Lors d’une effraction survenue dans la nuit du 26 au 27 juin 2010, une filiale d’une société américaine basée à Paris était victime d’un vol : huit ordinateurs portables et d’autres biens, pour un total de 15 000 euros. Via son bulletin d’information, la préfecture de police de Paris indique que la société est parvenue toutefois à retrouver ses ordinateurs volés en un temps record.
La société-mère avait en effet truffé ces ordinateurs d’un système de prise de contrôle à distance. L’un des PC « se révélait être en cours d’utilisation, indique le bulletin de la préfecture de Police. Les informaticiens de cette société suivaient en direct son utilisation et procédaient à des captures d’images. Celles-ci montraient une utilisation du site social Facebook sous plusieurs pseudonymes et permettaient de localiser le lieu de connexion. »
Dès le 2 juillet, la police retrouvait donc l’un des ordinateurs volés dans le domicile d’un particulier de 22 ans. Un particulier informaticien de profession… qui a nié être l’auteur du vol mais « reconnaissait [cependant] connaître l’origine frauduleuse de l’ordinateur ». Il a fait l'objet d'une comparution immédiate. L’enquête a par ailleurs montré que les autres utilisateurs tracés à distance étaient ses frères et sœurs…
La société-mère avait en effet truffé ces ordinateurs d’un système de prise de contrôle à distance. L’un des PC « se révélait être en cours d’utilisation, indique le bulletin de la préfecture de Police. Les informaticiens de cette société suivaient en direct son utilisation et procédaient à des captures d’images. Celles-ci montraient une utilisation du site social Facebook sous plusieurs pseudonymes et permettaient de localiser le lieu de connexion. »
Dès le 2 juillet, la police retrouvait donc l’un des ordinateurs volés dans le domicile d’un particulier de 22 ans. Un particulier informaticien de profession… qui a nié être l’auteur du vol mais « reconnaissait [cependant] connaître l’origine frauduleuse de l’ordinateur ». Il a fait l'objet d'une comparution immédiate. L’enquête a par ailleurs montré que les autres utilisateurs tracés à distance étaient ses frères et sœurs…