Windows XP date de 2001 et s’avance tranquillement vers son dixième anniversaire. Beaucoup trop long pour un système d’exploitation jugerons certains, tandis que d’autres n’auraient sans doute jamais souhaité changer. Mais n’en déplaise à ces derniers, 2010 est une année charnière dans laquelle le vieux système fait divers pas sur le côté. Dernier en date : la fin de son installation sur des PC neufs (netbooks compris).
Depuis vendredi, aucune société qui vend des ordinateurs n’est plus autorisée à fournir Windows XP en tant que système d’exploitation de ces machines. Le cas était devenu rare bien entendu, car la grande majorité des PC vendus aujourd’hui sont des configurations puissantes qu’un vieillissant XP n’exploite pas vraiment. Place donc à Windows 7 comme seul Windows, car Vista a rapidement tiré sa révérence depuis l’arrivée de son successeur.
On pourrait croire qu’il s’agissait ici de la dernière étape, mais ce n’est pas encore le cas. Il reste en effet un dernier bastion : le downgrade, autrement dit la possibilité de rétrograder une version plus récente de Windows vers XP. Cette manipulation est autorisée jusqu’en 2015 dans les entreprises.
Depuis vendredi, aucune société qui vend des ordinateurs n’est plus autorisée à fournir Windows XP en tant que système d’exploitation de ces machines. Le cas était devenu rare bien entendu, car la grande majorité des PC vendus aujourd’hui sont des configurations puissantes qu’un vieillissant XP n’exploite pas vraiment. Place donc à Windows 7 comme seul Windows, car Vista a rapidement tiré sa révérence depuis l’arrivée de son successeur.
On pourrait croire qu’il s’agissait ici de la dernière étape, mais ce n’est pas encore le cas. Il reste en effet un dernier bastion : le downgrade, autrement dit la possibilité de rétrograder une version plus récente de Windows vers XP. Cette manipulation est autorisée jusqu’en 2015 dans les entreprises.