Une exposition dédiée au jeu vidéo au Grand Palais. C’est ce pari un peu fou qu’a réalisé et gagné l’association MO5.com avec la Rmn-Grand Palais et le musée des arts asiatiques Guimet. Le cadre, somptueux, offre un joli bonus pour les visiteurs désireux de (re)découvrir le patrimoine ludique : la possibilité de jouer à ces machines et remonter ainsi du cri primal du gros pixel jusqu’aux animations 3D les plus abouties.
L’exposition du Grand Palais est organisée autour d’un parcours chronologique. Les premiers pas dans le passé du patrimoine du jeu vidéo nous conduisent d’entrée sur l’Odyssée, fameuse première console commercialisée en 1972. Une commercialisation qui avait été difficile, en raison de son prix, mais une console qui avait à l’époque inspirée la création de la borne Pong par les ingénieurs de la société Syzygy Co., la future Atari. À côté de l’Odyssée, le fil d’Ariane nous mène justement sur Pong et ses multiples dérivés qui ont mis en route la démocratisation du jeu vidéo dans les foyers.
Quelques pixels plus loin, une autre star, l’Atari 2600 et ses fameuses cartouches au packaging inspirés de la BD et du cinéma. Une des consoles permet d’ailleurs de jouer au cultissime Pitfall et ses lianes oscillantes de gauche à droite. Poursuivons cette exploration avec la Colecovision et l’Intellivision, trônant fièrement près de bornes d’arcade mythiques : celle de Pacman ou de Space Inviders, qui ont englouti bon nombre de francs et d’heure chez les joueurs à l’époque.
Au fil des générations, l’histoire se densifie tel un arbre généalogique, fruit de l’explosion des 8bits, les NES et autres Sega Master System. Dans le rayon des micro-ordinateurs, un Commodore 64 et son parpaing de lecteur de disquettes gonflent ses octets face à un Amstrad CPC464. L’arôme de la mémoire vive prend un peu plus de coffre avec l’Amiga et Atari 520St, objets de combats rangés entre les aficionados de l’époque.
Poursuivons. Un peu plus loin la période 94-99 fait la part belle à la 3D notamment avec la Playstation en 1995, la Sega Saturn, la Nintendo 64. Doom, Halflife, Warcraft résonnent dans les couloirs tout comme ces Dreamcast qui préfigurent la génération suivante des jeux vidéo. On retrouve ensuite sans surprise la PlayStation 2, la Xbox, le Gamecube, avant de retrouver les toutes récentes Wii, Xbox 360 ou PS3. La visite se finit avec d’autres bornes, toujours jouables.
L’exposition du Grand Palais est organisée autour d’un parcours chronologique. Les premiers pas dans le passé du patrimoine du jeu vidéo nous conduisent d’entrée sur l’Odyssée, fameuse première console commercialisée en 1972. Une commercialisation qui avait été difficile, en raison de son prix, mais une console qui avait à l’époque inspirée la création de la borne Pong par les ingénieurs de la société Syzygy Co., la future Atari. À côté de l’Odyssée, le fil d’Ariane nous mène justement sur Pong et ses multiples dérivés qui ont mis en route la démocratisation du jeu vidéo dans les foyers.
Quelques pixels plus loin, une autre star, l’Atari 2600 et ses fameuses cartouches au packaging inspirés de la BD et du cinéma. Une des consoles permet d’ailleurs de jouer au cultissime Pitfall et ses lianes oscillantes de gauche à droite. Poursuivons cette exploration avec la Colecovision et l’Intellivision, trônant fièrement près de bornes d’arcade mythiques : celle de Pacman ou de Space Inviders, qui ont englouti bon nombre de francs et d’heure chez les joueurs à l’époque.
Au fil des générations, l’histoire se densifie tel un arbre généalogique, fruit de l’explosion des 8bits, les NES et autres Sega Master System. Dans le rayon des micro-ordinateurs, un Commodore 64 et son parpaing de lecteur de disquettes gonflent ses octets face à un Amstrad CPC464. L’arôme de la mémoire vive prend un peu plus de coffre avec l’Amiga et Atari 520St, objets de combats rangés entre les aficionados de l’époque.
Poursuivons. Un peu plus loin la période 94-99 fait la part belle à la 3D notamment avec la Playstation en 1995, la Sega Saturn, la Nintendo 64. Doom, Halflife, Warcraft résonnent dans les couloirs tout comme ces Dreamcast qui préfigurent la génération suivante des jeux vidéo. On retrouve ensuite sans surprise la PlayStation 2, la Xbox, le Gamecube, avant de retrouver les toutes récentes Wii, Xbox 360 ou PS3. La visite se finit avec d’autres bornes, toujours jouables.