ReadWriteWeb France vient d’annoncer que sa maison mère avait décidé de fermer ses deux seuls sites européens. La version française, et l'espagnole. Officiellement, c’est l’absence de modèle économique qui a motivé cette fermeture.
Fabrice Epelboin n’y croit pas : « une explication étonnante dans la mesure où elle suivait une proposition détaillée faite par l’édition Française de mettre le turbo sur les traductions et les contenus en embauchant une équipe en Tunisie, et de monétiser les contenus par de la publicité, en visant le cap du million de visiteurs uniques, indispensable pour commencer à financer ainsi un site d’information ». Alors que dans le même temps, RWW Espagne serait parvenu à monétiser ses contenus.
L’ex directeur de publication de RWW croit plutôt trouver des explications dans des versants plus sombres. « la participation active de l’édition Française et de plusieurs de ses auteurs à la révolution Tunisienne n’est pas forcément étrangère a cette soudaine décision. Les informations sur le coté obscur de l’univers de la high tech recueillies à l’occasion sont, il faut le reconnaître, quelque peu incompatibles à une monétisation par de la publicité, tant bon nombre de grands annonceurs sont concernés, aussi bien Français qu’Américains. »
En principe, le blog terminera sa vie française, âgé de trois ans, le 22 avril prochain. On ne sait pas ce qu’il adviendra de ses contenus, la maison mère ayant refusé un passage en Creative Commons (sauvegardez celui-ci, au hasard...). « L’édition Espagnole, qui ne fait pas, elle, dans le militantisme, a eu la possibilité d’opérer un rebranding qui lui permettra de continuer avec ses archives sous une autre marque, mais pour ce qui est de l’édition Française, le ton est plus sévère : le site, son nom de domaine, son compte Twitter ainsi que sa page Facebook doivent être remis à la maison mère dans les délais réglementaires prévus par le contrat de licence. Dans quelques semaines, ReadWriteWeb en Français ne sera plus ».

Fabrice Epelboin n’y croit pas : « une explication étonnante dans la mesure où elle suivait une proposition détaillée faite par l’édition Française de mettre le turbo sur les traductions et les contenus en embauchant une équipe en Tunisie, et de monétiser les contenus par de la publicité, en visant le cap du million de visiteurs uniques, indispensable pour commencer à financer ainsi un site d’information ». Alors que dans le même temps, RWW Espagne serait parvenu à monétiser ses contenus.
L’ex directeur de publication de RWW croit plutôt trouver des explications dans des versants plus sombres. « la participation active de l’édition Française et de plusieurs de ses auteurs à la révolution Tunisienne n’est pas forcément étrangère a cette soudaine décision. Les informations sur le coté obscur de l’univers de la high tech recueillies à l’occasion sont, il faut le reconnaître, quelque peu incompatibles à une monétisation par de la publicité, tant bon nombre de grands annonceurs sont concernés, aussi bien Français qu’Américains. »
En principe, le blog terminera sa vie française, âgé de trois ans, le 22 avril prochain. On ne sait pas ce qu’il adviendra de ses contenus, la maison mère ayant refusé un passage en Creative Commons (sauvegardez celui-ci, au hasard...). « L’édition Espagnole, qui ne fait pas, elle, dans le militantisme, a eu la possibilité d’opérer un rebranding qui lui permettra de continuer avec ses archives sous une autre marque, mais pour ce qui est de l’édition Française, le ton est plus sévère : le site, son nom de domaine, son compte Twitter ainsi que sa page Facebook doivent être remis à la maison mère dans les délais réglementaires prévus par le contrat de licence. Dans quelques semaines, ReadWriteWeb en Français ne sera plus ».