêtres.

Mac OS X 10.3 Panther

Safari faisait aussi sa grande entrée. Jusqu’à cette époque, le navigateur fourni avec Mac OS était… Internet Explorer. Une version spécifique pour Mac développée via un partenariat avec Microsoft.

Safari était issu d’un « fork » du moteur open source KHTML, créant ainsi WebKit. Dès son arrivée, il devient le navigateur par défaut de Mac OS X et l’est aujourd’hui encore. Internet Explorer reste présent dans le système comme alternative. Netscape Navigator, fourni lui aussi jusque-là, sort du tableau.

Parmi les autres nouveautés de Panther, on notait le Livre des polices pour simplifier leur installation et leur gestion, X11 (l’implémentation maison du serveur d’affichage X), FileVault pour le chiffrement du dossier Home, la prise en charge des documents Word par TextEdit, un rendu plus rapide des PDF dans Preview, la gestion des fax ou encore un support d’Active Directory, service d’annuaire proposé par Microsoft depuis la version 2000 de Windows Server.

Panther ne parvient cependant pas à échapper à toute polémique. Il sort à l’époque où les Power Mac G5 se parent d’aluminium. Le Finder récupère alors ce look spécifique d’aluminium brossé décrié par une partie des utilisateurs, qui y voient une incohérence dans l’interface Aqua.

Tiger fait le grand écart

Mac OS X 10.4, alias Tiger, est resté comme l’une des moutures les plus importantes du système. Sorti en avril 2005, elle a pour mission de supporter les nouvelles révisions 64 bits des Power Mac G5, tout en assurant la compatibilité avec les premiers Mac Intel, alors en préparation.

En dépit du grand écart technologique que le système va assurer au cours de son cycle de vie, il est considéré comme l’une des versions les plus matures. Il est pour bon nombre d’utilisateurs également le premier contact avec l’univers Mac. Ce qui ne l’empêche pas d’exiger un processeur d’au moins 300 MHz, 256 Mo de RAM (mais 512 recommandés) et 3 Go d’espace disque.

Les nouveautés apportées par Tiger sont nombreuses. Spotlight y fait sa grande entrée comme moteur et interface de recherche. Il utilise massivement l’indexation des contenus, Tiger tenant à disposition de l’utilisateur un registre de ses données capable de répondre très rapidement aux requêtes.

En outre, cette indexation prenait en charge les métadonnées, débloquant de nouvelles capacités de recherche. Enfin, Spotlight permettait de créer des « dossiers intelligents », dont le contenu dépendait d’une requête enregistrée et changeait selon les données répondant aux critères.

Mac OS X 10.4 Tiger

Outre plusieurs améliorations comme Safari 2, l’intégration de la synchronisation .Mac, Quart Composer pour accélérer encore le traitement graphique des interfaces et Mail 2, Tiger introduit également le Dashboard. Disparu aujourd’hui, il fournissait une collection d’outils graphiques que l’on pouvait disposer dans une zone spéciale. Calculette, agenda, conversion d’unités et autres, sous forme de widgets aux interfaces simples. Contrairement aux applications classiques, ils étaient écrits avec des langages du web (HTML, CSS et JavaScript).

QuickTime 7 apporte le support du codec H.264, qu’Apple réutilise immédiatement pour la nouvelle version d’iChat AV. La qualité vidéo en ressort grandie, au prix toutefois d’une puissance nécessaire supérieure.

Tiger est aussi la première version à fournir Automator, qui propose la création de flux automatisés de tâches à travers une interface entièrement visuelle. À noter également l’arrivée de Front Row, interface de type mediacenter, que l’on pouvait piloter avec une télécommande. Il est l’ancêtre de l’Apple TV. Photo Booth, avec ses effets visuels déformants, fermait la marche des nouveautés.

Il s’écoulera environ huit mois avant que sorte la version 10.4.4 de Tiger, première à supporter officiellement les Mac Intel. Elle inclut Rosetta, qui sert de couche d’émulation pour les logiciels conçus à l’époque des PowerPC. Bien que très fonctionnelle, cette émulation se faisait au prix d’une chute drastique des performances.

Leopard n’avait déjà plus rien à prouver

Si Tiger avait montré qu’Apple était capable de reprendre une belle avance dans certains domaines, Leopard ne fait qu’enfoncer le clou. À ce stade, le système était déjà connu pour sa modernité. Sa version 10.5 l'a fait entrer dans un cycle de développement plus doux, avec davantage d’évolutions de l’existant que de grosses nouveautés.

Le rôle de Leopard reste important dans la vie de Mac OS X pour son unification. Aqua et le métal brossé ont ainsi laissé place à une interface uniforme, avec un rendu plus « plastique » et beaucoup plus sobre. Le Dock change lui aussi, s’inclinant en 3D et proposant des Piles, c’est-à-dire des dossiers épinglés et affichant le contenu sous différentes formes. Le Finder va puiser quelques idées dans iTunes, notamment sa présentation Cover Flow, dont la disparition plus tard provoquera bien des émois.

La transparence envahit de nombreux menus – trop au goût de certains – et la plupart des icônes sont retravaillées.

Mac OS X 10.5 Leopard

Leopard introduit également quatre nouveautés importantes, dont les Spaces, qui ne sont autres que des bureaux virtuels (jusqu’à 16). Compatibles avec Exposé, ils laissaient l’utilisateur se construire des espaces thématiques en affectant des applications spécifiques à un bureau particulier.

Time Machine simplifiait de son côté les sauvegardes régulières des données en offrant une interface d’exploration des fichiers ainsi sauvegardés. Aperçu (Quick Look) permettait d’ouvrir presque n’importe quel fichier via un appui sur Espace pour en prévisualiser le contenu. Enfin, Boot Camp autorisait l’installation de Windows sur les Mac Intel via un assistant d’accompagnement.

Pour le reste, Leopard apportait une très longue liste d’améliorations diverses pour l’ensemble des composants et applications, comme l'arrivée des opérateurs booléens dans Spotlight, un meilleur support des technologies d’accompagnement de certains handicaps (notamment le Braille), l’enregistrement vidéo avec effet dans Photo Booth, la gestion des flux RSS, Notes et tâches dans Mail, un remaniement de Front Row pour ressembler davantage à l’interface de la première Apple TV ou encore Web Clip, qui permettait de créer des widgets pour le Dashboard à partir d’éléments de page web.

Sur un angle technique, Leopard dit au revoir aux anciennes applications conçues pour Mac OS Classic. La plupart de ses bibliothèques et frameworks sont désormais accessibles en 64 bits, débutant la longue période de transition du parc logiciel Mac. Leopard réclamait des configurations significativement plus puissantes. N’importe quel Mac Intel suffisait, mais les machines à bases de puces G4 et G5 devaient s’assurer d’un minimum de 867 MHz. La RAM minimale passait à 512 Mo, avec 1 Go recommandé, surtout pour les développeurs.

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