Durant le MIX11 qui se tient actuellement à Las Vegas, Microsoft a dévoilé de nombreuses nouveautés à venir pour Windows Phone 7, et plus spécifiquement à travers Internet Explorer 9 Mobile et la mise à jour Mango. La firme est également revenue sur les spécifications matérielles demandées aux constructeurs, revues pour l’occasion.
La nouvelle liste comprend notamment un gyroscope, mais ce point particulier n’est pas obligatoire : le constructeur a le choix d’en intégrer ou pas. Rappelons que le gyroscope est un capteur servant à indiquer la position angulaire d’un objet. Le téléphone est donc capable de savoir s’il est couché sur une table par exemple. Utile pour les jeux et autres applications de réalité augmentée. Les autres capteurs, tels que GPS, accéléromètre ou encore lumière et proximité restent obligatoires.
Après une série de caractéristiques restant identiques (caméra 5 mégapixels, 256 Mo de mémoire vive, 8 Go de mémoire flash, etc), on trouve différentes modifications pour les puces centrales. Premièrement, on trouve la compatibilité avec la nouvelle puce de type SoC (System on a Chip) MSM7X30 de Qualcomm, qui fonctionne à 800 Mhz et intègre le GPU Adreno 205, que l’on trouve déjà dans certains nouveaux smartphones Android, notamment le Xperia Play de Sony Ericsson. Deuxièmement, la puce SoC MSM8X55 de Qualcomm est également supportée. Elle fonctionne à 1 GHz et intègre là encore le GPU Adreno 205.
Enfin, la première version du châssis intégrait la possibilité de créer des appareils affichant une résolution HVGA, soit du 320 x 480. Cette ligne est désormais supprimée : seul le désormais classique WGA (800 x 480) est supporté.
Ces « directives » seront amenées à changer encore régulièrement pour faire grimper l’ensemble des caractéristiques des téléphones de manière homogène. On remarquera d’ailleurs que le dual-core n’en fait pas encore partie.
La nouvelle liste comprend notamment un gyroscope, mais ce point particulier n’est pas obligatoire : le constructeur a le choix d’en intégrer ou pas. Rappelons que le gyroscope est un capteur servant à indiquer la position angulaire d’un objet. Le téléphone est donc capable de savoir s’il est couché sur une table par exemple. Utile pour les jeux et autres applications de réalité augmentée. Les autres capteurs, tels que GPS, accéléromètre ou encore lumière et proximité restent obligatoires.
Après une série de caractéristiques restant identiques (caméra 5 mégapixels, 256 Mo de mémoire vive, 8 Go de mémoire flash, etc), on trouve différentes modifications pour les puces centrales. Premièrement, on trouve la compatibilité avec la nouvelle puce de type SoC (System on a Chip) MSM7X30 de Qualcomm, qui fonctionne à 800 Mhz et intègre le GPU Adreno 205, que l’on trouve déjà dans certains nouveaux smartphones Android, notamment le Xperia Play de Sony Ericsson. Deuxièmement, la puce SoC MSM8X55 de Qualcomm est également supportée. Elle fonctionne à 1 GHz et intègre là encore le GPU Adreno 205.
Enfin, la première version du châssis intégrait la possibilité de créer des appareils affichant une résolution HVGA, soit du 320 x 480. Cette ligne est désormais supprimée : seul le désormais classique WGA (800 x 480) est supporté.
Ces « directives » seront amenées à changer encore régulièrement pour faire grimper l’ensemble des caractéristiques des téléphones de manière homogène. On remarquera d’ailleurs que le dual-core n’en fait pas encore partie.