La convergence entre les supports vient de marquer une nouvelle étape au profit de Dailymotion et des utilisateurs du site. La NBA et Dailymotion viennent d’annoncer la conclusion d’un accord de diffusion en Europe, du moins sur la zone francophone (France, Belgique, Suisse et Luxembourg).
L’accord permet la diffusion des résumés de matchs de la saison 2010-2011 de la NBA selon les modalités suivantes :
Début 2010, la Ligue de Football Professionnel (LFP) avait déjà signé un dispositif similaire en proposant gratuitement des résumés de matchs sur Dailymotion, selon un contrat signé sur trois ans. La NBA dispose déjà par ailleurs de sa chaîne officielle sur Youtube.
La situation n’a pas été pas aussi paisible entre les détenteurs de droits de diffusion et la plateforme. Souvenons-nous qu’en 2007 la Ligue de football professionnel (LFP) et la Fédération française de tennis (FFT) par exemple avaient attaqué YouTube pour des vidéos uploadées par des fans, sans droit de retransmission. La démarche actuelle semble donc suivre le chemin de la collaboration plutôt que de la confrontation, qui se heurte systématiquement à l’épineux problème du statut des hébergeurs et des éditeurs.
L’accord permet la diffusion des résumés de matchs de la saison 2010-2011 de la NBA selon les modalités suivantes :
- Jusqu’à quatre résumés de matchs par jour
- Un récapitulatif des matchs de la nuit
- Les meilleures actions de la semaine
Début 2010, la Ligue de Football Professionnel (LFP) avait déjà signé un dispositif similaire en proposant gratuitement des résumés de matchs sur Dailymotion, selon un contrat signé sur trois ans. La NBA dispose déjà par ailleurs de sa chaîne officielle sur Youtube.
La situation n’a pas été pas aussi paisible entre les détenteurs de droits de diffusion et la plateforme. Souvenons-nous qu’en 2007 la Ligue de football professionnel (LFP) et la Fédération française de tennis (FFT) par exemple avaient attaqué YouTube pour des vidéos uploadées par des fans, sans droit de retransmission. La démarche actuelle semble donc suivre le chemin de la collaboration plutôt que de la confrontation, qui se heurte systématiquement à l’épineux problème du statut des hébergeurs et des éditeurs.