Et si Amazon ou Google, en lutte avec Yahoo! pour croquer Hulu, s’intéressaient plutôt à Netflix ? C’est la théorie pas si folle de certains analystes et par Bloomberg, relayée par San Francisco Chronicle. L’une des raisons principales de cette idée est la très violente chute du cours de Netflix depuis mi-juillet dernier.
Ces dernières années, le cours de Netflix n’a cessé de grimper. Au point d’atteindre la somme de quasi 300 $ l’action le 13 juillet dernier. Valorisant ainsi la société à près de 16 milliards de $. Deux mois plus tard, l’action vaut moins de 130 $, pour une valorisation boursière de 6,7 milliards de $.
Une chute vertigineuse qui a pour principales causes la nouvelle tarification de ses services ainsi que la division de ses activités. Le tout cumulé à la perte d’1 million de ses abonnés ces derniers mois, la disparition des catalogues de Sony et Disney dès l'an prochain, et l’ambiance actuelle des bourses du monde entier, peu propice au risque financier…
Le récent lancement en Amérique Latine et aux Caraïbes, et la future arrivée en Europe devraient relancer la machine. Mais aux États-Unis, les récents choix du PDG de Netflix sont bien peu appréciés, que ce soit par les clients ou les actionnaires.
Résultat, la valeur de Netflix s’est donc effondrée. De quoi susciter la convoitise de géants du Net, qui ont largement les reins financiers pour croquer une société comme Netflix, et qui sont à la fois déjà présents dans le secteur de la vidéo.
Cela ne reste bien sûr que des projections, et en aucun cas Amazon ou Google n’ont affirmé souhaiter croquer Netflix. Néanmoins, l’occasion paraît bien belle pour être rejetée d’un revers de main.
Ces dernières années, le cours de Netflix n’a cessé de grimper. Au point d’atteindre la somme de quasi 300 $ l’action le 13 juillet dernier. Valorisant ainsi la société à près de 16 milliards de $. Deux mois plus tard, l’action vaut moins de 130 $, pour une valorisation boursière de 6,7 milliards de $.
Une chute vertigineuse qui a pour principales causes la nouvelle tarification de ses services ainsi que la division de ses activités. Le tout cumulé à la perte d’1 million de ses abonnés ces derniers mois, la disparition des catalogues de Sony et Disney dès l'an prochain, et l’ambiance actuelle des bourses du monde entier, peu propice au risque financier…
Le récent lancement en Amérique Latine et aux Caraïbes, et la future arrivée en Europe devraient relancer la machine. Mais aux États-Unis, les récents choix du PDG de Netflix sont bien peu appréciés, que ce soit par les clients ou les actionnaires.
Résultat, la valeur de Netflix s’est donc effondrée. De quoi susciter la convoitise de géants du Net, qui ont largement les reins financiers pour croquer une société comme Netflix, et qui sont à la fois déjà présents dans le secteur de la vidéo.
Cela ne reste bien sûr que des projections, et en aucun cas Amazon ou Google n’ont affirmé souhaiter croquer Netflix. Néanmoins, l’occasion paraît bien belle pour être rejetée d’un revers de main.