À défaut de pouvoir bloquer le hack des firmwares de sa PS3, Sony attaque sur le plan judiciaire « GeoHot » et l'équipe « fail0verflow » via des requêtes adressées à Youtube et Twitter. Le but étant de révéler les identités, des différentes personnes qui sont intervenues, dans la « libération » la console.
C'est donc par voie judiciaire que Sony tente de faire cesser les différents hacks autour de sa console fétiche, mais surtout effrayer les utilisateurs qui souhaiteraient se rapprocher des différentes personnes incriminées. Lorsque George Hotz (GeoHot) a publié une vidéo privée sur Youtube, la première requête faite auprès des juges américains par le géant japonais est symptomatique puisqu'outre la demande d'identification du jeune hacker, ce sont aussi toutes les coordonnées des utilisateurs ayant commenté qui ont été réclamées.
Mais ce n'est pas tout puisque Sony, via un juge, ordonne aussi à Twitter de divulguer les identités et informations des différentes personnes connues de l'équipe « fail0verflow ». Ainsi, il a été demandé les identifications des pseudos de @KaKaRoToKS, @gnihsub, @pytey, @bl4sty, @marcan42 et @fail0verflow, comme le montre la capture ci-dessous :
Pour l'instant, le juge chargé de l'affaire a ordonné à Georges Hotz de supprimer la vidéo de Youtube ainsi que le code source hébergé sur son site internet, ce qui a été fait en fin de semaine dernière. Il reste cependant un dernier point sur lequel l'avocat du jeune hacker tente de s'opposer, l'ordonnance comprend aussi la mise à disposition du PC auprès de Sony ce jeudi afin que ce dernier puisse l'analyser en détail.
Mais nous ne devrions pas en rester là puisque le juge a déjà conclu que Hotz a certainement violé le DMCA (Digital Millenium Copyright Act) en diffusant ce hack permettant de contourner les protections mises en place pour protéger la console.
Reste à voir si les prochaines étapes judiciaires ne vont pas tourner en faveur du hacker comme ce fut le cas pour l'iPhone et ses jailbreaks qui sont maintenant légaux aux États-Unis. Enfin, avec une telle offensive, Sony risque bien de ternir son image en lançant une telle chasse aux sorcières...
C'est donc par voie judiciaire que Sony tente de faire cesser les différents hacks autour de sa console fétiche, mais surtout effrayer les utilisateurs qui souhaiteraient se rapprocher des différentes personnes incriminées. Lorsque George Hotz (GeoHot) a publié une vidéo privée sur Youtube, la première requête faite auprès des juges américains par le géant japonais est symptomatique puisqu'outre la demande d'identification du jeune hacker, ce sont aussi toutes les coordonnées des utilisateurs ayant commenté qui ont été réclamées.
Mais ce n'est pas tout puisque Sony, via un juge, ordonne aussi à Twitter de divulguer les identités et informations des différentes personnes connues de l'équipe « fail0verflow ». Ainsi, il a été demandé les identifications des pseudos de @KaKaRoToKS, @gnihsub, @pytey, @bl4sty, @marcan42 et @fail0verflow, comme le montre la capture ci-dessous :
Pour l'instant, le juge chargé de l'affaire a ordonné à Georges Hotz de supprimer la vidéo de Youtube ainsi que le code source hébergé sur son site internet, ce qui a été fait en fin de semaine dernière. Il reste cependant un dernier point sur lequel l'avocat du jeune hacker tente de s'opposer, l'ordonnance comprend aussi la mise à disposition du PC auprès de Sony ce jeudi afin que ce dernier puisse l'analyser en détail.
Mais nous ne devrions pas en rester là puisque le juge a déjà conclu que Hotz a certainement violé le DMCA (Digital Millenium Copyright Act) en diffusant ce hack permettant de contourner les protections mises en place pour protéger la console.
Reste à voir si les prochaines étapes judiciaires ne vont pas tourner en faveur du hacker comme ce fut le cas pour l'iPhone et ses jailbreaks qui sont maintenant légaux aux États-Unis. Enfin, avec une telle offensive, Sony risque bien de ternir son image en lançant une telle chasse aux sorcières...