Eeebuntu est une distribution Linux que certains connaissent bien. Il s’agit d’un « fork » d’Ubuntu, modifié en 2008 pour mieux fonctionner sur les Eee PC qui provoquaient alors un raz-de-marée. Depuis, la distribution a évolué de manière différente pour devenir autre chose qu’une simple adaptation. Elle vient d’ailleurs de changer complètement de nom, et elle s’appelle désormais Aurora.
Plus exactement, il s’agit d’Aurora OS. Pourquoi changer de nom ? Parce que les développeurs changent de philosophie au sujet de leur création. Il y a longtemps maintenant que le projet initial a perdu de l’intérêt dans la mesure où les modifications qui avaient été faites ne sont plus nécessaires. Ils ont donc repris leur travail depuis zéro et ont décidé d’une nouvelle orientation : la facilité d’utilisation.
L'équipe derrière Aurora n’est pas encore disponible au téléphone et est donc encore pleinement en travaux. Comme dans le cas d’Eeebuntu, c’est GNOME qui sera l’environnement prioritaire, ce qui ne signifie pas que ce sera la seule version téléchargeable. Les développeurs ont joué la carte de la sécurité sur le choix des composants et des logiciels intégrés de base au système. On retrouvera donc :
À noter la présence d’un module baptisé Jupiter et rassemblant différents réglages ayant trait au matériel de la machine. Trois modes de performances peuvent ainsi être sélectionnés :
Pour ceux qui se poseraient la question, Aurora pourra toujours être utilisé en tant que système visant particulièrement les netbooks. Il disposera en fait de deux interfaces très différentes, l’une dédiée aux petits portables, l’autre beaucoup plus classique. La première s’affichera comme un lanceur d’applications en plein écran, à la manière de ce qui se fait aujourd’hui pour bon nombre de distributions. Côté interface classique, on retrouve un bureau de type GNOME. Les développeurs précisent en outre qu’un mode d’installation permettra de ne garder que les composants et logiciels 100 % libres.
Aurora se détachera d’Ubuntu sur un autre point : le mode de distribution et de gestion des versions. Pas question ici d’une version majeure tous les six mois. Aurora fonctionnera en effet sur le modèle dit de « rolling update » : le système est mis à jour constamment, sans réellement de versions précises à proprement parler. Les images ISO qui servent au téléchargement seront mises à jour tous les trois mois pour ne pas à faire trop de mises à jour après une installation.
Concernant la disponibilité, une bêta nommée EB4 (pour Eeebuntu 4) avait été publiée, mais elle était très jeune et ne représentait pas forcément le résultat visé. Les développement indiquent qu’une nouvelle bêta, estampillée Aurora 0.5 sera prochainement disponible. Nous mettrons bien entendu cette actualité à jour pour signaler sa sortie.
Tous ceux qui souhaitent en savoir davantage sur cette nouvelle distribution Linux en préparation pourront se rendre sur le site officiel.
Plus exactement, il s’agit d’Aurora OS. Pourquoi changer de nom ? Parce que les développeurs changent de philosophie au sujet de leur création. Il y a longtemps maintenant que le projet initial a perdu de l’intérêt dans la mesure où les modifications qui avaient été faites ne sont plus nécessaires. Ils ont donc repris leur travail depuis zéro et ont décidé d’une nouvelle orientation : la facilité d’utilisation.

L'équipe derrière Aurora n’est pas encore disponible au téléphone et est donc encore pleinement en travaux. Comme dans le cas d’Eeebuntu, c’est GNOME qui sera l’environnement prioritaire, ce qui ne signifie pas que ce sera la seule version téléchargeable. Les développeurs ont joué la carte de la sécurité sur le choix des composants et des logiciels intégrés de base au système. On retrouvera donc :
- Firefox en tant que navigateur par défaut, avec la possibilité d’utiliser Chrome, Chromium, Opera et Midori
- Thunderbird comme client email par défaut, avec la possibilité d’utiliser Evolution, Spicebird ou d’utiliser Opera
- Pidgin en tant que client de messagerie instantanée par défaut, avec la possibilité d’utiliser Empathy, Emesene ou Skype
- La suite bureautique OpenOffice.org
- Le logiciel de retouche photo The Gimp, avec la possibilité d’installer Inkscape
- VLC comme lecteur vidéo par défaut, avec la possibilité d’utiliser Gnome Media, MPlayer ou Banshee
- Banshee comme lecteur audio par défaut, avec la possibilité d’utiliser RythmBox ou Amarok


À noter la présence d’un module baptisé Jupiter et rassemblant différents réglages ayant trait au matériel de la machine. Trois modes de performances peuvent ainsi être sélectionnés :
- Maximum : recommandé quand le portable est raccordé au secteur, ne limite en rien les performances de la machine, et aurait donc un gros impact sur la batterie.
- High : malgré le nom, il s’agit d’un mode moyen qui permet de fournir la puissance demandée à la demande. Quand l’activité du processeur ralentit, le système en profite pour mettre en place les mesures d’économie d’énergie.
- Power Saver : réduit la vitesse du processeur entre autres pour augmenter l’autonomie.
- Activer/désactiver certains matériels, notamment ceux en relation avec les connexions Wi-Fi, Bluetooth, etc.
- Changer la résolution de l’écran
- Changer l’orientation de l’écran
- Activer/désactiver le touchpad du portable
- Etc.
Pour ceux qui se poseraient la question, Aurora pourra toujours être utilisé en tant que système visant particulièrement les netbooks. Il disposera en fait de deux interfaces très différentes, l’une dédiée aux petits portables, l’autre beaucoup plus classique. La première s’affichera comme un lanceur d’applications en plein écran, à la manière de ce qui se fait aujourd’hui pour bon nombre de distributions. Côté interface classique, on retrouve un bureau de type GNOME. Les développeurs précisent en outre qu’un mode d’installation permettra de ne garder que les composants et logiciels 100 % libres.
Aurora se détachera d’Ubuntu sur un autre point : le mode de distribution et de gestion des versions. Pas question ici d’une version majeure tous les six mois. Aurora fonctionnera en effet sur le modèle dit de « rolling update » : le système est mis à jour constamment, sans réellement de versions précises à proprement parler. Les images ISO qui servent au téléchargement seront mises à jour tous les trois mois pour ne pas à faire trop de mises à jour après une installation.
Concernant la disponibilité, une bêta nommée EB4 (pour Eeebuntu 4) avait été publiée, mais elle était très jeune et ne représentait pas forcément le résultat visé. Les développement indiquent qu’une nouvelle bêta, estampillée Aurora 0.5 sera prochainement disponible. Nous mettrons bien entendu cette actualité à jour pour signaler sa sortie.
Tous ceux qui souhaitent en savoir davantage sur cette nouvelle distribution Linux en préparation pourront se rendre sur le site officiel.