La CNIL vient de l’indiquer sur Twitter : « Riposte graduée #HADOPI : la @CNIL est à Nantes pour contrôler #TMG à la suite de la fuite d’adresses IP ». Dernier soubresaut d’un début de semaine difficile pour la riposte graduée française victime d'une faille de sécurité chez l'entreprise chargée de flasher les adresses IP sur les réseaux P2P.
Comme nous venons de le révéler, les ayants droit n’avaient de leur côté vérifié TMG qu’avant la mise en production, non trimestriellement contrairement à ce qu'indiquait la CNIL dans un de ses rapports. Depuis lors, la SACEM, la SPPF, la SCPP, l’ALPA etc. se sont satisfaits des résultats de ces tests, en alimentant l’Hadopi de listing d’IP. La faille découverte ce week-end via Bluetouff n’est que la simple conséquence de cette négligence très caractérisée.
Comme nous venons de le révéler, les ayants droit n’avaient de leur côté vérifié TMG qu’avant la mise en production, non trimestriellement contrairement à ce qu'indiquait la CNIL dans un de ses rapports. Depuis lors, la SACEM, la SPPF, la SCPP, l’ALPA etc. se sont satisfaits des résultats de ces tests, en alimentant l’Hadopi de listing d’IP. La faille découverte ce week-end via Bluetouff n’est que la simple conséquence de cette négligence très caractérisée.
