Le récap' des tests : quelques pistes pour un PC compact

Le récap’ des tests : quelques pistes pour un PC compact

En mai, fais le PC qui te plait

Avatar de l'auteur
Kevin Hottot

Publié dans

Sciences et espace

15/05/2014 4 minutes
40

Le récap' des tests : quelques pistes pour un PC compact

Aujourd'hui, le récapitulatif des tests vous propose de découvrir quelques produits pouvant vous permettre de concevoir un PC compact et adapté à divers usages. Il sera ainsi notamment question d'un boîtier pouvant accueillir un NAS maison sans encombre, mais aussi d'une carte mère à même de séduire les joueurs.

Ces derniers temps nombre de constructeurs s'intéressent aux PC compacts, notamment grâce à l'initiative de Valve avec ses Steam Machines. Cela étant, il n'y a pas que pour jouer qu'il peut être intéressant d'avoir un PC au format plus réduit, comme dans le cas d'un petit serveur de stockage maison.

SilverStone DS380 : un châssis idéal pour un NAS

Commençons ce tour d'horizon chez Silent PC Review qui s'est attelé dernièrement au test du SilverStone DS380, un chassis plutôt atypique. En effet, celui-ci peut accueillir une carte mère aux formats DTX et mini-ITX, mais il s'est surtout fait une spécialité du côté de stockage. 

 

Pas moins de huit emplacements de 3,5 pouces « Hot swap », compatibles avec les normes S-ATA et SAS sont disponibles, en plus de 4 baies plus classiques de 2,5 pouces. Ce sont donc douze supports de stockage qui pourront prendre place en son sein, en plus d'une carte graphique longue de 28 cm. Est-ce le boîtier ultime pour quiconque voudrait se créer un NAS fait maison ? C'est à découvrir sans plus tarder :

SilverStone DS380

MSI Z87I Gaming OC : une carte-mère mini-ITX plutôt polyvalente

Passons maintenant chez nos confrères d'eTekinix qui ont de leur côté passé en revue une carte mère ultra compacte : la Z87I Gaming OC. Toute de noir vêtue, elle s'affiche au tarif de 139 euros et a pour particularité d'équiper le Nightblade, un barebone ciblant les joueurs vendu sous la barre des 500 euros

 

Au format mini-ITX, elle dispose de cinq ports S-ATA à la norme 3.0, mais également de 4 ports USB 3.0 à l'arrière pouvant être complétés par deux autres en façade. Un port réseau Gigabit est prévu, mais il faudra faire sans Wi-Fi. Est-ce vraiment un problème ? Réponse tout de suite :

MSI Z87I Gaming

MSI GTX 760 Gaming Mini-ITX : gros GPU pour petits boîtiers

Toujours chez Pure Overclock, nos confrères se sont aussi intéressés au cas d'une carte graphique qui pourra tenir sans encombre dans le châssis présenté précédemment : la GeForce GTX 760 Mini-ITX de chez MSI qui ne mesure que 170 mm de long. Son tarif par contre est un peu plus haut que la moyenne des cartes équipées du même GPU : comptez environ 240 euros.

 

Côté performances, elles devraient être en droite ligne avec celles d'un modèle de référence, puisque ses fréquences de fonctionnement sont légèrement supérieures aux préconisations de NVIDIA. Cela se remarque-t-il à l'usage ? Nos confrères vous le diront :

MSI GTX 760 ITX

Seasonic G Series V2 550 W : un bloc d'alimentation presque parfait

Enfin, pour nourrir tout ce petit monde, il est indispensable de disposer d'un bloc d'alimentation robuste, et justement nos confrères de chez TechPowerUP se sont intéressés au cas du Seasonic G Series V2 dans sa version pouvant délivrer 550 watts.

 

Certifié 80Plus Gold, ce bloc affiche donc un rendement minimal de 87 % entre 20 et 100 % de sa charge nominale. Côté connectique, il y a de quoi faire avec notamment six prises SATA, cinq Molex et deux connecteurs PCIe à 6+2 broches. Le courant qu'il délivre est-il de bonne qualité ? C'est à voir tout de suite :

seasonic G550

Écrit par Kevin Hottot

Tiens, en parlant de ça :

Sommaire de l'article

Introduction

SilverStone DS380 : un châssis idéal pour un NAS

MSI Z87I Gaming OC : une carte-mère mini-ITX plutôt polyvalente

MSI GTX 760 Gaming Mini-ITX : gros GPU pour petits boîtiers

Seasonic G Series V2 550 W : un bloc d'alimentation presque parfait

next n'a pas de brief le week-end

Le Brief ne travaille pas le week-end.
C'est dur, mais c'est comme ça.
Allez donc dans une forêt lointaine,
Éloignez-vous de ce clavier pour une fois !

Fermer

Commentaires (40)


ça me fera toujours marrer les carte mères dites “Gaming” bardée de connectiques inutiles…



Pour jouer tout ce qu’il faut c’est un processeur, de la RAM, un disque dur et une carte graphique performante !








kypd a écrit :



ça me fera toujours marrer les carte mères dites “Gaming” bardée de connectiques inutiles…



Pour jouer tout ce qu’il faut c’est un processeur, de la RAM, un disque dur et une carte graphique performante !





du 5.1 c’est pas mal :)

après ça peut aussi servir pour un média-serveur



Une carte mère Z87 à la sortie des Z97 qui elles seules sont compatibles avec les nouveaux CPU, quelle bonne idée !








Oby-Moine a écrit :



du 5.1 c’est pas mal :)

après ça peut aussi servir pour un média-serveur





Il faudrait des séries gamers et des séries multimedia… Et des kits 5.1 de cette qualité avec un super pilote realtek on s’en passerait, mieux vaudrait du firewire, thunderbolt, ou wifi mais bon…









Oby-Moine a écrit :



du 5.1 c’est pas mal :)

après ça peut aussi servir pour un média-serveur







5.1 pour une majorité de joueur au casque ? (et avec la plupart des Codec récents on peut réaffecter les sorties même sur 3 uniques jacks, et se servir des headers en façade pour un éventuel micro…)



Pour le média Serveur ça passe aussi régulièrement via le HDMI ou la sortie Optique mais à ce moment là ce n’est plus un produit Gaming <img data-src=" />









kypd a écrit :



ça me fera toujours marrer les carte mères dites “Gaming” bardée de connectiques inutiles…



Pour jouer tout ce qu’il faut c’est un processeur, de la RAM, un disque dur et une carte graphique performante !







Et accessoirement un port RJ45… <img data-src=" />









Hiviss a écrit :



Et accessoirement un port RJ45… <img data-src=" />







ça reste malgré tout accessoire pour du jeu solo (et standalone) <img data-src=" />



Et je pourrais même pousser le vice qu’une solution Wifi pourrait être préférée (type Dongle USB) ou même un contrôleur Ethernet en USB3 <img data-src=" />



Enfin en général plus la machine dédiée au jeu est dépouillée, moins y a de soucis d’alimentation, de refroidissement du boitier, d’accumulation de drivers, de bruit etc…









kypd a écrit :



5.1 pour une majorité de joueur au casque ? (et avec la plupart des Codec récents on peut réaffecter les sorties même sur 3 uniques jacks, et se servir des headers en façade pour un éventuel micro…)



Pour le média Serveur ça passe aussi régulièrement via le HDMI ou la sortie Optique mais à ce moment là ce n’est plus un produit Gaming <img data-src=" />





Ben oui bien sûr, parce que toi tu n’as pas besoin de ces ports c’est inutile…



De 1. c’est pas parce qu’il s’agit d’une machine “gaming” qu’elle n’a vocation qu’à servir qu’au gaming… Qui peut le plus peut le moins, bien souvent quand tu achètes une machine pour le jeu tu espères aussi pouvoir t’en servir pour faire d’autres trucs, c’est d’ailleurs l’un des avantages du PC face aux consoles… De 2. les gamers qui utilisent un kit 5.1 ça existe, d’autant plus que ce type de mini-PC est idéal pour être connecté à une TV (surtout depuis que Steam est adapté à cet usage).



Au final quand tu regardes les ports dispo sur cette CM il n’y a vraiment rien d’exotique, je dirais même qu’il y a le strict minimum de ce que l’on peut attendre de nos jours…









kypd a écrit :



Pour jouer tout ce qu’il faut c’est un processeur, de la RAM, un disque dur et une carte graphique performante !







.. Dans 80% des cas les gens qui overclockent le font pour jouer. Pour overclocker il faut une bonne carte mère.



Que tu overclockes ou non, si tu es un gamer comme tu le dis, ton pc est tout le temps chaud (d’autant plus avec un watercooling puisque tu n’y refroidis que le processeur et il n’y a plus d’air qui brasse toute la carte mère), qui dit chaud dit entâmer la durée de vie.



Maintenant celle-là me semble clairement hors de prix, mais les cartes mères un peu plus chers ont des composants “classe militaire”, des condo qui pètent moins facilement, des meilleurs radiateurs.. Bref doivent tenir le choc plus longtemps et mieux.



Prends une carte mère au rabais pour jouer, et tu devras la changer dans 2 ou 3 ans, dans le meilleur des cas bien sûr.



Je crois que les commentaires du dessus sont rédigés par des personnes qui cherchent une console :)



Un PC c’est pas une console…. Alors même s’il est destiné à du Gaming, il va heureusement pouvoir servir à autre chose :o Et du WIFI pour un gamer ? LOL ? Un gamer c’est LAN pour un ping et un packet loss minimal (à voir sur cette CM qui propose du WiFi AC mais je sais pas ce que ça vaut).



Pour la connectique je capte pas non plus… Toute la connectique est largement utile. J’utilise moi-même ma connexion optique pour le son (au casque). Le seul connecteur relativement peu utilisé c’est le eSATA.








Cherryblue a écrit :



.. Dans 80% des cas les gens qui overclockent le font pour jouer. Pour overclocker il faut une bonne carte mère.



Que tu overclockes ou non, si tu es un gamer comme tu le dis, ton pc est tout le temps chaud (d’autant plus avec un watercooling puisque tu n’y refroidis que le processeur et il n’y a plus d’air qui brasse toute la carte mère), qui dit chaud dit entâmer la durée de vie.



Maintenant celle-là me semble clairement hors de prix, mais les cartes mères un peu plus chers ont des composants “classe militaire”, des condo qui pètent moins facilement, des meilleurs radiateurs.. Bref doivent tenir le choc plus longtemps et mieux.



Prends une carte mère au rabais pour jouer, et tu devras la changer dans 2 ou 3 ans, dans le meilleur des cas bien sûr.







Marrant, j’ai deux cartes mères ROG de gen. differentes et j’ai eu plein de cartes mères differentes avant et aucune n’a eu de pannes, même mes ASROC`K à la mauvaise epoque.



La seule difference pour moi c’est que 5 plus tard, je trouve toujours les drivers pour ma CM vieillissante, les composants etant de constructeurs qui suivent et ASUS gardant son site à jour.



Cacao a écrit :



Je crois que les commentaires du dessus sont rédigés par des personnes qui cherchent une console :)



Un PC c’est pas une console…. Alors même s’il est destiné à du Gaming, il va heureusement pouvoir servir à autre chose :o Et du WIFI pour un gamer ? LOL ? Un gamer c’est LAN pour un ping et un packet loss minimal (à voir sur cette CM qui propose du WiFi AC mais je sais pas ce que ça vaut).



Pour la connectique je capte pas non plus… Toute la connectique est largement utile. J’utilise moi-même ma connexion optique pour le son (au casque). Le seul connecteur relativement peu utilisé c’est le eSATA.







Suis passe en Wifi AC chez moi pour des raisons pratiques (ma femme support très mal les cables et le poing lourd) et j’ai un ping en moyenne à 30ms sur n’importe quel jeu, cad le même qu’avec du filaire. A moins d’être un pro, je ne pense pas que ca gêne d’être en wifi pour peu que l’on prenne le temps de trouver le bon canal et de placer ses antennes correctement.

En revanche, jamais, ô grand jamais je ne reprendrai de dongle usb. Je dois en avoir 5 ou 6 en g, n, n+ ou ac et tous finissent par se dc pour je ne sais quelle raison, peu importe la machine et les drivers. Rien ne vaut une carte PCIe ou mini PCIe.



Avoir un test d’alimentation ATX dans un article qui s’intéresse aux PC compacts, ça me paraît contradictoire.



Je me suis récemment monté un PC compact à base de carte Mini-ITX avec Celeron Ivy Bridge 1037U passif intégré, dans les 70-80 E (carte mère GA-C1037UN-EUhttp://www.gigabyte.com/products/product-page.aspx?pid=4747#sp ) et un boîtier adapté (dans les 50-60 E), la facture reste mesurée (aux alentours de 200 E, ça dépend du reste avec le disque dur et la mémoire). C’est bien sûr moins puissant qu’un PC de bureau à base de i3 ou i5, ne serait-ce qu’à cause de la fréquence de 1,8 GHz seulement, mais avec un SSD c’est très réactif, et silencieux et peu encombrant.








OlivierJ a écrit :



Avoir un test d’alimentation ATX dans un article qui s’intéresse aux PC compacts, ça me paraît contradictoire.



Je me suis récemment monté un PC compact à base de carte Mini-ITX avec Celeron Ivy Bridge 1037U passif intégré, dans les 70-80 E (carte mère GA-C1037UN-EUhttp://www.gigabyte.com/products/product-page.aspx?pid=4747#sp ) et un boîtier adapté (dans les 50-60 E), la facture reste mesurée (aux alentours de 200 E, ça dépend du reste avec le disque dur et la mémoire). C’est bien sûr moins puissant qu’un PC de bureau à base de i3 ou i5, ne serait-ce qu’à cause de la fréquence de 1,8 GHz seulement, mais avec un SSD c’est très réactif, et silencieux et peu encombrant.







Non, ça n’est pas contradictoire.



Pour ceux qui montent un PC “gaming” compact, il faut des composants puissants. Et ils consomment.



Dans ces cas la, on aura tout intéret à garder une alimentation ATX.



Elles sont bien ventilées, elles sont silencieuses, elles sont standard, elles résistent bien à la poussière.



En réalité, il n’y a pas tellement de place à gagner sur l’alim.









AirChtit a écrit :



….

Suis passe en Wifi AC chez moi pour des raisons pratiques (ma femme support très mal les cables et le poing lourd) et j’ai un ping en moyenne à 30ms sur n’importe quel jeu, cad le même qu’avec du filaire. A moins d’être un pro, je ne pense pas que ca gêne d’être en wifi pour peu que l’on prenne le temps de trouver le bon canal et de placer ses antennes correctement.

En revanche, jamais, ô grand jamais je ne reprendrai de dongle usb. Je dois en avoir 5 ou 6 en g, n, n+ ou ac et tous finissent par se dc pour je ne sais quelle raison, peu importe la machine et les drivers. Rien ne vaut une carte PCIe ou mini PCIe.







Par expérience, le wifi est toujours moins fiable, plus capricieux et moins performant que l’Ethernet.



Donc personnellement, je ne me vois pas acheter une carte mère sans port Ethernet.



De toute manière, dans le futur, avec l’augmentation de débits, le WIFI ne pourra jamais suivre le “filaire” dont les débits potentiels sont d’un ordre de grandeur autrement plus élevés. Il tombera donc en désuétude à un moment donné.



Il y a également une autre raison qui pousse à éviter le wifi : j’estime qu’on ne dispose encore pas du recul nécessaire pour connaître les perturbations que les ondes induisent sur le cerveau. Certains se plaignent de difficultés de concentration. Ont t’ils raison, ont t’ils tort ?

Sans être parano, je préfère ne pas prendre de risques pour moi et ma famille alors que je peux très facilement les éviter tout en ayant un système plus performant.



J’ajoute que je ne comprends pas les gens qui ne supportent pas la vue des câbles ni les raisons objectives de leurs idées reçues sur l’esthétique.


















sr17 a écrit :



Par expérience, le wifi est toujours moins fiable, plus capricieux et moins performant que l’Ethernet.



De toute manière, dans le futur, avec l’augmentation de débits, le WIFI ne pourra jamais suivre le “filaire” dont les débits potentiels sont d’un ordre de grandeur autrement plus élevés. Il tombera donc en désuétude à un moment donné.





Autant le WiFi ne pourra jamais faire aussi bien que le filaire (à une époque donnée), autant je ne crois pas du tout qu’il tombe en désuétude, au contraire il s’est répandu et la commodité du sans fil me semble difficile à remettre en cause. Actuellement, chez moi j’ai environ 4 Mo/s de débit via le WiFi (et 12,5 Mo/s sur certains sites en filaire car j’ai la fibre), ce qui est plus que suffisant pour n’importe quelle utilisation à notre époque.







sr17 a écrit :



Il y a également une autre raison qui pousse à éviter le wifi : j’estime qu’on ne dispose encore pas du recul nécessaire pour connaître les perturbations que les ondes induisent sur le cerveau. Certains se plaignent de difficultés de concentration. Ont t’ils raison, ont t’ils tort ?

Sans être parano, je préfère ne pas prendre de risques pour moi et ma famille alors que je peux très facilement les éviter tout en ayant un système plus performant.





Encore une fois, le WiFi, tout comme le mobile, ce sont des rayonnements non ionisants. Jusqu’à présent, l’électro-sensibilité s’est révélée être du pipo, de l’effet de suggestion. Je ne pense pas une seconde qu’il y ait un quelconque danger, d’après tout ce que j’ai lu de correct. C’est plus dangereux de se mettre au soleil régulièrement.

NB : c’est “ont-ils” : il y a déjà le “t” pour faire la liaison, pourquoi en rajouter ?







sr17 a écrit :



J’ajoute que je ne comprends pas les gens qui ne supportent pas la vue des câbles ni les raisons objectives de leurs idées reçues sur l’esthétique.





Là je suis d’accord, les câbles ne me dérangent pas non plus, même si j’utilise également le WiFi (j’ai un fixe et un portable).









OlivierJ a écrit :



Encore une fois, le WiFi, tout comme le mobile, ce sont des rayonnements non ionisants. Jusqu’à présent, l’électro-sensibilité s’est révélée être du pipo, de l’effet de suggestion. Je ne pense pas une seconde qu’il y ait un quelconque danger, d’après tout ce que j’ai lu de correct. C’est plus dangereux de se mettre au soleil régulièrement.







Une étude récente (datant de quelques jours) a démontré que l’utilisation intensive du téléphone portable collé à l’oreille augmente l’apparition de tumeurs du cerveau.

Je doute qu’être entouré d’ondes utilisées par les mobiles et par le wi-fi n’ait aucune conséquence pour la santé. C’est peut-être négligeable. Mais par précaution, je pense qu’il est préférable de limiter l’exposition. Comme les ondes du soleil.









OlivierJ a écrit :



Autant le WiFi ne pourra jamais faire aussi bien que le filaire (à une époque donnée), autant je ne crois pas du tout qu’il tombe en désuétude, au contraire il s’est répandu et la commodité du sans fil me semble difficile à remettre en cause. Actuellement, chez moi j’ai environ 4 Mo/s de débit via le WiFi (et 12,5 Mo/s sur certains sites en filaire car j’ai la fibre), ce qui est plus que suffisant pour n’importe quelle utilisation à notre époque.







Le wifi tombera en désuétude, c’est une certitude parce que l’usage de bande passante suit une courbe toujours croissante.



Aujourd’hui, la fibre est complètement sous exploitée par rapport à sa limite théorique actuelle. Au contraire, les ondes sont utilisées à fond. Même si la technique repousse les limites régulièrement, les ondes ont une marge de progression bien plus limitée que les cables ou la fibre.



Tu as raison cependant sur le fait que l’intérêt en mobilité perdurera plus longtemps. Mais il y a aussi d’autres technologies comme la transmission lumineuse par laser qui disposent d’un beau potentiel et viendront peut être concurrencer le wifi.



Mais bref, ce que je voulais dire, c’est que personne n’échappera à l’installation de cables dans son logement, c’est juste une question de temps.





Encore une fois, le WiFi, tout comme le mobile, ce sont des rayonnements non ionisants. Jusqu’à présent, l’électro-sensibilité s’est révélée être du pipo, de l’effet de suggestion. Je ne pense pas une seconde qu’il y ait un quelconque danger, d’après tout ce que j’ai lu de correct. C’est plus dangereux de se mettre au soleil régulièrement.





A propos du danger, je n’affirme rien et je n’ai aucun a priori. Ce n’est pas mon métier.



Malgré les controverses, je reste simplement prudent : Parce que je me souviens quand même de toutes les choses dangereuses qui ont mis des années pour être reconnues comme telles, malgré des études scientifiques.



Même avec les médicaments qui bénéficient pourtant de procédures très rigoureuses, il y a parfois eu de mauvaises surprises à long terme.



Quand à l’électro sensibilité, c’est par essence encore plus difficile de prouver quoi que ce soit avec des symptômes qui peuvent s’avérer fluctuants et peu tangibles.



Je ne suis pas pour autant dans la paranoïa. J’utilise le téléphone mobile ou le wifi quand c’est utile. Mais je m’en passe quand c’est possible et facile de s’en passer.



Après, c’est juste mon opinion, chacun voit midi à sa porte.




Il me semble que le rayonnement émis par les ondes radio sont mesurées sous la forme du Das.

Samsung affiche les plus faibles.

L’ importance de l ‘absorption des ondes radio par le corps humain est une question de distance.

A moins d’un centimètre de la peau elle reste importante et peut générer une modification du génome de nos cellules c’est à dire un cancer.

La puissance émise la plus importante par le mobile se situe au moment de la numérotation puisqu ‘à ce moment le mobile doit tenter d’ établir une connexion fiable avec l’ antenne relais.

C’ est LE moment critique où il faut vraiment éviter de coller le mobile à son oreille.

Personnellement, je lance l’ appel en mode haut parleur et ne colle mon mobile à l’ oreille qu’une fois que j’ ai entendu que l’interlocuteur a décroché.

J’ ai à déplorer la mort de mon voisin très grand utilisateur de mobile pour raisons professionnelles d’un cancer du cerveau.

Sa tumeur étant en zone périphérique ils lui ont pu lui découper une partie de la boite crânienne pour tenter de stopper le souci.

Mais ça n’a pas suffit.

Il n’ existe que deux hôpitaux au monde qui disposent d’un canon à proton pour détruire des tumeurs non accessibles parce qu’en zone profonde.

Un aux Etats Unis l’autre à Paris.

Penser qu’ on peut être traversé sans conséquence par des ondes radio télé radio wifi mobile et des tonnes d’ autres sans conséquence n’ est pas pertinent.

C’est ce que dit l’ Organisation Mondiale de la Santé qui classe les ondes radio comme potentiellement cancérigènes Classe B.

http://www.lemagit.fr/actualites/2240198536/LOMS-classifie-les-ondes-radio-des-t…








Adramelech a écrit :



Une étude récente (datant de quelques jours) a démontré que l’utilisation intensive du téléphone portable collé à l’oreille augmente l’apparition de tumeurs du cerveau.





Non, il faudrait plusieurs études bien vérifiées pour arriver à cette conclusion. L’article mentionne que pour l’instant rien n’est vraiment prouvé.



C’est encore un truc repris sans discernement par la presse. cfhttp://www.mac4ever.com/dossiers/89731_telephone-et-cancer-du-cerveau-l-emballem… .



Un extrait : « [..] que dit exactement l’étude ? Les premières ligne des résultats sont pourtant claires : « Il n’y a pas de lien entre utilisation du téléphone portable et tumeur au cerveau. » Ce sont les chercheurs eux-même qui le disent. [..] »









sr17 a écrit :



Le wifi tombera en désuétude, c’est une certitude parce que l’usage de bande passante suit une courbe toujours croissante.





Si on peut utiliser du WiFi en 2014 alors que les débits ont explosé depuis la fin des années 90, c’est bien que le WiFi a suivi la progression. Et dans les années 90, le WiFi n’existait pas, en tous cas pas sous la forme actuelle. Les premiers débits ensuite n’ont pas été très élevés.







sr17 a écrit :



Aujourd’hui, la fibre est complètement sous exploitée par rapport à sa limite théorique actuelle. Au contraire, les ondes sont utilisées à fond. Même si la technique repousse les limites régulièrement, les ondes ont une marge de progression bien plus limitée que les cables ou la fibre.





Je me demande sur quoi tu te fondes pour cette affirmation. Chaque technique est utilisée “à fond” au moment où elle est conçue, et on a gagné des ordres de grandeur dès qu’on a pu, que ce soit en radio, en cuivre ou en fibre.







sr17 a écrit :



Mais bref, ce que je voulais dire, c’est que personne n’échappera à l’installation de cables dans son logement, c’est juste une question de temps.





En fait c’est l’inverse qui s’est passé : on était obligé d’avoir des câbles partout jusqu’à l’arrivée du WiFi. Depuis, il n’y a souvent plus qu’une seule arrivée câblée et tout le monde se met sur le WiFi.

Il faudrait prendre des paris :-) .









OlivierJ a écrit :



Non, il faudrait plusieurs études bien vérifiées pour arriver à cette conclusion. L’article mentionne que pour l’instant rien n’est vraiment prouvé.



C’est encore un truc repris sans discernement par la presse. cfhttp://www.mac4ever.com/dossiers/89731_telephone-et-cancer-du-cerveau-l-emballem… .



Un extrait : « [..] que dit exactement l’étude ? Les premières ligne des résultats sont pourtant claires : « Il n’y a pas de lien entre utilisation du téléphone portable et tumeur au cerveau. » Ce sont les chercheurs eux-même qui le disent. [..] »







Pour le coup, c’est mac4ever qui interprète mal les résultats.

Dans le lien qu’ils indiquent, on peut lire :

“Conclusions These additional data support previous findings concerning a possible association between heavy mobile phone use and brain tumours.”









fullero a écrit :



L’ importance de l ‘absorption des ondes radio par le corps humain est une question de distance.

A moins d’un centimètre de la peau elle reste importante et peut générer une modification du génome de nos cellules c’est à dire un cancer.





C’est tout simplement faux. Les ondes radio d’un mobile sont des rayonnements non ionisants. Le seul effet possible est un effet thermique, très faible puisqu’on est dans des puissances de l’ordre de 100 à 1500 mW.







fullero a écrit :



La puissance émise la plus importante par le mobile se situe au moment de la numérotation puisqu ‘à ce moment le mobile doit tenter d’ établir une connexion fiable avec l’ antenne relais.

C’ est LE moment critique où il faut vraiment éviter de coller le mobile à son oreille.

Personnellement, je lance l’ appel en mode haut parleur et ne colle mon mobile à l’ oreille qu’une fois que j’ ai entendu que l’interlocuteur a décroché.





C’est faux, un mobile communique (par intermittence) en permanence avec les antennes relais autour de lui, pour savoir avec laquelle il va communiquer si un appel doit être passé. Quand tu passe un appel, il sait déjà avec laquelle communiquer.

Là où un mobile émet à sa puissance maximale, c’est quand il est en communication active dans un zone peu denses où l’antenne relais utilisée est loin.

(si ce que tu disais était vrai, de toutes façons ça ferait juste 2-3 s d’émission à moins de 2 W, autrement dit une énergie ridicule ; encore une fois, les UV en 5 min sont plus dangereux - plus dangereux c’est en relatif, on n’a pas un cancer en prenant normalement le soleil)







fullero a écrit :



J’ ai à déplorer la mort de mon voisin très grand utilisateur de mobile pour raisons professionnelles d’un cancer du cerveau.





Il ne faut pas confondre corrélation et causalité. Et d’autre part, pour prouver la causalité de ce genre de chose il faut des études statistiques sur un grand nombre de gens et une longue durée. Pour l’instant aucun résultat probant n’en est ressorti, ça reste du “peut-être”.









Adramelech a écrit :



Pour le coup, c’est mac4ever qui interprète mal les résultats.

Dans le lien qu’ils indiquent, on peut lire :

“Conclusions These additional data support previous findings concerning a possible association between heavy mobile phone use and brain tumours.”





Il y a bien écrit “a possible association”, c’est du langage prudent de chercheur. Bref, pas de quoi flipper, une fois de plus. Les journaux généralistes sont prêts à tout pour vendre du papier.



Remarque plus générale : je suis surpris du nombre de gens qui continuent à fumer, alors que les dangers du tabac sont clairement identifiés depuis 30-40 ans. À supposer qu’on arrive un jour à montrer que le mobile peut avoir (conditionnel) un impact sur la santé (du fait des ondes), je me demande si ça va dissuader grand monde d’arrêter de s’en servir, que ce soit au niveau professionnel ou personnel.

J’ai une hypothèse : on va arrêter de s’en servir avec la fin du pétrole (donc de l’énergie pas chère) et des ressources minières. Et d’ici 50 ans ça va bien changer.









Adramelech a écrit :



Une étude récente (datant de quelques jours)









sr17 a écrit :



A propos du danger, je n’affirme rien et je n’ai aucun a priori.









fullero a écrit :



Penser qu’ on peut être traversé sans conséquence par des ondes radio télé radio wifi mobile





Encore un article intéressant sur le sujet, par un scientifique :http://sceptom.wordpress.com/2014/05/15/de-retour-dans-les-medias-telephones-por… . Quelques extraits ci-dessous.



Le sujet des téléphones portables et de la santé, en particulier en ce qui concerne le cancer, fait régulièrement le tour des médias, mais ne semble que trop rarement arriver à représenter fidèlement ce que la recherche scientifique a à dire sur la question. Comme si ce n’était pas suffisant, on trouve dans la littérature scientifique des études dont la qualité méthodologique est trop faible pour tirer des conclusions, mais qui font néanmoins le tour en raison de leur sensationnalisme.



Les unes d’hier qui suggèrent que l’utilisation intensive du téléphone portable “pourraient” causer le cancer sont trompeuses et ne reflètent pas ce que les preuves scientifiques disent réellement.



Nous avons déjà discuté de cette problématique avec un grand nombre de preuves sur les portables et le cancer. De façon générale, ces preuves montrent qu’il est peu probable que les portables causent des tumeurs cérébrales (ou tout autre type de cancer).



L’étude apparue hier ne fait pas exception. Jetons un oeil à ce qu’elle a trouvé, pourquoi nous ne sommes pas convaincus par ses résultats, et comment les intégrer dans le cadre plus large de nos connaissances.









OlivierJ a écrit :



Non, il faudrait plusieurs études bien vérifiées pour arriver à cette conclusion. L’article mentionne que pour l’instant rien n’est vraiment prouvé.



C’est encore un truc repris sans discernement par la presse. cfhttp://www.mac4ever.com/dossiers/89731_telephone-et-cancer-du-cerveau-l-emballem… .



Un extrait : « [..] que dit exactement l’étude ? Les premières ligne des résultats sont pourtant claires : « Il n’y a pas de lien entre utilisation du téléphone portable et tumeur au cerveau. » Ce sont les chercheurs eux-même qui le disent. [..] »







Quand j’était jeune, on nous disait(véridique) que découper de l’amiante sans protection ne présentait aucun danger. Bien malheureux ceux qui les ont écoutés <img data-src=" />



Parce qu’il a fallu le recul apporté par le temps pour comprendre que l’amiante peut provoquer des cancer plus de 30 ans après l’exposition.



Donc, quand vous aurez mon age et que vous aurez connu autant de scandales sanitaires, vous accorderez sans doute une confiance moins aveugle aux études scientifiques du moment, qu’elles aillent dans un sens ou dans l’autre.



Aussi sérieuses que soient les études, l’expérience prouve que seul le recul du temps peut apporter de réelles certitudes.



C’est pourquoi, sans pour autant se couper du progrès, quand je peux réduire facilement l’exposition de mes proches aux ondes, je le fais.









sr17 a écrit :



Quand j’était jeune, on nous disait(véridique) que découper de l’amiante sans protection ne présentait aucun danger. Bien malheureux ceux qui les ont écoutés <img data-src=" />





On connaît les effets de l’amiante depuis la fin du 19e siècle. Et déjà quand Raymond Barre était premier ministre (dans les années 70, je précise pour les plus jeunes), on parlait du problème de l’amiante.

Donc ce n’est pas parce que quelqu’un (qui, au juste ?) vous a dit que ce n’était pas dangereux, que c’était ce que pensaient les scientifiques compétents à l’époque.



L’amiante a été un matériaux remarquable (protection anti-feu des bâtiments, en particulier) qu’il a été difficile de remplacer, ce qui explique en partie l’inertie sur le sujet.



Et je n’ai plus 20 ans non plus. Quant aux “scandales sanitaires”, desquels parlez-vous ?







sr17 a écrit :



Aussi sérieuses que soient les études, l’expérience prouve que seul le recul du temps peut apporter de réelles certitudes.





Ce qui définit une étude sérieuse, c’est justement qu’elle permet d’indiquer des tendances (impact ou pas d’impact mesurable).



Lisez l’article (le dernier) que j’ai posté ci-dessus, il est éclairant :http://sceptom.wordpress.com/2014/05/15/de-retour-dans-les-medias-telephones-por… .

Pour citer un passage de plus :

« Dans l’état actuel de nos connaissances, il semble peu plausible que l’utilisation des téléphones portables cause des tumeurs cérébrales, d’autant plus que la recherche en laboratoire n’a pas trouvé de mécanisme biologique qui pourrait l’expliquer. Et les taux des tumeurs cérébrales en question n’ont pas augmenté malgré une explosion de l’utilisation des portables. »



Bref, on peut dormir sur ses 2 oreilles, on va mourir d’autre chose que de notre mobile.









OlivierJ a écrit :



Si on peut utiliser du WiFi en 2014 alors que les débits ont explosé depuis la fin des années 90, c’est bien que le WiFi a suivi la progression. Et dans les années 90, le WiFi n’existait pas, en tous cas pas sous la forme actuelle. Les premiers débits ensuite n’ont pas été très élevés.







Le Wifi a progressé parce qu’il y avait une marge de progression potentielle.



Mais il viens toujours un moment ou l’on se heurte aux lois de la physique. La progression suit alors la loi des rendements décroissants.



Un bon exemple, c’est la fréquence des processeurs qui a augmenté régulièrement et rapidement à une époque mais dont la progression est aujourd’hui quasiment stoppée.



L’informatique est un domaine jeune. Beaucoup ont pu croire qu’il n’y avait pas de limite au progrès. Mais comme dans tous les autres domaines, il vient un beau jour ou on les atteint.





Je me demande sur quoi tu te fondes pour cette affirmation. Chaque technique est utilisée “à fond” au moment où elle est conçue, et on a gagné des ordres de grandeur dès qu’on a pu, que ce soit en radio, en cuivre ou en fibre.





Justement, les possibilités actuelles de la fibre optique sont sans commune mesure avec celles du Wifi.



Quand je disait que la fibre n’est pas exploitée a son maximum, c’est par rapport aux offres “fibre” des FAI qui n’exploitent qu’une infime partie de ce que la fibre peut offrir.



Quand l’usage de la fibre montera en puissance, aussi bien en Wan qu’en Lan, il est prévisible que les ondes ne pourront plus suivre.





En fait c’est l’inverse qui s’est passé : on était obligé d’avoir des câbles partout jusqu’à l’arrivée du WiFi. Depuis, il n’y a souvent plus qu’une seule arrivée câblée et tout le monde se met sur le WiFi.

Il faudrait prendre des paris :-) .





Mais cela ne nous prouve pas ce qu’il en sera demain.



D’autant que tout le monde ne s’est pas mis au Wifi.



D’une part, parce que le plus performant reste encore et toujours l’Ethernet. Les débits réels, l’absence d’interférences, la simplicité des réglages sont un confort évident.



Mais aussi parce que le Wifi convient aujourd’hui à peu près aux petits appartements citadins (et aux fines cloisons modernes), mais beaucoup moins aux grandes maisons rurales aux murs épais.










sr17 a écrit :



D’une part, parce que le plus performant reste encore et toujours l’Ethernet. Les débits réels, l’absence d’interférences, la simplicité des réglages sont un confort évident.



[mode chieur]

le WiFi utilise aussi l’Ethernet (Ethernet c’est juste un protocole, pas une couche physique), c’est le RJ45 qui est principalement utilisé pour les réseaux cablés <img data-src=" />

[/mode chieur]









OlivierJ a écrit :



On connaît les effets de l’amiante depuis la fin du 19e siècle. Et déjà quand Raymond Barre était premier ministre (dans les années 70, je précise pour les plus jeunes), on parlait du problème de l’amiante.

Donc ce n’est pas parce que quelqu’un (qui, au juste ?) vous a dit que ce n’était pas dangereux, que c’était ce que pensaient les scientifiques compétents à l’époque.



L’amiante a été un matériaux remarquable (protection anti-feu des bâtiments, en particulier) qu’il a été difficile de remplacer, ce qui explique en partie l’inertie sur le sujet.







C’est toujours facile de se rappeler subitement après coup qu’il y avait des gens qui prédisaient la nocivité de quelque chose.



Mais se rappelle t’on vraiment pourquoi personne n’a rien fait et surtout les discours contradictoires des scientifiques de l’époque ?



Penses tu que si les politiques avaient pu en tirer une certitude ils n’auraient pas pris la décision d’interdire ?



Crois tu sincèrement que les ouvriers auraient seulement accepté de manipuler ce matériau s’ils avaient réellement su ce qu’ils risquaient ?





Et je n’ai plus 20 ans non plus. Quant aux “scandales sanitaires”, desquels parlez-vous ?





Ce n’est pas ça qui manque.



Vite fait, Mediator, Distilben, Bisphenol A, Pesticides, Sang contaminé. Et bien sûr j’en oublie des quantités.



Les études scientifiques n’auraient t’elles pas du théoriquement nous protéger dans au moins certains de ces cas ?



Donc oui, la science n’est pas un rempart infaillible.





Ce qui définit une étude sérieuse, c’est justement qu’elle permet d’indiquer des tendances (impact ou pas d’impact mesurable).



Lisez l’article (le dernier) que j’ai posté ci-dessus, il est éclairant :http://sceptom.wordpress.com/2014/05/15/de-retour-dans-les-medias-telephones-por… .

Pour citer un passage de plus :

« Dans l’état actuel de nos connaissances, il semble peu plausible que l’utilisation des téléphones portables cause des tumeurs cérébrales, d’autant plus que la recherche en laboratoire n’a pas trouvé de mécanisme biologique qui pourrait l’expliquer. Et les taux des tumeurs cérébrales en question n’ont pas augmenté malgré une explosion de l’utilisation des portables. »



Bref, on peut dormir sur ses 2 oreilles, on va mourir d’autre chose que de notre mobile.





Le problème, c’est justement qu’on est vraiment très très loin de tout savoir.



Quel que soit le sérieux des études, il subsistera toujours une marge d’incertitude sur le long terme. Et celle ci n’est pas quantifiable.



Donc malgré les études, une certaine dose de prudence est toujours nécessaire avec tout ce qui est nouveau.



Je ne suis pas pour une attitude extrémiste comme se passer de mobile ou de Wifi, mais je pense simplement qu’il faut être prudent dans son usage et réduire l’exposition quand on le peut.














Patch a écrit :



[mode chieur]

le WiFi utilise aussi l’Ethernet (Ethernet c’est juste un protocole, pas une couche physique), c’est le RJ45 qui est principalement utilisé pour les réseaux cablés <img data-src=" />

[/mode chieur]







C’est vrai qu’en informatique on fait beaucoup d’abus de langages.



Peut être parce que les termes corrects sont parfois moins évocateurs ou moins sexy.



Par exemple, la plupart des informaticiens parlent d’assembleur alors qu’il savent qu’il faudrait parler de langage machine.









sr17 a écrit :



C’est vrai qu’en informatique on fait beaucoup d’abus de langages.



Peut être parce que les termes corrects sont parfois moins évocateurs ou moins sexy.



Par exemple, la plupart des informaticiens parlent d’assembleur alors qu’il savent qu’il faudrait parler de langage machine.



c’est vrai, surtout que tout le monde fait parfaitement le lien avec le RJ45 quand on parle d’Ethernet dans un sens général, c’était juste pour faire mon emmerdeur <img data-src=" />









sr17 a écrit :



Le Wifi a progressé parce qu’il y avait une marge de progression potentielle.

Justement, les possibilités actuelles de la fibre optique sont sans commune mesure avec celles du Wifi.

Quand je disait que la fibre n’est pas exploitée a son maximum, c’est par rapport aux offres “fibre” des FAI qui n’exploitent qu’une infime partie de ce que la fibre peut offrir.





Oui, et heureusement sinon ça ne marcherait pas, de fournir un débit de 100 Mb/s à tout le monde à l’arrivée.

Actuellement les liaisons les plus performantes disponibles permettent de faire transiter 100 Gb/s dans une fibre avec un seul laser.

Les progrès du WiFi sont impressionnants aussi, je ne sais plus où ça en est exactement mais on arrive au Gb/s en conditions idéales.



Mais tes propos sont vagues, à quelle limites estimes-tu que la fibre et le WiFi vont plafonner ? En l’état actuel, peu importe que le ratio entre les 2 soit important, on s’en sert et on en est satisfait.







sr17 a écrit :



Mais aussi parce que le Wifi convient aujourd’hui à peu près aux petits appartements citadins (et aux fines cloisons modernes), mais beaucoup moins aux grandes maisons rurales aux murs épais.





Ça tombe bien, c’est en ville (ou zone urbaine) qu’on vit de plus en plus, dans des appartements. Ton argument est à l’inverse de ta position :) .

D’ailleurs dans la maison de campagne aux murs épais de mes parents, qui fait 35 m de large, le WiFi marche assez bien.









sr17 a écrit :



C’est toujours facile de se rappeler subitement après coup qu’il y avait des gens qui prédisaient la nocivité de quelque chose.

Mais se rappelle t’on vraiment pourquoi personne n’a rien fait et surtout les discours contradictoires des scientifiques de l’époque ?

Penses tu que si les politiques avaient pu en tirer une certitude ils n’auraient pas pris la décision d’interdire ?





Pas qui prédisaient, qui savaient. Depuis la fin du 19e siècle, et donc tout le 20e.

Oui, on n’a rien fait entre autres pour une raison que j’ai déjà évoquée, les qualités de l’amiante dans son utilisation, qui n’avait pas de remplaçant, justement pour sauver des vies en cas d’incendies (et pas seulement).

Dans les années 70-80 ça a été un choix à la fois politique et industriel, il doit y avoir des bouquins sur le sujet.



On n’est pas dans la situation où les scientifiques ne savaient pas.







sr17 a écrit :



Ce n’est pas ça qui manque.



Vite fait, Mediator, Distilben, Bisphenol A, Pesticides, Sang contaminé. Et bien sûr j’en oublie des quantités.



Les études scientifiques n’auraient t’elles pas du théoriquement nous protéger dans au moins certains de ces cas ?





Mais tu mélanges des choses sans rapport. Moi je parle de l’état de la science, pas des erreurs humaines faites ensuite.




  • Le Mediator : prescrit pour un usage non prévu, et probablement des conflits d’intérêts à certains niveaux. Ça n’est pas une erreur scientifique.

  • Bisphenol A : heu, quel scandale ? C’est vraiment si nocif ce truc (dernier truc à la mode, où on veut tout interdire dès qu’on a un pouillème de risque) ? Où sont les centaines de morts ?

  • Pesticides : on a interdit le DDT dans les années 60, du fait de ses dangers, en particulier sur les oiseaux. Pour d’autres pesticides, pour les agriculteurs, il y a sans doute un manque d’information, car ce sont eux les plus exposés, lors de l’épandage. Mais là aussi, parler de scandale, ça veut dire quoi, concrètement ?

  • Le sang contaminé : rien à voir avec l’état de la science, c’est un choix qui a été fait de ne pas le chauffer alors qu’on savait que ça marchait très bien, c’est un choix économique à l’époque.



    Dans cette discussion, on parle des effets (ou pas) des mobiles. Pour le coup, ça fait plus de 10 ans que c’est étudié, qu’on entend des gens dire “houlala mais c’est forcément très mauvais”, on n’aura jamais autant scruté une technique.

    Et je rappelle qu’on ne saurait pas expliquer comment des ondes radio comme ceux des mobiles pourraient avoir un effet autre que thermique sur les cellules.

    Je suis prêt à prendre les paris.









OlivierJ a écrit :



Oui, et heureusement sinon ça ne marcherait pas, de fournir un débit de 100 Mb/s à tout le monde à l’arrivée.

Actuellement les liaisons les plus performantes disponibles permettent de faire transiter 100 Gb/s dans une fibre avec un seul laser.

Les progrès du WiFi sont impressionnants aussi, je ne sais plus où ça en est exactement mais on arrive au Gb/s en conditions idéales.



Mais tes propos sont vagues, à quelle limites estimes-tu que la fibre et le WiFi vont plafonner ? En l’état actuel, peu importe que le ratio entre les 2 soit important, on s’en sert et on en est satisfait.







Aujourd’hui, beaucoup se satisfont du débit du Wifi. Mais cela sera t’il encore vrai demain ?



Avec le temps, les débits et les besoins augmenteront inexorablement…



Le Wifi subit beaucoup plus de contraintes techniques qu’une liaison filaire parce que le Wifi ne peut exploiter qu’une gamme de fréquences très limitée et que le média de transmission est commun.



De plus, on peut multiplier les câbles, ce qu’on ne peut faire avec le Wifi.



Enfin, quand on parle des débits du Wifi, il faut constater que contrairement aux réseaux câblés, on est toujours assez loin des débits théoriques,





Ça tombe bien, c’est en ville (ou zone urbaine) qu’on vit de plus en plus, dans des appartements. Ton argument est à l’inverse de ta position :) .

D’ailleurs dans la maison de campagne aux murs épais de mes parents, qui fait 35 m de large, le WiFi marche assez bien.





En ville aussi, ce n’est pas toujours commode non plus :http://forum.hardware.fr/hfr/reseauxpersosoho/WiFi-et-CPL/canal-wifi-sature-suje…



Quand aux murs, ça dépends beaucoup de la disposition.



Même en terrain découvert on peut parfois mal recevoir à 20 m d’une antenne pro sur mat à cause de réflexions du signal.



Et je ne parle pas des gens qui ont des duplex.



Bref, les ondes, c’est capricieux. Et quand on parle de distance, il ne faut pas oublier de parler du débit. Avec le câblé, avec du bon matos, on est toujours proche du max, c’est loin d’être le cas du wifi.









OlivierJ a écrit :



Pas qui prédisaient, qui savaient. Depuis la fin du 19e siècle, et donc tout le 20e.

Oui, on n’a rien fait entre autres pour une raison que j’ai déjà évoquée, les qualités de l’amiante dans son utilisation, qui n’avait pas de remplaçant, justement pour sauver des vies en cas d’incendies (et pas seulement).

Dans les années 70-80 ça a été un choix à la fois politique et industriel, il doit y avoir des bouquins sur le sujet.



On n’est pas dans la situation où les scientifiques ne savaient pas.







Pourtant, dans bon nombre d’applications, il y avait depuis toujours des remplaçants possibles.



C’est par exemple le cas dans la couverture ou les produits amiantés n’étaient qu’un choix parmi d’autres. C’est également le cas en isolation ou dans les chauffages ou d’autres produits existaient de manière assez courante.



Tu dit que c’est un choix politique, mais il est interessant de se demander pourquoii les politiques ont fait ce choix. Étaient t’ils réellement bien informés ? Pourquoi tout le monde a sous estimé le danger ?



En réalité, ce qui importe n’est même pas la réalité scientifique, mais plutôt ce que les gens en perçoivent. Entre ce que CERTAINS scientifiques pensaient et ce que la majorité des gens pouvaient percevoir, il y avait un décalage.



La réalité, c’est que la plupart des gens, ne comprennent pas grand chose aux limites des études scientifiques et se disent simplement que si leur voisin l’utilise et que c’est vendu dans tous les magasins, c’est que c’est forcément sans danger.





Mais tu mélanges des choses sans rapport. Moi je parle de l’état de la science, pas des erreurs humaines faites ensuite.




  • Le Mediator : prescrit pour un usage non prévu, et probablement des conflits d’intérêts à certains niveaux. Ça n’est pas une erreur scientifique.

  • Bisphenol A : heu, quel scandale ? C’est vraiment si nocif ce truc (dernier truc à la mode, où on veut tout interdire dès qu’on a un pouillème de risque) ? Où sont les centaines de morts ?

  • Pesticides : on a interdit le DDT dans les années 60, du fait de ses dangers, en particulier sur les oiseaux. Pour d’autres pesticides, pour les agriculteurs, il y a sans doute un manque d’information, car ce sont eux les plus exposés, lors de l’épandage. Mais là aussi, parler de scandale, ça veut dire quoi, concrètement ?

  • Le sang contaminé : rien à voir avec l’état de la science, c’est un choix qui a été fait de ne pas le chauffer alors qu’on savait que ça marchait très bien, c’est un choix économique à l’époque.





    C’est une vision assez lénifiante.



    Ces exemples montrent surtout qu’on ne découvre qu’avec le temps les effets nocifs de certaines substances. Et qu’il faut ensuite encore du temps pour que les pratiques changent.



    Ce que je veux démontrer, c’est simplement qu’aucune étude scientifique ne peut prédire à coup sur tous les effets. Et même quand c’est le cas, il peut y avoir quantités de raison pour que l’information n’arrive pas au consommateur ou que la prise de conscience demande du temps.





    Dans cette discussion, on parle des effets (ou pas) des mobiles. Pour le coup, ça fait plus de 10 ans que c’est étudié, qu’on entend des gens dire “houlala mais c’est forcément très mauvais”, on n’aura jamais autant scruté une technique.





    La multiplication des études n’est pas pour autant une garantie d’absence d’effets à long terme.



    Les pesticides sont également très étudiés, ce qui n’empêche pas la découverte d’effets à long terme très longtemps après. Et qu’il a parfois fallu des décennies pour interdire certaines substances.



    Pire, on trouve parfois des études contradictoires. C’est ce qui explique en partie la difficulté des politiques pour prendre des décisions.





    Et je rappelle qu’on ne saurait pas expliquer comment des ondes radio comme ceux des mobiles pourraient avoir un effet autre que thermique sur les cellules.

    Je suis prêt à prendre les paris.





    Le problème, c’est que les scientifiques sont vraiment très très loin de comprendre l’effarante complexité des phénomènes chimiques et électriques dans le corps humain.



    Les scientifiques ont juste fait ce qu’ils pouvaient par rapport à ce qu’ils pouvaient tester. Et les effets qu’ils savent mesurer.



    Mais non, ce n’est pas suffisant pour être érigé comme une garantie absolue.



    Seul le temps nous dira vraiment ce qu’il en est.









sr17 a écrit :



Pourtant, dans bon nombre d’applications, il y avait depuis toujours des remplaçants possibles.





En résistance au feu, non.







sr17 a écrit :



La réalité, c’est que la plupart des gens, ne comprennent pas grand chose aux limites des études scientifiques et se disent simplement que si leur voisin l’utilise et que c’est vendu dans tous les magasins, c’est que c’est forcément sans danger.





Ou à l’inverse, se mettent à craindre tout et n’importe quoi, au nom d’un “principe de précaution” poussé jusqu’à l’absurde, faute de maîtriser les ordres de grandeur.







sr17 a écrit :



Le problème, c’est que les scientifiques sont vraiment très très loin de comprendre l’effarante complexité des phénomènes chimiques et électriques dans le corps humain.



Les scientifiques ont juste fait ce qu’ils pouvaient par rapport à ce qu’ils pouvaient tester. Et les effets qu’ils savent mesurer.



Mais non, ce n’est pas suffisant pour être érigé comme une garantie absolue.



Seul le temps nous dira vraiment ce qu’il en est.





On émet des rayonnements radio depuis plus d’un siècle, les scientifiques ont assez de recul pour savoir ceux qui peuvent causer des dommages, et les autres. Un siècle, je crois que comme temps, c’est pas mal.

Faut arrêter aussi la paranoïa. Je répète qu’on n’a aucun mécanisme pour expliquer comment un simple rayonnement radio non ionisant, comme celui d’un mobile, pourrait créer un effet autre que purement thermique (et en l’occurrence assez faible) sur une cellule.











OlivierJ a écrit :



C’est tout simplement faux. Les ondes radio d’un mobile sont des rayonnements non ionisants. Le seul effet possible est un effet thermique, très faible puisqu’on est dans des puissances de l’ordre de 100 à 1500 mW.





C’est faux, un mobile communique (par intermittence) en permanence avec les antennes relais autour de lui, pour savoir avec laquelle il va communiquer si un appel doit être passé. Quand tu passe un appel, il sait déjà avec laquelle communiquer.

Là où un mobile émet à sa puissance maximale, c’est quand il est en communication active dans un zone peu denses où l’antenne relais utilisée est loin.

(si ce que tu disais était vrai, de toutes façons ça ferait juste 2-3 s d’émission à moins de 2 W, autrement dit une énergie ridicule ; encore une fois, les UV en 5 min sont plus dangereux - plus dangereux c’est en relatif, on n’a pas un cancer en prenant normalement le soleil)





Il ne faut pas confondre corrélation et causalité. Et d’autre part, pour prouver la causalité de ce genre de chose il faut des études statistiques sur un grand nombre de gens et une longue durée. Pour l’instant aucun résultat probant n’en est ressorti, ça reste du “peut-être”.





Tout ce que j’ ai écrit c’est la synthèse d’ une émission sur le sujet diffusée sur la télévision publique.

Ce qui montre apparemment que les “scientifiques” convoqués pour s’ exprimer ne sont pas du même avis que celui que tu exposes.

La vraie science ce n’est pas celle qui prétend savoir mais celle qui suppose l’existence d’une inconnue ou d’ une variable ignorée.

La science est une suite de découvertes qui s’empilent les unes sur les autres et on ne peut pas dire ou prétendre que l’on sait tout sur le sujet puisque l’ histoire des découvertes passées ont montré le contraire sur des sujets que l’on pensait maitriser.

Affirmer quelque chose de cette façon tout en ignorant ce fait confine à la prétention ou à une faible ouverture d’ esprit.

Or il n’ est pas possible de découvrir quoi que ce soit ni d’ apprendre RIEN sans un minimum de capacité d’ imagination et de subjectivité.

Les avis “scientifiques” sont aussi nombreux que ceux qui les donnent et ne peuvent que mener ceux qui se croient responsables à respecter les principes qui décrivent cet état.

Le principe de précaution et celui de non mise en danger d ‘autrui font partie des qui décrivent celui dit de responsabilité.

L’ action des ondes radio telles que pensées ou décrites sur le corps humain n’ont pas encore à mon avis été réellement étudiées parce que nous ne disposons pas des outils d’ observation assez fins sur les circuits électriques et sa centrale que constituent Notre cerveau et son réseau nerveux.









fullero a écrit :



Tout ce que j’ ai écrit c’est la synthèse d’ une émission sur le sujet diffusée sur la télévision publique.

Ce qui montre apparemment que les “scientifiques” convoqués pour s’ exprimer ne sont pas du même avis que celui que tu exposes.





L’avis du scientifique que j’expose, il est justement basé sur l’avis de plein d’autres, qui ont fait des études sur le sujet. Son avis correspond à l’état général de la science à ce sujet.

Et à la télévision, on trouve aussi bien des émissions sérieuses que non sérieuses, même sur Arte (pour les français).







fullero a écrit :



Les avis “scientifiques” sont aussi nombreux que ceux qui les donnent





Heureusement que tu as mis “scientifique” entre guillemets, parce que si les scientifiques passaient leur temps à avoir des avis divergents, on n’aurait tout simplement pas de science.







fullero a écrit :



Le principe de précaution et celui de non mise en danger d ‘autrui font partie des qui décrivent celui dit de responsabilité.

L’ action des ondes radio telles que pensées ou décrites sur le corps humain n’ont pas encore à mon avis été réellement étudiées parce que nous ne disposons pas des outils d’ observation assez fins sur les circuits électriques et sa centrale que constituent Notre cerveau et son réseau nerveux.





Ahem, je te renvoie vers le commentaire que j’ai écrit juste avant (#36).









OlivierJ a écrit :



L’avis du scientifique que j’expose, il est justement basé sur l’avis de plein d’autres, qui ont fait des études sur le sujet. Son avis correspond à l’état général de la science à ce sujet.

Et à la télévision, on trouve aussi bien des émissions sérieuses que non sérieuses, même sur Arte (pour les français).







Personnellement, je doute fortement qu’un être humain normal puisse vivre normalement et sans souci à côté d’ émetteurs d’ un demi kilo watts de puissance au sommet de la Tour Eiffel.

Si en 1950, il ne devait y avoir qu’une faible activité radio répertoriable dans une habitation ce n’est plus aujourd ‘ hui le cas !!!!!!!!

Le nombre d’appareils sans fil a augmenté énormément et on pourrait facilement citer 3 sources qui émettent en continu.

Portables, tablettes, box internet wifi, téléphones mobiles et j’en passe.

On ne peut pas vivre tout le temps dans la crainte et refuser le progrès pa’rce qu ‘il représente un risque et c’est sur ce constat que nous avons des centrales nucléaires.

Je ne vais pas non plus faire un parallèle avec le Mediator bravement approuvé par des études “scientifiques”.

Si je mets le mot scientifique entre guillemet c’est parce que j’ ai eu l’occasion de vivre des choses difficilement ou totalement inexplicable scientifiquement.

Comme me trouver dans une voiture qui remonte une pente sans moteur ……….

Donc pour ce qui concerne ce qu’on appelle des vérités, l’ histoire même de la science l’ a démontré : elle change avec l’ acquisition de nouveaux savoirs qui permettent de mieux comprendre certaines interactions et la vraie science ne peut affirmer de vérité par conséquent sous peine de se retrouver coupablement prétentieuse … un peu plus tard.

La science se base sur des postulats car elle reste ignorante car sans vision globale des problèmes sur de très nombreux domaines ne serait que parce qu’elle devient pour cause de complexité l’affaire de différentes spécialités scientifiques.

Et ce n’est pas près de finir étant donné le champ d’inconnues qu’ il nous reste à explorer.

L’esprit scientifique est basé sur cela : je ne sais ce qui est vrai mais je cherche à le démontrer et à le comprendre, l’expérimenter sans jamais être sûr d’avoir tout saisi.

Une thèse scientifique est toujours un postulat et ce n’est pas parce qu’elle trouve une application technologique et commerciale que l’ on peut dire que l ‘on a tout compris des interactions toujours possible et imprévues avec d’ autres éléments de notre monde.

Effectivement, l’ histoire a montré que des expérimentations “scientifiques” ont pu donner par le passé de fausses conclusions à leurs auteurs tout en leur donnant le verni “science” avant qu’un autre chercheur trouve une AUTRE CONCLUSION.

Donc oui : le chercheur comme son état d’esprit peut interagir sur une expérience et avoir une autre conclusion et la science est pendante de cet état.









fullero a écrit :



Personnellement, je doute fortement qu’un être humain normal puisse vivre normalement et sans souci à côté d’ émetteurs d’ un demi kilo watts de puissance au sommet de la Tour Eiffel. [..]





C’est du blabla général tout ton laïus. Tu es dans la croyance et pas la science. Crois ce que tu veux à ce moment-là. Les faits sont contre.







fullero a écrit :



Je ne vais pas non plus faire un parallèle avec le Mediator bravement approuvé par des études “scientifiques”.





Le parallèle avec le Mediator est non pertinent. Quelles études au fait ?

On est encore dans les considérations générales.







fullero a écrit :



Donc pour ce qui concerne ce qu’on appelle des vérités, l’ histoire même de la science l’ a démontré : elle change avec l’ acquisition de nouveaux savoirs qui permettent de mieux comprendre certaines interactions et la vraie science ne peut affirmer de vérité par conséquent sous peine de se retrouver coupablement prétentieuse … un peu plus tard.





La science progresse par étapes, et même certaines découvertes révolutionnaires, comme la relativité, n’ont pas jeté à bas l’état de la science jusque-là, la mécanique newtonienne continue à être utilisée pour les vols spatiaux.







fullero a écrit :



Une thèse scientifique est toujours un postulat





Heu… A ce compte-là on n’aurait pas de science.







fullero a écrit :



Effectivement, l’ histoire a montré que des expérimentations “scientifiques” ont pu donner par le passé de fausses conclusions à leurs auteurs tout en leur donnant le verni “science” avant qu’un autre chercheur trouve une AUTRE CONCLUSION.





Oui, “des” expérimentations. Bienvenue dans la recherche scientifique. On n’a pas toujours l’explication correcte pour tout, tout de suite.