Microsoft, Google, Oracle et Apple (entre autres) disposent d’un trésor de guerre de plusieurs dizaines de milliards de dollars leur permettant de réaliser des acquisitions de grandes envergures. Ces dernières semaines, de nombreuses rumeurs font ainsi état de rachats majeurs, qui concernent notamment AMD, NVIDIA, Seagate ou encore… Adobe.
Le fameux éditeur de Photoshop, Premiere et Illustrator, détenteur de Flash et de Dreamweaver (depuis le rachat de Macromedia), ainsi que d’Acrobat Reader (PDF), est une société qui compte dans le secteur du Net et du logiciel. Ses nombreuses bisbilles avec Apple font de plus couler beaucoup d’encre ces dernières années.
Mais en début de mois, le New York Times affirmait que Steve Ballmer et Shantanu Narayen, présidents respectifs de Microsoft et d’Adobe, s’étaient rencontrés en secret. À quel(s) sujet(s) ? C’est justement un secret. L’idée d’une acquisition du second par le premier a néanmoins rapidement germé…
Quelques semaines plus tard, Adobe a cependant réfuté officiellement cette rumeur. La société américaine basée à San Jose (Californie), souhaite rester indépendante a ainsi insisté aujourd’hui Narayen auprès du Financial Times Deutschland. Il a de plus précisé qu’il rencontrait tous les grands acteurs du secteur afin qu’il n’y ait pas de problème de compatibilité entre ses logiciels et les systèmes d'exploitation. Windows, et donc Microsoft, est donc particulièrement concerné. Mais cela explique-t-il la rencontre « secrète » entre les deux PDG ?
La capitalisation boursière d’Adobe est aujourd’hui de 14 milliards de dollars environ. Une somme bien supérieure serait probablement indispensable pour qui souhaiterait croquer l’entreprise californienne. Reste qu’un achat d’Adobe par Microsoft renforcerait ce dernier dans le secteur des logiciels… De quoi faire trembler la concurrence.
Pour rappel, voici les trésors de guerre de quelques sociétés :

Mais en début de mois, le New York Times affirmait que Steve Ballmer et Shantanu Narayen, présidents respectifs de Microsoft et d’Adobe, s’étaient rencontrés en secret. À quel(s) sujet(s) ? C’est justement un secret. L’idée d’une acquisition du second par le premier a néanmoins rapidement germé…
Quelques semaines plus tard, Adobe a cependant réfuté officiellement cette rumeur. La société américaine basée à San Jose (Californie), souhaite rester indépendante a ainsi insisté aujourd’hui Narayen auprès du Financial Times Deutschland. Il a de plus précisé qu’il rencontrait tous les grands acteurs du secteur afin qu’il n’y ait pas de problème de compatibilité entre ses logiciels et les systèmes d'exploitation. Windows, et donc Microsoft, est donc particulièrement concerné. Mais cela explique-t-il la rencontre « secrète » entre les deux PDG ?
La capitalisation boursière d’Adobe est aujourd’hui de 14 milliards de dollars environ. Une somme bien supérieure serait probablement indispensable pour qui souhaiterait croquer l’entreprise californienne. Reste qu’un achat d’Adobe par Microsoft renforcerait ce dernier dans le secteur des logiciels… De quoi faire trembler la concurrence.
Pour rappel, voici les trésors de guerre de quelques sociétés :
- Apple : 51 milliards de $
- Microsoft : 37 milliards de $
- Google : 33,4 milliards de $
- Oracle : 23 milliards de $