Après Lion et iOS 5, il fallait aborder l’ensemble des services qui vont relier l’ensemble. Ce bouquet de services est le renouveau de MobileMe, et il fallait qu’Apple frappe fort pour remonter au niveau de ce qui se fait ailleurs, notamment chez Google et Microsoft.
Le but d’iCloud est de devenir un carrefour numérique. iPhone, Mac, iPad et iPod sont concernés, puisque les données synchronisées vont se répercuter immédiatement entre toutes les appareils. Le contenu en question comprend aussi bien le trio classique contacts/email/agenda que les données de type photos, musique, documents et autres. Il s’agit d’un élargissement de MobileMe, dont Steve Jobs dira lui-même qu’il n’était « notre heure de gloire ».
Le trio contacts/agenda/emails est synchronisé en push. Si vous créez un contact sur un iPad, il est répercuté immédiatement sur les autres appareils connectés à votre compte. Il arrive exactement la même chose avec un document : si vous mettez à jour un document Word, la modification est répercutée sur toutes les machines possédant ce document. Si vous pensez que le système peut faire mal à Dropbox, c’est le cas.
Car iCloud possède deux grandes forces :
iCloud peut être utilisé de différentes manières. Si votre iPhone n’a par exemple plus d’espace libre, l’appareil photo peut envoyer son cliché dans le Photo Stream où il est stocké pendant 30 jours, ce qui permet de le récupérer plus tard. Cette limitation à 30 jours est d’ailleurs étrange.
Autre utilisation : la liste des applications achetées est synchronisée avec iCloud. C’est finalement la même utilisation qu’avec le Mac App Store : une fois que l’on accède à la liste des applications, on peut les réinstaller sur toutes les machines connectées. Cela va même plus loin car si l’autre machine est allumée, on peut déclencher à distance l’installation d’une application.
Au final, iCloud présente cinq fonctionnalités importantes :
La musique achetée est automatiquement synchronisée en AAC 256 kbits vers un maximum de 10 machines. La synchronisation est immédiate, et un achat réalisé sur un iPhone déclenche le téléchargement par exemple sur un iPad connecté au même compte.
Enfin, Steve Jobs a abordé un service qui risque de provoquer de gros remous dans la concurrence : iTunes Match. Pour 25 dollars par an (seul service distant payant), iTunes devient capable de scanner votre bibliothèque musicale, et de répercuter ce que vous possédez comme musique sur le nuage. Une fois cette liste construite, vous pouvez y accéder en AAC 256 kbits, sans aucune limite de nombre de morceaux ou de taille.
Apple précise que si la musique ne s’y trouve pas, alors les titres seront uploadés. Dans le cas contraire, pour éviter la redondance, il s’agira bien sûr des titres disponible sur l’iTunes Store, donc sans DRM.
Le bouquet iCloud n'est pas encore prêt et n'est disponible que pour les développeurs dans la version bêta d'iOS 4.3.
Source des photos : Engadget
Le but d’iCloud est de devenir un carrefour numérique. iPhone, Mac, iPad et iPod sont concernés, puisque les données synchronisées vont se répercuter immédiatement entre toutes les appareils. Le contenu en question comprend aussi bien le trio classique contacts/email/agenda que les données de type photos, musique, documents et autres. Il s’agit d’un élargissement de MobileMe, dont Steve Jobs dira lui-même qu’il n’était « notre heure de gloire ».
Le trio contacts/agenda/emails est synchronisé en push. Si vous créez un contact sur un iPad, il est répercuté immédiatement sur les autres appareils connectés à votre compte. Il arrive exactement la même chose avec un document : si vous mettez à jour un document Word, la modification est répercutée sur toutes les machines possédant ce document. Si vous pensez que le système peut faire mal à Dropbox, c’est le cas.
Car iCloud possède deux grandes forces :
- Il est disponible sur tous les appareils Apple et les PC classiques
- Il est gratuit
iCloud peut être utilisé de différentes manières. Si votre iPhone n’a par exemple plus d’espace libre, l’appareil photo peut envoyer son cliché dans le Photo Stream où il est stocké pendant 30 jours, ce qui permet de le récupérer plus tard. Cette limitation à 30 jours est d’ailleurs étrange.
Autre utilisation : la liste des applications achetées est synchronisée avec iCloud. C’est finalement la même utilisation qu’avec le Mac App Store : une fois que l’on accède à la liste des applications, on peut les réinstaller sur toutes les machines connectées. Cela va même plus loin car si l’autre machine est allumée, on peut déclencher à distance l’installation d’une application.
Au final, iCloud présente cinq fonctionnalités importantes :
- Les sauvegardes journalières des données à travers le Wi-Fi
- Synchronisation des applications, musiques et ebooks achetés
- Synchronisation des photos et vidéos
- Synchronisation des paramètres
- Synchronisation des données des applications
La musique achetée est automatiquement synchronisée en AAC 256 kbits vers un maximum de 10 machines. La synchronisation est immédiate, et un achat réalisé sur un iPhone déclenche le téléchargement par exemple sur un iPad connecté au même compte.
Enfin, Steve Jobs a abordé un service qui risque de provoquer de gros remous dans la concurrence : iTunes Match. Pour 25 dollars par an (seul service distant payant), iTunes devient capable de scanner votre bibliothèque musicale, et de répercuter ce que vous possédez comme musique sur le nuage. Une fois cette liste construite, vous pouvez y accéder en AAC 256 kbits, sans aucune limite de nombre de morceaux ou de taille.
Apple précise que si la musique ne s’y trouve pas, alors les titres seront uploadés. Dans le cas contraire, pour éviter la redondance, il s’agira bien sûr des titres disponible sur l’iTunes Store, donc sans DRM.
Le bouquet iCloud n'est pas encore prêt et n'est disponible que pour les développeurs dans la version bêta d'iOS 4.3.
Source des photos : Engadget