Éric Walter avait estimé « un peu hypocrite » le débat sur les moyens de sécurisation (voir cependant notre liste). Interrogé par les Échos, le même secrétaire général de la Hadopi, ex-monsieur Tic de Nicolas Sarkozy, estime maintenant que la question de ses revenus au sein de la Hadopi n’est pas le sujet de première importance.
On se souvient que la présidente de la Hadopi s’était curieusement mise en colère lorsqu’un journaliste lui avait demandé le montant de cette rémunération. Elle refusait de fournir la somme en fermant sèchement la réponse : qu’on « arrête de dire que le secrétaire général a une rémunération absolument effarante ! » alors que justement, cette rémunération n’était pas alors connue (notre actualité et l'extrait audio, ci-dessous).
Une question d’angle. Ce sujet serait ainsi secondaire, ce qui permet à Éric Walter de ne fournir aucun autre détail que ceux disponibles dans la délibération signée Marie Françoise Marais, présidente de la Hadopi et republiée ci-dessous.« Le montant dont on a parlé [180.000 euros brut annuel, NDLR] n'est pas mon salaire, mais le plafond maximal au-delà duquel je ne peux être rémunéré. Je ne suis pas certain que mon salaire soit un sujet de première importance. »
On se souvient que la présidente de la Hadopi s’était curieusement mise en colère lorsqu’un journaliste lui avait demandé le montant de cette rémunération. Elle refusait de fournir la somme en fermant sèchement la réponse : qu’on « arrête de dire que le secrétaire général a une rémunération absolument effarante ! » alors que justement, cette rémunération n’était pas alors connue (notre actualité et l'extrait audio, ci-dessous).