Les décisions de blocages prises par de multiples organismes bancaires à l’encontre de Julian Assange, fondateur de Wikileaks, ne sont pas restées sans effet.
Après plusieurs appels sur Twitter, le site de Mastercard.com est totalement inaccessible. « Le serveur à l'adresse www.mastercard.com met trop de temps à répondre » indique une erreur de délai d’attente dépassé lorsqu’on tente de se rendre sur le site. Le site subit ainsi le même sort que la banque postale suisse qui a fait l’objet d’une attaque par déni de service. Ce genre d’attaques vise à saturer un site en le noyant sous un grand nombre de requêtes. Incapable de répondre aux requêtes légitimes, le serveur renvoie alors un message d’erreur similaire à celui constaté sur Mastercard.com.
L’opération Payback vise à arroser l’arroseur, ou plutôt bloquer le bloqueur. Ultime réaction d’individus qui accordent leurs clics contre les claques assénées contre Julian Assange. Arrêté en Angleterre pour une histoire de rapports sexuels non protégés, après un mandat européen adressé par la Suède, l’intéressé risque d’être extradé à terme vers les États-Unis sur fond de Spy Act.
Pour suivre les différents soubresauts de l’opération Payback, on consultera ce compte Anon_Operation ou la requête #DDOS sous Twitter.
(Nous suivre sous Twitter)
Après plusieurs appels sur Twitter, le site de Mastercard.com est totalement inaccessible. « Le serveur à l'adresse www.mastercard.com met trop de temps à répondre » indique une erreur de délai d’attente dépassé lorsqu’on tente de se rendre sur le site. Le site subit ainsi le même sort que la banque postale suisse qui a fait l’objet d’une attaque par déni de service. Ce genre d’attaques vise à saturer un site en le noyant sous un grand nombre de requêtes. Incapable de répondre aux requêtes légitimes, le serveur renvoie alors un message d’erreur similaire à celui constaté sur Mastercard.com.
L’opération Payback vise à arroser l’arroseur, ou plutôt bloquer le bloqueur. Ultime réaction d’individus qui accordent leurs clics contre les claques assénées contre Julian Assange. Arrêté en Angleterre pour une histoire de rapports sexuels non protégés, après un mandat européen adressé par la Suède, l’intéressé risque d’être extradé à terme vers les États-Unis sur fond de Spy Act.
Pour suivre les différents soubresauts de l’opération Payback, on consultera ce compte Anon_Operation ou la requête #DDOS sous Twitter.
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