Après HP, Nokia, Acer ou encore Apple, voilà qu’AMD vient à son tour de changer de PDG. L’heureux élu se nomme Rory Read et n’est pas n’importe qui. Il a en effet travaillé 23 ans chez IBM, avant de louer ses services pour Lenovo en tant que président et directeur des opérations.
C’est donc la fin d'une très longue recherche pour AMD. Ce dernier annonçait en effet en janvier dernier la démission de Dirk Meyer, et être ainsi en quête d’un nouveau PDG.
Âgé de 49 ans, Rory Read tentera d’assurer à AMD une croissance solide comme il l’a fait chez Lenovo. Les marchés sont cependant différents, tout comme la concurrence. Il lui faudra donc faire preuve d’ingéniosité pour atteindre à un tel but.
Bruce Claflin, président du conseil d’administration d’AMD, croit en tout cas dur comme fer en sa nouvelle recrue : « Rory est un leader éprouvé (…) Il est idéalement placé pour accélérer l'évolution d'AMD en tant que leader mondial de conception de semi-conducteurs. »
Claflin rajoute qu’en tant « que président et COO de Lenovo, il a orienté l'entreprise vers de nouveaux marchés dynamiques tout en augmentant sa part de marché et en élargissant sa rentabilité ». Ce qui correspond parfaitement aux besoins d’AMD…
Faire d'AMD une entreprise dynamique
Quant au principal intéressé, il a bien sûr laissé quelques mots avant de (peut-être) dévoiler sa stratégie pour AMD dans un futur que l’on espère proche :
« Je suis très heureux de rejoindre AMD à ce moment important de son histoire. AMD est un véritable innovateur et est particulièrement bien placée pour faire avancer l'industrie (…) AMD a une forte dynamique et a la possibilité de continuer de gagner des parts de rentabilité basées sur ses produits hautement différenciés, sa solide assise financière, et des employés passionnés et engagés. »
Un discours qui se veut donc rassurant, mais qui ne nous fera pas oublier pour autant les 12 trimestres d’affilés de pertes affichées par AMD dans un passé loin d'être lointain… Aujourd’hui, AMD annonce régulièrement des bénéfices, mais il n’y a cependant pas de quoi pavoiser. L’écart avec Intel reste abyssal.
Notez enfin que Thomas Seifert, qui assurait l’intérim en tant que PDG depuis la démission de Dirk Meyer, retrouve son ancien poste, à savoir celui de directeur financier.
C’est donc la fin d'une très longue recherche pour AMD. Ce dernier annonçait en effet en janvier dernier la démission de Dirk Meyer, et être ainsi en quête d’un nouveau PDG.Âgé de 49 ans, Rory Read tentera d’assurer à AMD une croissance solide comme il l’a fait chez Lenovo. Les marchés sont cependant différents, tout comme la concurrence. Il lui faudra donc faire preuve d’ingéniosité pour atteindre à un tel but.
Bruce Claflin, président du conseil d’administration d’AMD, croit en tout cas dur comme fer en sa nouvelle recrue : « Rory est un leader éprouvé (…) Il est idéalement placé pour accélérer l'évolution d'AMD en tant que leader mondial de conception de semi-conducteurs. »
Claflin rajoute qu’en tant « que président et COO de Lenovo, il a orienté l'entreprise vers de nouveaux marchés dynamiques tout en augmentant sa part de marché et en élargissant sa rentabilité ». Ce qui correspond parfaitement aux besoins d’AMD…
Faire d'AMD une entreprise dynamique
Quant au principal intéressé, il a bien sûr laissé quelques mots avant de (peut-être) dévoiler sa stratégie pour AMD dans un futur que l’on espère proche :
« Je suis très heureux de rejoindre AMD à ce moment important de son histoire. AMD est un véritable innovateur et est particulièrement bien placée pour faire avancer l'industrie (…) AMD a une forte dynamique et a la possibilité de continuer de gagner des parts de rentabilité basées sur ses produits hautement différenciés, sa solide assise financière, et des employés passionnés et engagés. »
Un discours qui se veut donc rassurant, mais qui ne nous fera pas oublier pour autant les 12 trimestres d’affilés de pertes affichées par AMD dans un passé loin d'être lointain… Aujourd’hui, AMD annonce régulièrement des bénéfices, mais il n’y a cependant pas de quoi pavoiser. L’écart avec Intel reste abyssal.
Notez enfin que Thomas Seifert, qui assurait l’intérim en tant que PDG depuis la démission de Dirk Meyer, retrouve son ancien poste, à savoir celui de directeur financier.
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