Le dispositif de traque et d'avertissements d'Hadopi ne repose techniquement que sur le P2P aujourd'hui. Frédéric Mitterrand a admis ce matin que le streaming était bien l'un des effets collatéraux de l’Hadopi : « Il y a des effets collatéraux forcément. Chaque fois qu’il y a eu une réforme positive, il y a des petits malins qui essayent de tourner les choses. Ça existe depuis toujours » a estimé le ministre de la Culture sur France Info.
Le ministre rappelle que la Hadopi a été cependant missionnée pour traiter des contraintes techniques et juridiques pour lutter contre le streaming non autorisé. « On a demandé à cette bonne vieille Hadopi, dont tout le monde dit du mal et qui finalement est en train de gagner chaque jour en légitimité, de nous faire l’expertise nécessaire. Ce qui est certain est que le streaming illégal lèse encore considérablement encore les droits des créateurs. On ne peut pas dire que votre serviteur soit resté indifférent aux droits des créateurs. Il faut d’abord qu’ils se plaignent, et c’est ce qui est en train de se faire ». Référence faite à la plainte du monde du cinéma dont PC INpact a dévoilé vendredi le contenu (la mise en demeure, notre analyse).
Le ministre rappelle que la Hadopi a été cependant missionnée pour traiter des contraintes techniques et juridiques pour lutter contre le streaming non autorisé. « On a demandé à cette bonne vieille Hadopi, dont tout le monde dit du mal et qui finalement est en train de gagner chaque jour en légitimité, de nous faire l’expertise nécessaire. Ce qui est certain est que le streaming illégal lèse encore considérablement encore les droits des créateurs. On ne peut pas dire que votre serviteur soit resté indifférent aux droits des créateurs. Il faut d’abord qu’ils se plaignent, et c’est ce qui est en train de se faire ». Référence faite à la plainte du monde du cinéma dont PC INpact a dévoilé vendredi le contenu (la mise en demeure, notre analyse).