Il y a quelques semaines, l'organisation Greenpeace publiait un rapport dans lequel elle s’alarmait de la consommation énergétique des data centers impliqués dans les offres Cloud. Dans ce document, plusieurs grandes entreprises, dont Apple, étaient pointées du doigt pour leur consommation excessive d’énergies « sales », comme le charbon.
La marque à la pomme était alors rapidement montée au créneau, estimant que les données de Greenpeace étaient erronées. En plus de contester certains des chiffres de l’organisation, Apple avait annoncé au New York Times qu’il s’était lancé dans la construction « de deux grands projets visant à compenser la consommation d'énergie en Caroline du Nord: un champ de panneaux solaires et un ensemble de piles à combustible ».
Greenpeace s’est alors « réjouie des efforts de transparence d’Apple », dans la mesure où la firme avait très rapidement divulgué de nouvelles informations en réaction au rapport. L’organisation souligne par exemple qu’ « Apple a également déclaré, pour la première fois, que son data center en construction à Prineville en Oregon serait alimenté à 100% par des énergies renouvelables », ce qu’elle perçoit comme un « signe encourageant ».
Surtout, Greenpeace pense qu’Apple « peut aller beaucoup plus loin », notamment du fait de ses « grandes réserves de liquidités ». Il est vrai que le montant record des bénéfices réalisés par Apple a récemment fait couler beaucoup d’encre et marqué les esprits. L’organisation de protection de l’environnement considère ainsi que la société dirigée par Tim Cook est « la mieux positionnée pour faire évoluer le secteur du cloud computing dans son ensemble », notamment parce qu’elle pourrait « influencer les gouvernements, les fournisseurs d’électricité, pour les pousser à renoncer aux énergies sales ».
Pour favoriser la poursuite de ce « dialogue constructif » avec Apple, Greenpeace sollicite aussi l’opinion publique. D’après l’organisation, « 100 000 personnes ont déjà écrit au PDG d’Apple pour lui demander de pouvoir profiter de ces services grâce à un cloud net ». La campagne « Clean our cloud » ne devrait donc pas s’arrêter en si bon chemin, dans l'espoir d'obtenir de nouvelles concessions de la firme de Cupertino.
La marque à la pomme était alors rapidement montée au créneau, estimant que les données de Greenpeace étaient erronées. En plus de contester certains des chiffres de l’organisation, Apple avait annoncé au New York Times qu’il s’était lancé dans la construction « de deux grands projets visant à compenser la consommation d'énergie en Caroline du Nord: un champ de panneaux solaires et un ensemble de piles à combustible ».
Greenpeace s’est alors « réjouie des efforts de transparence d’Apple », dans la mesure où la firme avait très rapidement divulgué de nouvelles informations en réaction au rapport. L’organisation souligne par exemple qu’ « Apple a également déclaré, pour la première fois, que son data center en construction à Prineville en Oregon serait alimenté à 100% par des énergies renouvelables », ce qu’elle perçoit comme un « signe encourageant ».

Pour favoriser la poursuite de ce « dialogue constructif » avec Apple, Greenpeace sollicite aussi l’opinion publique. D’après l’organisation, « 100 000 personnes ont déjà écrit au PDG d’Apple pour lui demander de pouvoir profiter de ces services grâce à un cloud net ». La campagne « Clean our cloud » ne devrait donc pas s’arrêter en si bon chemin, dans l'espoir d'obtenir de nouvelles concessions de la firme de Cupertino.