Alors que le Wi-Fi gratuit sera sous peu disponible dans le métro parisien (en savoir plus), ceci grâce à la société espagnole Gowex, la ville de Bordeaux, qui exploite depuis mars dernier le réseau Wi-Fi de cette même société, a accepté de nous livrer quelques informations sur son expérience.
Pour le moment, le Wi-Fi gratuit à Bordeaux est situé dans un périmètre limité. Placés le long des quais, les hotspots Wi-Fi de Gowex se comptent encore sur les doigts d’une main. Le succès est cependant bien au rendez-vous, avec 25 % d’utilisateurs « étrangers » et 60 % d’utilisateurs réguliers. Et surtout, il est d’ores et déjà prévu d’équiper des places et des jardins d’autres bornes Wi-Fi, offrant ainsi à la population de nombreux lieux où se connecter gratuitement.
Nicolas Corne rajoute cependant que « sur les quais, les débits 3G sont faibles, la bande passante est très encombrée, surtout les fin de semaines ». Le Wi-Fi a ainsi un réel intérêt, quand bien même les débits sont loin d’être fabuleux.
Un succès à Bordeaux
La ville de Bordeaux nous a expliqué que « le nombre de visiteurs sur les hotspots Wi-Fi des quais est en forte croissance sur le mois de mai avec plus de 1000 nouveaux utilisateurs enregistrés. Au total, 2500 utilisateurs ont créé un compte depuis l’ouverture le 23 mars. »Pour le moment, le Wi-Fi gratuit à Bordeaux est situé dans un périmètre limité. Placés le long des quais, les hotspots Wi-Fi de Gowex se comptent encore sur les doigts d’une main. Le succès est cependant bien au rendez-vous, avec 25 % d’utilisateurs « étrangers » et 60 % d’utilisateurs réguliers. Et surtout, il est d’ores et déjà prévu d’équiper des places et des jardins d’autres bornes Wi-Fi, offrant ainsi à la population de nombreux lieux où se connecter gratuitement.
Un débit limité, mais plus constant
Concernant les débits, comme pour le métro parisien, 512 kbps sont proposés aux Bordelais et aux touristes (loisirs et affaires). « On peut effectivement comparer ces débits à ceux de la 3G en GPRS pour un téléphone portable ou une clé 3G, mais sur une zone qui ne serait pas trop encombrée… » nous fait remarquer Nicolas Corne, attaché de presse au Cabinet du maire de Bordeaux.Nicolas Corne rajoute cependant que « sur les quais, les débits 3G sont faibles, la bande passante est très encombrée, surtout les fin de semaines ». Le Wi-Fi a ainsi un réel intérêt, quand bien même les débits sont loin d’être fabuleux.