Le site de micro-blogging Twitter a enfin présenté hier sa stratégie de monétisation à la conférence du journal AdAge Digital.
Le fondateur du site, Biz Stones, a toujours voulu éviter le format publicitaire traditionnel du web : « au cours des années, nous avons résisté au modèle de publicité traditionnel parce que nous voulions optimiser la valeur avant le profit ».
Au lieu de cela, le site met en place un système de « Tweet sponsorisés ». Les annonceurs peuvent dès aujourd’hui acheter des mots clés et un de leurs tweets, celui qu’ils auront choisi, apparaitra comme premier résultat sur les pages de recherche correspondantes. Un seul gazouillis sponsorisé apparaitra par recherche, mais les utilisateurs pourront le faire circuler, l’ajouter en favori ou y répondre, comme pour un message normal.
Pour l’instant, l’achat de mots clés se fait par un système d’enchères comparable à AdWord, mais à terme le revenu ramené par ces tweets sponsorisés pourrait être déterminé par leur popularité en termes de retweet, réponses ou réactions diverses qu’ils ont connu. Les messages peu populaires pourraient rapidement être remplacés par de nouveaux tweets.
L’objectif est avant tout d’arriver en complément de l’utilisation (gratuite) que font déjà les entreprises de leurs comptes twitter, et favoriser encore plus leurs conversations avec leurs consommateurs. Le mot d’ordre est donc : interactivité.
Du coup il est logique que les premiers annonceurs à utiliser ce service soient Starbucks, Bravo et Virgin America, déjà très impliqués sur Twitter.

Le fondateur du site, Biz Stones, a toujours voulu éviter le format publicitaire traditionnel du web : « au cours des années, nous avons résisté au modèle de publicité traditionnel parce que nous voulions optimiser la valeur avant le profit ».
Au lieu de cela, le site met en place un système de « Tweet sponsorisés ». Les annonceurs peuvent dès aujourd’hui acheter des mots clés et un de leurs tweets, celui qu’ils auront choisi, apparaitra comme premier résultat sur les pages de recherche correspondantes. Un seul gazouillis sponsorisé apparaitra par recherche, mais les utilisateurs pourront le faire circuler, l’ajouter en favori ou y répondre, comme pour un message normal.
Pour l’instant, l’achat de mots clés se fait par un système d’enchères comparable à AdWord, mais à terme le revenu ramené par ces tweets sponsorisés pourrait être déterminé par leur popularité en termes de retweet, réponses ou réactions diverses qu’ils ont connu. Les messages peu populaires pourraient rapidement être remplacés par de nouveaux tweets.
L’objectif est avant tout d’arriver en complément de l’utilisation (gratuite) que font déjà les entreprises de leurs comptes twitter, et favoriser encore plus leurs conversations avec leurs consommateurs. Le mot d’ordre est donc : interactivité.
Du coup il est logique que les premiers annonceurs à utiliser ce service soient Starbucks, Bravo et Virgin America, déjà très impliqués sur Twitter.