Qu’adviendra-t-il de Yahoo! dans les prochaines semaines ? De nombreux scénarios sont élaborés ces derniers temps, et outre Alibaba et Microsoft, un autre nom revient régulièrement : AOL. Il faut dire que les rumeurs liant Yahoo! et AOL ne datent pas d’hier. Chaque année, depuis cinq ans, la nouvelle refait surface. La situation critique de Yahoo! pourrait néanmoins rendre cette rumeur plus crédible qu’auparavant.
Cette fois, selon Reuters, Tim Armstrong, le PDG d’AOL, aurait contacté divers grands actionnaires afin de les convaincre qu’une fusion avec Yahoo! pourrait permettre des économies de l’ordre d’1 à 1,5 milliard de dollars.
Cette nouvelle rejoint celle du mois dernier dévoilée par Bloomberg, où Yahoo! ferait d’une pierre deux coups en rachetant AOL et en mettant Tim Armstrong à la tête du nouveau groupe Internet.
Mais cela se rapproche aussi des rumeurs lancées par Reuters et le Wall Street Journal il y a un an quant à une possible fusion entre AOL et Yahoo!. Le sujet n’est donc pas nouveau, bien loin de là.
D’autant plus que l’idée du rachat ou de la fusion a déjà été émise en octobre 2008, en février 2008, et même en décembre 2006. Cela fait donc déjà cinq longues années que le sujet revient sans cesse. Les situations financières instables des deux sociétés n’y est pas étrangères, tout comme leur importance sur le Web.
Rappelons en effet que Yahoo! reste un géant de la toile, notamment outre-Atlantique, que ce soit grâce à son portail, Yahoo! Mail ou Flickr. Quant à AOL, il génère des milliards de pages vues grâce à ses différentes acquisitions réalisées ces dernières années, dont principalement le Huffington Post, Techcrunch, et Engadget.
À eux deux, AOL et Yahoo! représenteraient donc un véritable géant du web, surtout aux États-Unis, leur permettant d’attirer plus aisément de la publicité et d’être un contrepoids à Google, Facebook et Microsoft.
Cette fois, selon Reuters, Tim Armstrong, le PDG d’AOL, aurait contacté divers grands actionnaires afin de les convaincre qu’une fusion avec Yahoo! pourrait permettre des économies de l’ordre d’1 à 1,5 milliard de dollars.
Cette nouvelle rejoint celle du mois dernier dévoilée par Bloomberg, où Yahoo! ferait d’une pierre deux coups en rachetant AOL et en mettant Tim Armstrong à la tête du nouveau groupe Internet.
Mais cela se rapproche aussi des rumeurs lancées par Reuters et le Wall Street Journal il y a un an quant à une possible fusion entre AOL et Yahoo!. Le sujet n’est donc pas nouveau, bien loin de là.
D’autant plus que l’idée du rachat ou de la fusion a déjà été émise en octobre 2008, en février 2008, et même en décembre 2006. Cela fait donc déjà cinq longues années que le sujet revient sans cesse. Les situations financières instables des deux sociétés n’y est pas étrangères, tout comme leur importance sur le Web.
Rappelons en effet que Yahoo! reste un géant de la toile, notamment outre-Atlantique, que ce soit grâce à son portail, Yahoo! Mail ou Flickr. Quant à AOL, il génère des milliards de pages vues grâce à ses différentes acquisitions réalisées ces dernières années, dont principalement le Huffington Post, Techcrunch, et Engadget.
À eux deux, AOL et Yahoo! représenteraient donc un véritable géant du web, surtout aux États-Unis, leur permettant d’attirer plus aisément de la publicité et d’être un contrepoids à Google, Facebook et Microsoft.