Il y a quatre ans, le studio Crystal Dynamics lançait Lara Croft and the Guardian of Light, un dérivé de la saga Tomb Raider se distinguant de la série principale par sa vue en 3D isométrique. Depuis hier sa suite, baptisée Lara Croft and the Temple of Osiris est disponible, voici ce que nos confrères en ont pensé.
Ces derniers jours, Rise of The Tomb Raider, l'épisode de la saga prévu pour 2015 sur Xbox One a refait parler de lui, en raison de nouveaux éléments confirmés par Microsoft et Square Enix. Le constructeur américain sera l'éditeur du jeu, ce qui laisse planer le doute sur l'arrivée du titre sur d'autres plateformes, même si la clause d'exclusivité signée présente une limite dans le temps. Une nouvelle qui est arrivée à occulter le lancement de Lara Croft and the Temple of Osiris sur PS4, Xbox One et sous Windows.
Ce nouveau volet de la franchise Tomb Raider, n'est pas à rapprocher du reboot lancé en 2012. Il n'est pas question de voir Lara Croft crapahuter sur des parois, comme le ferait Nathan Drake dans Uncharted, mais plutôt d'un jeu en 3D isométrique, faisant suite à Lara Croft and the Guardian of Light, sorti fin 2010.
Lara, accompagnée par trois compères, dont deux d'entre eux sont des dieux égyptiens (Horus et Isis) devra tâcher de réparer avec tout ce petit monde la maladresse du quatrième larron, Carter. Celui-ci a malencontreusement libéré dans notre monde Seth, la divinité égyptienne incarnant le désordre.
Si vous avez déjà joué à Lara Croft and the Guardian of Light, vous ne devriez pas être très dépaysés, puisque les mécaniques de jeu de cet opus sont reconduites. La recette fonctionnait déjà bien à l'époque et n'a pas pris une ride, on alterne ainsi entre des phases d'exploration/plateforme, des combats et la résolution de puzzles, toujours plus retors. Cerise sur le gâteau, le mode multijoueur en coopération, limité à deux joueurs auparavant, permet ici de jouer à quatre. C'est d'ailleurs dans ce mode de jeu que le titre prend toute sa dimension.
Disponible à partir de 20 euros en version dématérialisée, le titre propose une durée de vie honorable, notamment si l'on cherche à en percer tous les secrets. Seuls regrets pour nos confrères : des contrôles perfectibles, à cause d'angles de caméra parfois mal choisis et une narration perfectible, aussi bien sur le plan visuel que des doublages. Pour en savoir plus, nous vous invitons à lire leurs avis détaillés.
En français :
- Gameblog (3.5/5)
- Jeuxvideo.com (16/20)
En anglais :
- Ars Technica (« essayez-le»)
- IGN (8.1/10)
- Joystiq (4/5)
- Kotaku (Oui)
- PC Gamer (79/100)
- Polygon (7.5/10)
- Rock, Paper, Shotgun (non noté)