Dans une note interne, révélée dans nos colonnes, le ministère de la Culture avait accepté en avril que les ayants droit ne dépensent pas un centime dans la carte musique jeune.
Le ministère expliquait le fond de sa pensée : « parvenir à un autre arrangement avec les professionnels, tendant notamment à une prise en charge partielle (à hauteur de 5 € sur les 25) par les ayants droit, nécessiterait de longues négociations sans garantie de bonne fin ».
Le temps pressait et la Rue de Valois caressait un autre espoir : elle préférait concentrer ses forces ailleurs : « Il semble dès lors plus opportun de rechercher un accord avec les ayants droit sur la gestion collective volontaire et sur la libération des droits sans interférer avec la mise en œuvre de la « carte musique jeune », sauf à retarder sa mise en œuvre » (encadré rouge dans notre capture.)
Or, les conclusions de ce marchandage sont peu fameuses.
Le ministère expliquait le fond de sa pensée : « parvenir à un autre arrangement avec les professionnels, tendant notamment à une prise en charge partielle (à hauteur de 5 € sur les 25) par les ayants droit, nécessiterait de longues négociations sans garantie de bonne fin ».
Le temps pressait et la Rue de Valois caressait un autre espoir : elle préférait concentrer ses forces ailleurs : « Il semble dès lors plus opportun de rechercher un accord avec les ayants droit sur la gestion collective volontaire et sur la libération des droits sans interférer avec la mise en œuvre de la « carte musique jeune », sauf à retarder sa mise en œuvre » (encadré rouge dans notre capture.)
Or, les conclusions de ce marchandage sont peu fameuses.
- On apprend aujourd'hui que la gestion collective est repoussée de l’accord orchestré par Emmanuel Hoog. Le sujet est donc mis aux oubliettes.
- Le nombre de carte musique jeune dépasse péniblement les 22 000 cartes selon la variable affichée à chaque création de compte. Malgré l'astucieux miracle des +30.000 en une journée, cette carte cofinancée par le jeune et le contribuable, mais non les ayants droit, est un flop après six semaines d'existence (10 000 jeunes se seraient rués sur la carte, selon l'Elysée, en une semaine)