L’actuelle opération du e-commerçant LDLC satisfait les adversaires de la vente liée PC et OS, ceux qui fustigent la « taxe » Windows.
Avec l’aide du code « WINDOWSOFFERT », applicable sur une sélection de dix portables, les consommateurs peuvent actuellement profiter d’une remise de 100 euros sur la boutique en ligne. En gros caractères, sur le message commercial, Windows est annoncé alors comme « Offert ».
Pour le site qui lutte contre les Racketiciels, c’est une grande satisfaction : « une fois de plus, le véritable prix d'une licence Windows OEM est affiché au grand jour », un prix qu’on retrouve en licence séparée à un peu moins de 113 euros. « Nous saluons cette communication qui contribue à l'éducation du consommateur quant au prix de la licence Windows qui lui est habituellement soigneusement dissimulé. »
Lors des différentes actions menées en justice, les constructeurs ont eu deux angles de réponse : soit négliger le prix de la licence Windows accompagnant le matériel. Un prix réduit à 30 ou 40 euros permet de démotiver les consommateurs à mener une action en justice. Soit estimer que l’OS et le PC forment un tout indivisible qu’on ne peut dissocier. L’opération commerciale de LDLC, si on la prend au pied de la lettre, vient démontrer exactement l’inverse : on peut dissocier (commercialement) et Windows coûte bien une centaine d’euros au consommateur, montant généralement accordé dans les opérations de détaxe.
Avec l’aide du code « WINDOWSOFFERT », applicable sur une sélection de dix portables, les consommateurs peuvent actuellement profiter d’une remise de 100 euros sur la boutique en ligne. En gros caractères, sur le message commercial, Windows est annoncé alors comme « Offert ».
Pour le site qui lutte contre les Racketiciels, c’est une grande satisfaction : « une fois de plus, le véritable prix d'une licence Windows OEM est affiché au grand jour », un prix qu’on retrouve en licence séparée à un peu moins de 113 euros. « Nous saluons cette communication qui contribue à l'éducation du consommateur quant au prix de la licence Windows qui lui est habituellement soigneusement dissimulé. »
Lors des différentes actions menées en justice, les constructeurs ont eu deux angles de réponse : soit négliger le prix de la licence Windows accompagnant le matériel. Un prix réduit à 30 ou 40 euros permet de démotiver les consommateurs à mener une action en justice. Soit estimer que l’OS et le PC forment un tout indivisible qu’on ne peut dissocier. L’opération commerciale de LDLC, si on la prend au pied de la lettre, vient démontrer exactement l’inverse : on peut dissocier (commercialement) et Windows coûte bien une centaine d’euros au consommateur, montant généralement accordé dans les opérations de détaxe.