Le rachat du secteur vente de PC d'IBM par l'assembleur chinois Lenovo va finalement pouvoir s'effectuer.
L'affaire, que nous suivons depuis son début (cf. news relatives), avait dérivé sur une captivante histoire d'espionnage, ou tout du moins, de soupçon d'espionnage industriel. Mais les conclusions de l'enquête du CFIUS (Committee on Foreign Investments in the United States) n'aboutissent à rien de tel.
La transaction de 1,25 milliards de dollars va pouvoir se faire comme prévue, mais pas sans efforts. Stephen Ward, responsable managment d'IBM, et futur haut cadre de Lenovo, a même dû s'assurer de l'accord de membres de la commission par téléphone pour être certain de l'issue de la transaction.
L'accord de la Commission d'investigation a été donné sans compromis de la part des deux entreprises selon Ward. Ainsi, Lenovo pourra bien s'installer dans les locaux de la division vente PC d'IBM. Ce sont justement ces locaux qui posaient problème : leur situation, en plein milieu d'un centre de haute technologie en Caroline du Nord, amenait certains à soupçonner la tentative d'espionnage industriel.
Que nenni, aucun compromis selon IBM, mais les termes de l'accord de la Commission restent encore secrets. Avec ce rachat, Lenovo-IBM va devenir le troisième fabricant mondial d'ordinateurs, derrière Dell et HP.
L'affaire, que nous suivons depuis son début (cf. news relatives), avait dérivé sur une captivante histoire d'espionnage, ou tout du moins, de soupçon d'espionnage industriel. Mais les conclusions de l'enquête du CFIUS (Committee on Foreign Investments in the United States) n'aboutissent à rien de tel.
La transaction de 1,25 milliards de dollars va pouvoir se faire comme prévue, mais pas sans efforts. Stephen Ward, responsable managment d'IBM, et futur haut cadre de Lenovo, a même dû s'assurer de l'accord de membres de la commission par téléphone pour être certain de l'issue de la transaction.
L'accord de la Commission d'investigation a été donné sans compromis de la part des deux entreprises selon Ward. Ainsi, Lenovo pourra bien s'installer dans les locaux de la division vente PC d'IBM. Ce sont justement ces locaux qui posaient problème : leur situation, en plein milieu d'un centre de haute technologie en Caroline du Nord, amenait certains à soupçonner la tentative d'espionnage industriel.
Que nenni, aucun compromis selon IBM, mais les termes de l'accord de la Commission restent encore secrets. Avec ce rachat, Lenovo-IBM va devenir le troisième fabricant mondial d'ordinateurs, derrière Dell et HP.