Surface est le nom d’un produit assez particulier chez Microsoft et qui concerne une table dont la face supérieure est tactile. Surface désigne aussi bien l’objet lui-même que le kit de développement, et plusieurs sociétés, dont AT&T, des casinos et la SNCF, ont bâti des projets l’utilisant. La version 2.0 de la technologie a été présentée pour la première fois au CES en janvier dernier. Puisqu’il s’agissait davantage d’une démonstration matérielle, Microsoft a présenté durant le MIX11 la partie logicielle.
Cette première photo renseignera très vite sur l’orientation des contrôles qui sont actuellement développés pour Surface 2.0. Le style Metro est omniprésent et on retrouve ici un mélange de ce que l’on peut trouver dans des produits de Microsoft tels que Windows Phone 7 ou le client Zune, mais également dans des applications tierces telles que Metrotwit. On rappellera qu’en plus de la reprise de ce langage visuel dans un produit de plus, on voit s’avancer le signe d’une plus grande cohérence graphique entre les produits de la firme.
Durant la conférence de présentation du SDK en approche, le développeur Luis Cabrera a indiqué que l’un des buts était « d’écrire une fois pour toucher partout ». Le partout fait en fait référence à la possibilité pour une application utilisant le SDK 2.0 de pouvoir fonctionner aussi bien sur une table Surface 2.0 qu’un ordinateur sous Windows 7. Détails.
Surface 2.0, dans son ensemble, repose sur Windows 7. Le système possède une infrastructure pour prendre en charge les évènements tactiles, mais n’est pas optimisé pour autant pour ce type d’utilisation. Dans Surface 2.0, au-dessus de Windows 7, on trouve trois éléments :
Les contrôles sont les éléments que l’on peut toucher et qui déclenchent des évènements. Puisque les applications créées pour le SDK 2.0 doivent fonctionner également sur Windows 7, les développeurs ont dû créer de nouveaux contrôles, le système n’en possédant pas à la base. On va donc trouver des éléments tels que SurfaceWindow et SurfaceButton qui décrivent, comme leurs noms l’indiquent, des fenêtres et des boutons de type Surface, et donc manipulables avec les doigts. Un simulateur d’entrées sera également fourni pour permettre de créer des évènements tactiles depuis la souris dans les phases de tests.
Pour les développeurs qui cibleront directement le matériel Surface 2.0, Microsoft prévoit également plusieurs outils. L’un permettra par exemple de migrer plus ou moins facilement les applications de Surface 1.0 vers la 2.0. Un autre sera dédié à un exemplaire et permettra de le configurer pour lui indiquer par exemple quel fond d’écran utiliser, quel thème de couleurs ou encore quelles applications lancer.
Le SDK Surface 2.0 sera disponible cet été et accessible gratuitement au téléchargement depuis le site MSDN.
Source des images : ISS
Cette première photo renseignera très vite sur l’orientation des contrôles qui sont actuellement développés pour Surface 2.0. Le style Metro est omniprésent et on retrouve ici un mélange de ce que l’on peut trouver dans des produits de Microsoft tels que Windows Phone 7 ou le client Zune, mais également dans des applications tierces telles que Metrotwit. On rappellera qu’en plus de la reprise de ce langage visuel dans un produit de plus, on voit s’avancer le signe d’une plus grande cohérence graphique entre les produits de la firme.
Durant la conférence de présentation du SDK en approche, le développeur Luis Cabrera a indiqué que l’un des buts était « d’écrire une fois pour toucher partout ». Le partout fait en fait référence à la possibilité pour une application utilisant le SDK 2.0 de pouvoir fonctionner aussi bien sur une table Surface 2.0 qu’un ordinateur sous Windows 7. Détails.
Surface 2.0, dans son ensemble, repose sur Windows 7. Le système possède une infrastructure pour prendre en charge les évènements tactiles, mais n’est pas optimisé pour autant pour ce type d’utilisation. Dans Surface 2.0, au-dessus de Windows 7, on trouve trois éléments :
- Une couche d’intégration
- Une interface utilisateur (de type Metro)
- Des interfaces de développement (API)
- Des API « core » destinées à gérer des données telles que des images brutes et des évènements tactiles, et qui seront le plus souvent utilisées par XNA
- Des API WPF (Windows Presentation Foundation) qui rassembleront celles des frameworks, les contrôles communs et les contrôles spécialisés
Les contrôles sont les éléments que l’on peut toucher et qui déclenchent des évènements. Puisque les applications créées pour le SDK 2.0 doivent fonctionner également sur Windows 7, les développeurs ont dû créer de nouveaux contrôles, le système n’en possédant pas à la base. On va donc trouver des éléments tels que SurfaceWindow et SurfaceButton qui décrivent, comme leurs noms l’indiquent, des fenêtres et des boutons de type Surface, et donc manipulables avec les doigts. Un simulateur d’entrées sera également fourni pour permettre de créer des évènements tactiles depuis la souris dans les phases de tests.
Pour les développeurs qui cibleront directement le matériel Surface 2.0, Microsoft prévoit également plusieurs outils. L’un permettra par exemple de migrer plus ou moins facilement les applications de Surface 1.0 vers la 2.0. Un autre sera dédié à un exemplaire et permettra de le configurer pour lui indiquer par exemple quel fond d’écran utiliser, quel thème de couleurs ou encore quelles applications lancer.
Le SDK Surface 2.0 sera disponible cet été et accessible gratuitement au téléchargement depuis le site MSDN.
Source des images : ISS