PagesBlanches.fr vient de mettre en ligne un nouveau service en version Bêta qui sensibilisera sans trop de mal à la problématique des données personnelles sur le web. Cette fonctionnalité arrive peu de temps après l'annonce du rachat de 123 People, un moteur de recherche de personnes « qui explore presque chaque recoin du Web pour vous aider à trouver des informations sur vos (futurs) proches ».
Désormais lorsqu’on fait une recherche, l’annuaire téléphonique des pages personnelles afficher un lien permettant d’explorer la requête vers plusieurs réseaux sociaux. Vous cherchez le numéro de téléphone de « Jean Dupont » ? Pages Blanches se propose d’exploiter cette requête vers ces sites participatifs. « Les données personnelles figurant sur cette page ont été trouvées sur les sites Copains d'avant, Facebook, LinkedIn, Trombi, Twitter et Viadeo » indique le service en ligne.
Il est alors possible d’affiner les résultats par mot(s)-clé(s), en fonction… de l’école de l’abonné téléphonique, de la zone géographique, du nom de l’employeur ou du moins son secteur d’activité, et de filtrer les profils avec photo. Une plateforme complète pour profiler l’identité d’une personne.
« Conformément à la loi Informatique et Libertés (article 38 de la loi du 6 janvier 1978 modifiée par la loi du 6 août 2004), vous bénéficiez d'un droit d'accès ou de suppression de votre profil sur le service PagesBlanches » indique une petite mention en bas de page. Si l’on demande la suppression effective de son « profil de plateforme communautaire » sur PagesBlanches, il faudra indiquer l’URL à supprimer et joindre le scan d’une pièce d’identité. Sous entendu : c’est un service « d’opt out » où par défaut, les utilisateurs sont censés avoir donné à un moment ou un autre leur feu vert à cette utilisation.
Le catalogage et le croisement des fichiers entre PagesBlanches, Facebook, LinkedIn, Trombi, Twitter et/ou Viadeo donnent un peu une idée de la puissance commerciale de cette masse d’informations. Dans les conditions générales d’utilisation, il est spécifié qu’une personne a la possibilité de s’opposer « pour des motifs légitimes à figurer dans un fichier ». Elle « peut refuser, sans avoir à se justifier, que les données qui la concernent soient utilisées à des fins de prospection, en particulier commerciale ». Faute d’opposition, elle sera donc censée donner son accord.
Désormais lorsqu’on fait une recherche, l’annuaire téléphonique des pages personnelles afficher un lien permettant d’explorer la requête vers plusieurs réseaux sociaux. Vous cherchez le numéro de téléphone de « Jean Dupont » ? Pages Blanches se propose d’exploiter cette requête vers ces sites participatifs. « Les données personnelles figurant sur cette page ont été trouvées sur les sites Copains d'avant, Facebook, LinkedIn, Trombi, Twitter et Viadeo » indique le service en ligne.
Il est alors possible d’affiner les résultats par mot(s)-clé(s), en fonction… de l’école de l’abonné téléphonique, de la zone géographique, du nom de l’employeur ou du moins son secteur d’activité, et de filtrer les profils avec photo. Une plateforme complète pour profiler l’identité d’une personne.
« Conformément à la loi Informatique et Libertés (article 38 de la loi du 6 janvier 1978 modifiée par la loi du 6 août 2004), vous bénéficiez d'un droit d'accès ou de suppression de votre profil sur le service PagesBlanches » indique une petite mention en bas de page. Si l’on demande la suppression effective de son « profil de plateforme communautaire » sur PagesBlanches, il faudra indiquer l’URL à supprimer et joindre le scan d’une pièce d’identité. Sous entendu : c’est un service « d’opt out » où par défaut, les utilisateurs sont censés avoir donné à un moment ou un autre leur feu vert à cette utilisation.
Le catalogage et le croisement des fichiers entre PagesBlanches, Facebook, LinkedIn, Trombi, Twitter et/ou Viadeo donnent un peu une idée de la puissance commerciale de cette masse d’informations. Dans les conditions générales d’utilisation, il est spécifié qu’une personne a la possibilité de s’opposer « pour des motifs légitimes à figurer dans un fichier ». Elle « peut refuser, sans avoir à se justifier, que les données qui la concernent soient utilisées à des fins de prospection, en particulier commerciale ». Faute d’opposition, elle sera donc censée donner son accord.