Si pour beaucoup, Google est principalement de l’immatériel, il ne faut néanmoins pas oublier que la société compte plus de 20 000 employés, et surtout, des data centers gigantesques. Or ces derniers consomment énormément. Selon des données assez récentes, 3 % de l’électricité consommés aux États-Unis auraient pour source les data centers. Et Google en représente une très grande partie…
« En un petit clic pour effectuer une recherche sur Google, vous consommez autant qu’une ampoule pendant une heure ! » expliquait ainsi Le Figaro dans un article publié il y a quelques mois. « Une requête sur Internet fait en effet intervenir une cascade d’appareils électriques, depuis votre PC jusqu’aux serveurs de Google, réunis par milliers dans d’immenses hangars, les data centers, où se traitent les données par milliards de milliards d’octets. »
Résultat, d’ici quelques années, si rien ne change, les data centers américains pourraient bien émettre plus de CO2 que les avions. Afin de résoudre cet épineux problème, Google essaie de produire une partie de son énergie via des panneaux solaires et des éoliennes.
Le Google Plex, son siège social, est notamment doté de panneaux solaires sur ses toits (voir ci-dessus), ceci depuis au moins trois ans. Et les pelouses de Google sont tondues par 200 chèvres… C’est une certitude, les énergies renouvelables sont importantes pour Google. Et l’écologie n’est pas la seule motivation. C’est aussi une histoire d’argent. Acheter de l’électricité est onéreux, et si Google pouvait en produire pour lui-même, voire en vendre, cela ne serait pas de refus.
Plus récemment, Google s’est lancé dans l’éolien. Il y a ainsi quelques mois, le géant du Web a acheté pour 38,8 millions de dollars deux « fermes » éoliennes dans le Dakota du Nord, pour une capacité totale de 169,5 mégawatts d'électricité.
Et le célèbre moteur de recherche vient de remettre ça, en signant cette fois un accord pour le développement d’un parc éolien offshore sur la côte Atlantique des États-Unis. « So it’s both good business and good for the environment » note le blog officiel de Google. Évidemment.
L’accord avec l’Atlantic Wind Connection (AWC) a pour but de placer des fermes éoliennes sur 560 km, afin de produire 6000 mégawatts et fournir de l’énergie à 1,9 million de foyers. Google n’est cependant qu’un partenaire d’une alliance qui compte dans ses rangs Good Energies et Marubeni Corporation. Google a ainsi investi 37,5 % dans l’opération.
Selon Mashable, Good Energies a investi le même pourcentage que Google (soit 75 % à eux deux), et le budget total de l’AWC serait de 5 milliards de dollars. Mais cette information n’est pas officielle.
« En un petit clic pour effectuer une recherche sur Google, vous consommez autant qu’une ampoule pendant une heure ! » expliquait ainsi Le Figaro dans un article publié il y a quelques mois. « Une requête sur Internet fait en effet intervenir une cascade d’appareils électriques, depuis votre PC jusqu’aux serveurs de Google, réunis par milliers dans d’immenses hangars, les data centers, où se traitent les données par milliards de milliards d’octets. »
Résultat, d’ici quelques années, si rien ne change, les data centers américains pourraient bien émettre plus de CO2 que les avions. Afin de résoudre cet épineux problème, Google essaie de produire une partie de son énergie via des panneaux solaires et des éoliennes.

Le Google Plex, son siège social, est notamment doté de panneaux solaires sur ses toits (voir ci-dessus), ceci depuis au moins trois ans. Et les pelouses de Google sont tondues par 200 chèvres… C’est une certitude, les énergies renouvelables sont importantes pour Google. Et l’écologie n’est pas la seule motivation. C’est aussi une histoire d’argent. Acheter de l’électricité est onéreux, et si Google pouvait en produire pour lui-même, voire en vendre, cela ne serait pas de refus.
Plus récemment, Google s’est lancé dans l’éolien. Il y a ainsi quelques mois, le géant du Web a acheté pour 38,8 millions de dollars deux « fermes » éoliennes dans le Dakota du Nord, pour une capacité totale de 169,5 mégawatts d'électricité.
Et le célèbre moteur de recherche vient de remettre ça, en signant cette fois un accord pour le développement d’un parc éolien offshore sur la côte Atlantique des États-Unis. « So it’s both good business and good for the environment » note le blog officiel de Google. Évidemment.
L’accord avec l’Atlantic Wind Connection (AWC) a pour but de placer des fermes éoliennes sur 560 km, afin de produire 6000 mégawatts et fournir de l’énergie à 1,9 million de foyers. Google n’est cependant qu’un partenaire d’une alliance qui compte dans ses rangs Good Energies et Marubeni Corporation. Google a ainsi investi 37,5 % dans l’opération.
Selon Mashable, Good Energies a investi le même pourcentage que Google (soit 75 % à eux deux), et le budget total de l’AWC serait de 5 milliards de dollars. Mais cette information n’est pas officielle.