Le célèbre TechCrunch, dirigé depuis de nombreuses années par Michael Arrington, a été croqué par AOL. La nouvelle est officielle depuis hier soir, et n’est qu’à moitié étonnante. AOL se concentre en effet depuis plusieurs années sur les sites et services Internet, et non plus sur ses prestations en tant que FAI. Racheter l’un des blogs les plus influents du monde est donc assez logique.
La somme mise sur la table par AOL pour acquérir TechCrunch n’a pas été précisée. On parle de 25 millions de dollars. Ou de bien plus… Mais pourquoi vendre TechCrunch, qui n’a rien d’un simple blog mais est une véritable entreprise, à l’(ex ?) ogre AOL ?
Fondé en 2005, TechCrunch a donc 5 ans. Cinq longues années que Michael porte sur ses épaules son blog. Tous les jours ou presque, quasi sans interruption, et avec des horaires pires qu’un stakhanoviste. En somme, Michael est fatigué, « épuisé » selon lui.
Il précise cependant qu’il n’est pas fatigué d’écrire, mais de tous les à-côtés. Tout ce qui à trait à l’entreprise en fait. Alors qu’un simple journaliste dans une rédaction ne s’occupe que de l’écriture (même pas de la correction), lui, doit s’occuper de tout, de la gestion des employés, et même des problèmes techniques de la boîte, puisqu’il en est le principal rédacteur, mais aussi le patron. Le poids commençait à être trop lourd à porter.
La vente de TechCrunch à AOL lui permettra donc de se décharger et de se concentrer sur ce qu’il aime vraiment : écrire et publier des scoops. Donc non, pour ceux qui se poseraient la question, il ne quittera pas TechCrunch de sitôt.
Le sort des versions étrangères de TechCrunch (Europe, France, Japon) n’a pas été précisé. Elles sont aussi rachetées par AOL – puisqu’appartenant à TechCrunch – et il n’y a pas de raison qu’elles s’arrêtent, mais sait-on jamais...
Enfin, notez qu’AOL n’en est pas à son premier coup d’essai. En effet, en 2005, la société a mis la main sur un certain Engadget… (via Webblogs)
Vidéo avec Michael Arrington et Tim Armstrong, patrons respectifs de TechCrunch et AOL
La somme mise sur la table par AOL pour acquérir TechCrunch n’a pas été précisée. On parle de 25 millions de dollars. Ou de bien plus… Mais pourquoi vendre TechCrunch, qui n’a rien d’un simple blog mais est une véritable entreprise, à l’(ex ?) ogre AOL ?
Fondé en 2005, TechCrunch a donc 5 ans. Cinq longues années que Michael porte sur ses épaules son blog. Tous les jours ou presque, quasi sans interruption, et avec des horaires pires qu’un stakhanoviste. En somme, Michael est fatigué, « épuisé » selon lui.
Il précise cependant qu’il n’est pas fatigué d’écrire, mais de tous les à-côtés. Tout ce qui à trait à l’entreprise en fait. Alors qu’un simple journaliste dans une rédaction ne s’occupe que de l’écriture (même pas de la correction), lui, doit s’occuper de tout, de la gestion des employés, et même des problèmes techniques de la boîte, puisqu’il en est le principal rédacteur, mais aussi le patron. Le poids commençait à être trop lourd à porter.
La vente de TechCrunch à AOL lui permettra donc de se décharger et de se concentrer sur ce qu’il aime vraiment : écrire et publier des scoops. Donc non, pour ceux qui se poseraient la question, il ne quittera pas TechCrunch de sitôt.
Le sort des versions étrangères de TechCrunch (Europe, France, Japon) n’a pas été précisé. Elles sont aussi rachetées par AOL – puisqu’appartenant à TechCrunch – et il n’y a pas de raison qu’elles s’arrêtent, mais sait-on jamais...
Enfin, notez qu’AOL n’en est pas à son premier coup d’essai. En effet, en 2005, la société a mis la main sur un certain Engadget… (via Webblogs)
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