Depuis l’arrivée de la Consumer Preview de Windows 8, de nombreux utilisateurs ont pu se rendre compte que les interfaces Metro, et en particulier le Start Screen, s’adaptaient différemment aux résolutions d’écran. Dans un nouveau billet sur son blog, Microsoft explique les constats qui ont été faits et comment réagit l’interface en fonction de la taille de l’écran.
Microsoft considère essentiellement trois critères pour définir la manière dont le Windows 8 s’affiche sur un écran : la taille, la résolution et la densité des pixels. L’éditeur a d’ailleurs réuni les principales résolutions sur un graphique pour les trier :
L’expérience utilisateur diffère en fonction du nombre de pixels disponible, ce qui est logique. Ainsi, la résolution minimale pour profiter de Metro est le 1024 par 768, mais l’interface n’est considérée comme complète qu’à partir de 1366 par 768. Une résolution qui n’a pas été choisie au hasard : 42 % des utilisateurs en disposent au minimum. Des chiffres, comme d’habitude, issus de la télémétrie instaurée depuis Vista.
À partir de 1366 par 768, résolution minimale pour une tablette Windows 8, il devient notamment possible de « docker » les applications à droite ou à gauche pour garder un oeil sur un contenu pendant qu’on se concentre sur l’application principale. En-deçà, cette fonctionnalité est tout simplement absente.
Voici une comparaison sur trois résolutions de l'étalement des éléments sur un écran :
Règle simple : plus l’écran est grand, plus on affiche de vignettes. Rappelons en outre que leur nombre a augmenté entre la Developer et la Consumer Preview, en particulier pour le Start Screen. Autre règle : même si le nombre d’éléments augmente, la taille de chacun d’eux suit également la tendance.
Windows 8 scanne donc les capacités de la machine pour déterminer la manière dont l’interface va s’afficher. Cette dernière est en majeure partie vectorielle et peut théoriquement faire feu de tout bois. Il s’agit de la notion de « scaling », c’est-à-dire la manière dont l’interface s’étale sur l’écran. Il existera trois niveaux :
Microsoft indique toutefois que l’étalement d’une application pourra parfois rencontrer des problèmes. C’est notamment le cas des jeux qui pourraient ne pas pouvoir s’appuyer sur une interface adaptive. L’une des solutions serait alors d’étirer l’image, au risque bien sûr de perdre en netteté.
Ceux qui souhaitent obtenir plus de détails pourront consulter le billet sur le blog de Microsoft.
Microsoft considère essentiellement trois critères pour définir la manière dont le Windows 8 s’affiche sur un écran : la taille, la résolution et la densité des pixels. L’éditeur a d’ailleurs réuni les principales résolutions sur un graphique pour les trier :
L’expérience utilisateur diffère en fonction du nombre de pixels disponible, ce qui est logique. Ainsi, la résolution minimale pour profiter de Metro est le 1024 par 768, mais l’interface n’est considérée comme complète qu’à partir de 1366 par 768. Une résolution qui n’a pas été choisie au hasard : 42 % des utilisateurs en disposent au minimum. Des chiffres, comme d’habitude, issus de la télémétrie instaurée depuis Vista.
À partir de 1366 par 768, résolution minimale pour une tablette Windows 8, il devient notamment possible de « docker » les applications à droite ou à gauche pour garder un oeil sur un contenu pendant qu’on se concentre sur l’application principale. En-deçà, cette fonctionnalité est tout simplement absente.
Voici une comparaison sur trois résolutions de l'étalement des éléments sur un écran :
Règle simple : plus l’écran est grand, plus on affiche de vignettes. Rappelons en outre que leur nombre a augmenté entre la Developer et la Consumer Preview, en particulier pour le Start Screen. Autre règle : même si le nombre d’éléments augmente, la taille de chacun d’eux suit également la tendance.
Windows 8 scanne donc les capacités de la machine pour déterminer la manière dont l’interface va s’afficher. Cette dernière est en majeure partie vectorielle et peut théoriquement faire feu de tout bois. Il s’agit de la notion de « scaling », c’est-à-dire la manière dont l’interface s’étale sur l’écran. Il existera trois niveaux :
- 100 % pour les écrans en-deçà du Full HD (1920 par 1080)
- 140 % à partir du Full HD
- 180 % à partir du quad-XGA (2560 par 1440)
Microsoft indique toutefois que l’étalement d’une application pourra parfois rencontrer des problèmes. C’est notamment le cas des jeux qui pourraient ne pas pouvoir s’appuyer sur une interface adaptive. L’une des solutions serait alors d’étirer l’image, au risque bien sûr de perdre en netteté.
Ceux qui souhaitent obtenir plus de détails pourront consulter le billet sur le blog de Microsoft.