Dans quelques heures, les développeurs de GNOME lanceront la version majeure 3.0 de cet environnement de bureau célèbre. Il est depuis longtemps l’environnement par défaut de certaines distributions Linux parmi les plus utilisées, telles qu’Ubuntu et Fedora. L’arrivée d’une version majeure est toujours une annonce importante. Tour d’horizon des nouveautés.
Qui dit passage à GNOME 3.0 dit d’abord passage à une interface entièrement nouvelle :
On reste dans la mode actuelle qui veut que la sobriété soit une règle de conduite dans l’approche visuelle. L’organisation, le placement des couleurs, l’apparence des fenêtres, le thème général, les couleurs choisies : GNOME 3.0 verse dans l’interface « classe » assez sombre, visant ainsi le repos des yeux avec un look assez professionnel. Les développeurs indiquent également que le choix des polices a été important, avec la présence d’une nouvelle créée spécialement pour l’occasion. Des animations sont présentes, mais là encore, on ne les rencontre que sur des actions précises, pour ne pas risquer l’overdose.
GNOME 3.0 est l’occasion d’introduire les activités. Il ne s’agit pas du même principe que les écrans virtuels. Une activité regroupe en effet en son sein les applications que l’utilisateur choisit d’y placer, ce dernier ayant la possibilité d’effectuer ensuite des actions de masse sur tout ce qui y est présent. Des raccourcis clavier ont également été ajoutés pour passer de l’une à l’autre (touche Windows), mais on peut les piloter à la souris via leur coin actif.
La communication est au centre de GNOME 3.0, mais les développeurs ont voulu que ceux qui reçoivent régulièrement des messages puissent y répondre sans quitter leur application en cours. Aussi, un nouveau message affiche une notification en bas à droite, et l’utilisateur peut répondre directement dedans.
Plus globalement, le système des notifications a été revu. En plus de leur signalement habituel, un enregistrement est créé pour les empiler jusqu’à ce que l’utilisateur ait le temps de les regarder.
Pour le reste, tout est centré sur la simplification de l’utilisation de l’environnement :
Ceux qui auraient envie de mettre à jour leur environnement GNOME pourront le faire dès sa disponibilité officielle. Certains attendront par contre, soit parce qu’ils préfèrent des mises à jour depuis les dépôts de leur distribution, soit parce qu’ils patienteront jusqu’à une nouvelle version majeure d’une distribution pour y passer.
Qui dit passage à GNOME 3.0 dit d’abord passage à une interface entièrement nouvelle :
On reste dans la mode actuelle qui veut que la sobriété soit une règle de conduite dans l’approche visuelle. L’organisation, le placement des couleurs, l’apparence des fenêtres, le thème général, les couleurs choisies : GNOME 3.0 verse dans l’interface « classe » assez sombre, visant ainsi le repos des yeux avec un look assez professionnel. Les développeurs indiquent également que le choix des polices a été important, avec la présence d’une nouvelle créée spécialement pour l’occasion. Des animations sont présentes, mais là encore, on ne les rencontre que sur des actions précises, pour ne pas risquer l’overdose.
GNOME 3.0 est l’occasion d’introduire les activités. Il ne s’agit pas du même principe que les écrans virtuels. Une activité regroupe en effet en son sein les applications que l’utilisateur choisit d’y placer, ce dernier ayant la possibilité d’effectuer ensuite des actions de masse sur tout ce qui y est présent. Des raccourcis clavier ont également été ajoutés pour passer de l’une à l’autre (touche Windows), mais on peut les piloter à la souris via leur coin actif.
La communication est au centre de GNOME 3.0, mais les développeurs ont voulu que ceux qui reçoivent régulièrement des messages puissent y répondre sans quitter leur application en cours. Aussi, un nouveau message affiche une notification en bas à droite, et l’utilisateur peut répondre directement dedans.
Plus globalement, le système des notifications a été revu. En plus de leur signalement habituel, un enregistrement est créé pour les empiler jusqu’à ce que l’utilisateur ait le temps de les regarder.
Pour le reste, tout est centré sur la simplification de l’utilisation de l’environnement :
- Le tableau de bord est présent dans l’arrière-plan pour ne pas perturber la lisibilité des applications
- Nombreux raccourcis clavier pour accélérer les opérations courantes
- Des paramètres système réorganisés pour une classification « évidente »
- Disposition rapide des fenêtres en mosaïque
- Un nouveau gestionnaire de fichiers
Ceux qui auraient envie de mettre à jour leur environnement GNOME pourront le faire dès sa disponibilité officielle. Certains attendront par contre, soit parce qu’ils préfèrent des mises à jour depuis les dépôts de leur distribution, soit parce qu’ils patienteront jusqu’à une nouvelle version majeure d’une distribution pour y passer.