Bien que le futur de Mandriva ne soit pas garanti, la société annonce quand même les débuts officiels de l’édition 2011 de Mandriva Linux. Bien qu’il ne s’agisse que d’une version alpha, elle est également la première occasion pour Mageia de se manifester.
Parlons d’abord de Mandriva 2011. Comme toute première version alpha, elle n’est pas faite pour être utilisée quotidiennement, mais pour donner des indications sur la direction que prend la distribution, la liste de composantes et autres fonctionnalités n’étant pas figée. On commence donc avec un kernel Linux 2.6.37, accompagné de RPM 5.3.8, NetworkManager 0.8.2 et Systemd 17, entre autres éléments centraux. Systemd, qui gère le démarrage du système, est d’ailleurs maintenant activé et utilisé par défaut.
Mandriva fait partie de ces distributions qui proposent les dernières versions (ou presque) des éléments qui la composent. On retrouve donc :
Les utilisateurs intéressés pourront récupérer l’une des images ISO de Mandriva 2011 alpha depuis la liste des miroirs.
Ajoutons également que Mandriva a rejoint récemment un mouvement créé dans le but de racheter les brevets qui pourraient être utilisés contre Linux : l’Open Invention Network.
Puisque Mandriva publie une alpha de sa version 2011, Mageia en fait autant. Rappelons que cette dernière est un projet conçu par d’anciens employés de Mandriva et qui bâtit sa propre communauté. Bien qu’il s’agisse des fondations de Mandriva, les développeurs laissent entendre qu’une différenciation se fera plus présente au fur et à mesure que le travail avancera. Là encore, Mageia n’existe que sous forme d’une version alpha, et il faudra donc se montrer prudent. Cela inclut la migration : une Mandriva 2010.2 ne pourra passer à Mageia 2011 que lorsque la version finale sera disponible.
Le téléchargement peut se faire depuis cette page, la version française étant également proposée.
Parlons d’abord de Mandriva 2011. Comme toute première version alpha, elle n’est pas faite pour être utilisée quotidiennement, mais pour donner des indications sur la direction que prend la distribution, la liste de composantes et autres fonctionnalités n’étant pas figée. On commence donc avec un kernel Linux 2.6.37, accompagné de RPM 5.3.8, NetworkManager 0.8.2 et Systemd 17, entre autres éléments centraux. Systemd, qui gère le démarrage du système, est d’ailleurs maintenant activé et utilisé par défaut.
Mandriva fait partie de ces distributions qui proposent les dernières versions (ou presque) des éléments qui la composent. On retrouve donc :
- KDE SC 4.6.0
- GNOME 2.32.1
- XFCE 4.8.0
- GCC 4.5.2, avec certains plugins activés par défaut
- Chromium
- Firefox 4 bêta 11
- OpenSSL 1.0.0d
- Wine 1.3.13
Les utilisateurs intéressés pourront récupérer l’une des images ISO de Mandriva 2011 alpha depuis la liste des miroirs.
Ajoutons également que Mandriva a rejoint récemment un mouvement créé dans le but de racheter les brevets qui pourraient être utilisés contre Linux : l’Open Invention Network.
Puisque Mandriva publie une alpha de sa version 2011, Mageia en fait autant. Rappelons que cette dernière est un projet conçu par d’anciens employés de Mandriva et qui bâtit sa propre communauté. Bien qu’il s’agisse des fondations de Mandriva, les développeurs laissent entendre qu’une différenciation se fera plus présente au fur et à mesure que le travail avancera. Là encore, Mageia n’existe que sous forme d’une version alpha, et il faudra donc se montrer prudent. Cela inclut la migration : une Mandriva 2010.2 ne pourra passer à Mageia 2011 que lorsque la version finale sera disponible.
Le téléchargement peut se faire depuis cette page, la version française étant également proposée.